Au pays de Popa et Moman.
24 mai 2012
« On est pas un p’tit peuple, on est peut-être quequ’chose comme un Grand Peuple. » René Lévesque
Traduction actualisée par Jean-Martin Aussant: "On est un grand peuple".
Né dans le quartier Limoilou de Québec en 1947, Henri Marineau fait ses études classiques à l’Externat Classique Saint-Jean-Eudes entre 1959 et 1968. Il s’inscrit par la suite en linguistique à l’Université Laval où il obtient son baccalauréat et son diplô...
Né dans le quartier Limoilou de Québec en 1947, Henri Marineau fait ses études classiques à l’Externat Classique Saint-Jean-Eudes entre 1959 et 1968. Il s’inscrit par la suite en linguistique à l’Université Laval où il obtient son baccalauréat et son diplôme de l’École Normale Supérieure en 1972. Cette année-là, il entre au Collège des Jésuites de Québec à titre de professeur de français et participe activement à la mise sur pied du Collège Saint-Charles-Garnier en 1984. Depuis lors, en plus de ses charges d’enseignement, M. Marineau occupe divers postes de responsabilités au sein de l’équipe du Collège Saint-Charles-Garnier entre autres, ceux de responsables des élèves, de directeur des services pédagogiques et de directeur général. Après une carrière de trente-et-un ans dans le monde de l’éducation, M. Marineau prend sa retraite en juin 2003. À partir de ce moment-là, il arpente la route des écritures qui le conduira sur des chemins aussi variés que la biographie, le roman, la satire, le théâtre, le conte, la poésie et la chronique. Pour en connaître davantage sur ses écrits, vous pouvez consulter son site personnel au www.henrimarineau.com
Dans les méandres de l'or noir
Legault et Harper dans le bain de la démagogie...
La CAQ renoue avec l'ADQ
Barrette sous enquête
Une initiative louable
Pour plaire à un certain électorat
Et nous enfonce davantage dans le «law and order»
Leçon d'indépendance de M Grimsson
Le tandem Cloutier-Hivon
Les «plumes perdues» par PKP
Et ce fameux «flou» des positions de PKP
La pédagogie des Calinours
Une langue malade de ses scribes
Réflexions sur un article de Jean-Benoît Nadeau
Martine Ouellet