Occulter l’évidence,
19 mars 2010
c'est le même constat au USA ou l'argent du peuple est dilapidé et ce n'est pas sous Obama que cela va changé. Il vient de la gang de rockefeller.
Une entreprise commerciale euphorique
Étienne Boudou-Laforce
19 mars 2010
c'est le même constat au USA ou l'argent du peuple est dilapidé et ce n'est pas sous Obama que cela va changé. Il vient de la gang de rockefeller.
19 mars 2010
Monsieur Desgagné!
Nous sommes revenus à la case départ et il faudra beaucoup de courage pour le reconnaître de la part de ceux et celles qui sont dans le déni depuis 1995.
Le combat pour l'indépendance nationale a été confisqué par les politiciens en 1968 plus précisément lors de la fondation du Mouvement Souveraineté Association qui devint le Parti Québécois. Beaucoup d'entre eux étaient des nationaleux et des réformistes mais non pas des indépendantistes. Ils ont d'ailleurs imposé le mot souveraineté dès le début occultant le mot indépendance.
Les politiciens d'alors, ont travesti, transformé ce combat national en débat parlementaire se substituant ainsi à la grande démarche citoyenne qui avait été initiée par le Rassemblement pour l'Indépendance Nationale fondé par André D'Allemagne. Il n'était lui-même pas un politicien, mais un véritable patriote et un combattant acharné pour sa patrie québécoise.
ILS ONT RÉDUIT ET CONFINÉ LE DÉSORMAIS DÉBAT À L'ENCEINTE DE L'ASSEMBLÉE NATIONALE ET AUX PÉRIODES ÉLECTORALES ET RÉFÉRENDAIRES. C'EST CE QUI A CRÉÉ AVEC LE TEMPS UNE IMPORTANTE DÉSAFFECTION DES MILITANTS.
L'heure est venue pour le peuple québécois, de se réapproprier le combat pour l'indépendance nationale. Ce combat n'est pas la propriété des politiciens, il appartient désormais au peuple québécois.
Les indépendantistes doivent reprendre la parole, s'investir sur toutes les tribunes et surtout ne pas avoir peur de descendre dans la rue parce que l'indépendance; ça nous appartient!
Vive le Québec libre!
19 mars 2010
M. Desgagné, vous avez raison. Je suggère que nous prêchions dans la rue encore et encore, en espérant que vous ne serez plus frappé par les brutes policières.
Oui, M. Desgagné, haranguons la foule. Oui, comme Jeanne d'Arc, parcourons le Québec, le drapeau à la main, et réclamons ce qui nous appartient.
Daniel
19 mars 2010
Bonjour monsieur Desgagnés,
Je n'ai qu'un mot à ajouter : en ces temps politiquement tellement gris, votre chronique d'aujourd'hui est comme le printemps qui fait tout germer autour de nous, IL FAUT LA FAIRE PUBLIER DANS TOUS LES JOURNAUX DU QUÉBEC. Et, en prime, si c'était possible, avec la mention que c'est une chronique de Vigile afin de faire découvrir ce site à tous ceux, encore bien trop nombreux, qui ne le connaissent pas encore.
19 mars 2010
«La FIQ suggère que le gouvernement interdise l’emploi par le secteur public d’infirmières provenant des agences privées.»
Voilà où réside le problème lorsque l'on parle de privatiser dans le milieu de la santé. Il faut faire un choix, public ou privé. Entre les deux, comme avec des infirmières dans le réseau publique et d'autres au privé, c'est la population et le personnel du public qui en paient le prix.
Avec 150 agences, il me semble difficile de revenir en arrière. Ces milliers d'infirmières, si elles sont forcées de retourner dans le réseau publique, de un, plusieurs vont abandonner la profession, d'autres vont changer de province, et même, les plus jeunes qui sont sans enfants, ont la possibilité d'aller vivre à l'étranger.
Donc, quoi faire? Quel pétrin! on s'ennuie du temps où c'était les religieuses qui pratiquaient ce métier.
Avec mon expérience dans le milieu, personnellement je crois que les primes pour du travail de soir, de nuit et de fin de semaine devraient être beaucoup plus élevées.
Il faudrait regarder vers les 10 dollars de l'heure de plus pour la nuit, par exemple.
Interdire les agences privées, c'est possible, mais il faut véritablement faire de grands changements dans le réseau privé afin de ne pas perdre de centaines, même des milliers d'infirmières.
Encore ici, ce serait intéressant de prendre les agences privées, et regarder combien elles ont donné au PLQ depuis 2003. Ça pourrait peut-être expliquer pourquoi lle Gouvernement n'a pas bougé.
19 mars 2010
Bravo monsieur Herbelin!
Vous voyez où nous conduit cette époque de l'amateurisme dans laquelle nous vivons. Tout le monde s'improvise spécialiste de tout et de rien.
Le mouvement citoyen (RIN) que nous tentons de de construire par la réflexion, aura un grand besoin de l'expertise de gens sérieux et bien documentés.Nous n'hésiterons pas à faire appel à ces gens.
19 mars 2010
Woody Allen, Barbra Streisand, Bob Dylan; plus yankees tu meurs.
Michel Drucker, Claude Lelouch, Simone Veil; plus cocoricos tu meurs.
Margaret Atwood, Judy Rebick, Herb Gray; plus canucks tu meurs.
Robert Libman, Howard Galganov, Mordecai Richler. Oups
Nommez-moi un juif québécois? Pas un juif vivant au Québec. Un juif québécois comme Allen est américain, Ducker français et Atwood canadian.
19 mars 2010
Yves Duteil, chantre de la langue française, n'est-il pas le petit-neveu d'Alfred Dreyfus ?
