Georges Paquet: un modèle à suivre...
10 avril 2010
Je ne suis pas d'accord avec vous monsieur Verrier. C'et le pouvoir qui a détourné le PQ de sa mission principale. Il s'est égaré dans la gouvernance et a fini par devenir lui-même un parti bien intégré au processus démocratique canadien.
Aujourd'hui, nous sommes dans un cul- de- sac. Nous avons épuisé une génération de militants qui sont aujourd'hui dans la soixantaine, qui sont aigris et désabusés. J'en rencontre à tous les jours qui ont l'impression d'avoir été manipulés et instrumentalisés au service d'une petite classe de carriéristes et d'opportunistes. Des milliers de ces militants dévoués ont choisi de rester chez-eux. C'est là que se situe le drame!
Pour redonner le goût aux militants, il faut leurs redonner le goût du pays pas celui du pouvoir!