Parent de loin, mais parent quand même. On en fait état dans sa biographie.
Éric Zemmour n'est-il pas juif aussi ? Connaissez-vous un journaliste français qui aime autant la France ?
Et il y en a bien d'autres qu'on aime et dont j'oublie les noms ce matin.
19 mars 2010
La demande fondamentale des infirmières
[« La FIQ propose que les infirmières passent d'un horaire de cinq jours par semaine à un horaire de quatre jours. Pendant ces quatre journées, elles travailleraient 32 heures, trois heures de moins qu'actuellement, tout en étant rémunérées pour 35 heures. En revanche, les infirmières laisseraient tomber 14 congés. Un tel horaire aurait pour effet, selon la centrale syndicale, de rendre les conditions de travail des infirmières plus attrayantes. Les jeunes infirmières seraient moins portées à quitter leur emploi, les plus âgées repousseraient leur retraite.
Le travail à temps partiel disparaîtrait; les infirmières qui travaillent actuellement deux ou trois jours par semaine seraient tenues d'en travailler quatre. Le nombre de jours de travail ainsi ajoutés compenserait l'impact du passage à la semaine de quatre jours.
La FIQ suggère que le gouvernement interdise l'emploi par le secteur public d'infirmières provenant des agences privées. »]
énoncée par André Pratte,la Presse,19 mars 2010
18 mars 2010
Médecins: ne payons pas plus pour en avoir moins!
[ « Quel que soit le mode de financement des soins, le revenu des médecins vient de la poche de l'ensemble des Québécois. Les médecins qui travaillent à plein temps au Québec [ont des revenus moyens «dans les 6 chiffres avant les sous»,de 170,000 $ à beaucoup plus,une moyenne de 10 fois le revenu moyen par habitant au Québec].
Beaucoup de Québécois étudient longtemps, font des travaux difficiles et importants, et pourtant ne gagnent qu'une fraction de ce qu'empochent les médecins. Les médecins font un métier difficile et exigeant. Ils ne sont pas les seuls et l'écart de revenu reste considérable. À vrai dire, aucun argument purement fonctionnaliste ne permet d'expliquer le niveau de rémunération des médecins.
La majorité des médecins sont payés à l'acte. Les syndicats qui représentent les médecins réclament une augmentation du prix unitaire des actes. il est fondamental de tirer des leçons des précédentes augmentations du tarif des actes au Québec où l'on a pu observer deux mouvements simultanés.
D'une part, une augmentation modérée de la rétention,moins de médecins partent, mais simultanément une diminution significative du nombre d'actes par médecin ,les médecins qui restent travaillent moins.
Ceci s'explique facilement. Bénéficiant déjà de revenus confortables, beaucoup de médecins font le choix, légitime et compréhensible, de profiter de l'augmentation du tarif des actes pour travailler moins tout en gagnant autant. Mais l'effet net c'est que les augmentations précédentes du tarif des actes au Québec se sont traduites par moins de soins offerts et ce déficit était plus important que les bénéfices dus à l'amélioration de la rétention. Collectivement, les Québécois ont payé plus pour en avoir moins.
Payer plus les médecins ne fera rien pour contrer l'exode.Est-ce que tout cela signifie qu'il faille refuser toute augmentation? Pas forcément. Des incitatifs financiers peuvent servir à convaincre les médecins de s'impliquer dans des expériences différentes de production de services. à modifier certains aspects de leur pratique. Des incitatifs peuvent aussi être développés pour modifier l'attrait relatif de certains actes ou de certaines spécialités. Sur ce dernier point, le déficit structurel de médecins omnipraticiens et l'incapacité chronique à pourvoir les postes en médecine de famille est un exemple évident. Des sommes additionnelles peuvent servir à encourager le passage d'une rémunération exclusivement à l'acte vers des modes hybrides plus performants.
Les médecins québécois sont actuellement plus que choyés si on les compare à la moyenne de la population. » ]
Par Damien Contandriopoulos et Astrid Brousselle,Cyberpresse,18 mars 2010
Les auteurs sont respectivement professeur agrégé à la faculté des sciences infirmières de l'Université de Montréal et professeure agrégée à la faculté de médecine et des sciences de la santé de l'Université de Sherbrooke.
18 mars 2010
Tout comme M. Charbonneau, je crois qu'il faut faire attention de ne pas mettre tous les immigrants dans le même panier. Il y avait de l'immigration maghrébine pendant les années 90 sans que celle-ci cause de problèmes. Et la majorité des musulmans qui arrivent au Québec veulent s'intégrer et viennent ici pour certains, en vue de fuir la radicalisation religieuse dans leur pays. Alors, je crois que c'est à nous d'imposer nos balises pour que ceux qui ont choisi de fuir les intégristes religieux dans leur pays n'aient pas à regretter le choix qu'ils ont fait. C'est à nous de mettre nos culottes!
18 mars 2010
Je suis de tout coeur avec Mme Benhabib. Pour avoir eu un client algérien dont toute la famille avait été égorgée sous ses yeux par le front islamiste du salut, je me demande comment on peut prétendre que ce citoyen québécois serait servi de manière neutre par une fonctionnaire portant le hijab. Pourquoi alors interdire aux fonctionnaires de porter des croix gammées ou de porter le costume du KKK au bureau? Après tout, ces symboles de racisme ne sont pas vraiment des symboles de racisme! Pourquoi, tout à coup, des symboles d'incitation à la haine deviennent-ils permis parce qu'il s'agit des femmes?
Il faut vraiment sortir de ce relativisme culturel malsain. Merci, M. Sénéchal, pour votre réflexion que je partage en tous points.
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