Le Québec au temps des clubs privés
24 avril 2010
M. Lapointe,
Bravo pour vos quatrains!
Et j'appuie votre critique sur "Me Bastarache".
Lawrence Tremblay.
«Les secrets d'Option Canada»
Martin Laforest, Sophie Léveillé et Roxane Legros, simples militants péquistes
Par Rudyard Griffiths
4,8 millions octroyés à Option Canada
Par Nicolas St-Pierre
François Normand
Convention internationale sur la diversité culturelle:
Appel aux jeunes progressistes
Eve-Lyne Couturier & Simon Tremblay-Pepin; Ruba Ghazal & Alexandre Warnet
Serge Roy; François Saillant; Lorraine Guay & Diane Lamoureux; Éric Bondo
Gilles Néron, Charlesbourg, Tribune libre
Simond Girard, Tribune libre
A perfect political storm
Jim McDonnald
A perfect political storm
24 avril 2010
M. Lapointe,
Bravo pour vos quatrains!
Et j'appuie votre critique sur "Me Bastarache".
Lawrence Tremblay.
24 avril 2010
Bonjour Caroline
Un texte comme je les aime! Je l'ai suggéré à plusieurs députés du Bloc et du PQ en espérant qu'ils profiteront de la fin de semaine pour y penser sérieusement. Tant qu'à moi, je suis prêt pour descendre dans la rue, n'importe quand; il faut paralyser le Québec en entier, par tous les moyens possibles à notre disposition, pour se débarrasser de de ce gouvernement de crapules et de collabos, vendu aux intérêts du néolibéralisme et du fédéralisme "CANADIAN" assimilateur. QUÉBÉCOIS DANS LA RUE!
VIVE LA RÉPUBLIQUE DU QUÉBEC!
André Gignac le 24 avril 2010
24 avril 2010
Bonjour, Mme Moreno.
Je suis entièrement de votre avis sur tous les points. Il est urgent d'agir et sortir avec les casseroles , et faire un boucan d'enfer. Comme l'a fait le peuple du Vénézuéla. Et ça a
réussi. C'est l'expression réelle de la démocratie.
Tout le monde dehors, le temps qu'il faudra. Action!Action!Action!
Lawrence Tremblay.
24 avril 2010
Monsieur Paquet
Dans ma tête, le Canada c'est une grosse illusion. La question du 25% de représentation fixe du Québec à Ottawa n'est qu'un mirage, un leurre pour continuer à nous endormir. Lorsque le Québec sera un pays, nous y serons majoritaires à 100% et non dans un minable 25% dans le pays des anglos. Vaut mieux être majoritaire dans son propre pays que minoritaire dans un pays qui ne nous appartient pas. Pas besoin d'être allé à l'université pour comprendre ça.
André Gignac le 24 avril 2010
24 avril 2010
Monsieur Le Hir
J'aime votre façon, d'entrée de jeu, d'appeler les vraies choses par leur vrais noms comme L'INDÉPENDANCE du Québec et non la souveraineté. La grosse erreur du Bloc et du PQ, c'est d'avoir semé la confusion dans la tête des Québécois avec l'utilisation du mot souveraineté. Québec est souverain en santé et en éducation mais n'est pas un pays indépendant pour autant. L'emploi du mot indépendance en partant aurait aidé à clarifier cette confusion identitaire dans laquelle nous sommes tellement empêtrés que nous ne faisons même plus la différence entre le Québec et le Canada; ce qui expliquerait aussi pourquoi, qu'après 50 ans, nous revenons à la case départ. Pas surprenant que les Québécois ne comprennent pas la vraie signification du mot indépendance. Même sur Vigile, ce mot n'est pas beaucoup utilisé par les personnes qui écrivent des textes ou par celles qui commentent ces textes. Avant de vendre l'indépendance aux Québécois, il faudrait bien leur expliquer la vraie signification de ce mot, grosse erreur stratégique, je me répète, que le Bloc et le PQ ont commis.
Complètement d'accord avec vous que c'est à la population que revient le besoin de faire l'indépendance, de s'impliquer; les partis politiques ne sont là que pour aider à canaliser cette volonté du peuple. Comme stratégie politique pour faire l'indépendance, il faudrait trouver un moyen pour avoir de la visibilité comme le suggère monsieur Noël dans un présent article sur Vigile, soit de tenter d'avoir une émission d'une heure sur LCN. C'est vital pour faire connaître l'indépendance sinon nous allons encore tourner en rond pour un autre 50 ans. Il m'a fait plaisir.
André Gignac le 24 avril 2010
24 avril 2010
Écoutez Monsieur Le Hir, tout cela est sans queue ni tête. Si l’indépendance s’avère nécessaire à la Nation, pourquoi donc un gouvernement souverainiste ne serait-il pas légitimé de la réclamer, bien plus, pourquoi un parti politique devrait s’abstenir de prendre le pouvoir dans le but précis de l’obtenir? Vous souhaitez une mobilisation populaire, fort bien, mais dites-moi, ça sert à quoi au juste un parti politique? Pour moi, un parti sert à rassembler la population autour de certaines idées, pas à engraisser les politiciens. Et puis quoi encore, il faudrait mettre sur pied une autre officine de promotion de l’indépendance? Mais de ça, on en a déjà combien? Plus qu’il n’en faut, je dirais. Non vraiment, cette position n’a rien de novateur, en fait, elle m’apparaît particulièrement absurde.
Pourtant vous touchez juste, l’idée d’indépendance fait de moins en moins écho chez nous, tout comme d’ailleurs les notions de bien commun, de moralité publique ou de fierté nationale. Pourquoi? Pas par notre faute (ça, c’est beaucoup trop facile), mais bien parce que le Québec et son Gouvernement nous deviennent de plus en plus étrangers, eux qui au contraire devraient nous ressembler, eux qui devraient être une incarnation respectueuse de notre Nation. L’État du Québec et son Gouvernement ne se sentent plus liés à nous qui sommes pourtant à l’origine même de leur existence. Ils nous sont devenus indifférents. Ça se sent Monsieur Le Hir, ça ne se sent que trop, d’où notre démotivation générale. Il faudrait donc, en effet, penser autrement, se dire qu’avant toute chose, avant même l’indépendance, il nous faut «renationaliser» le Québec, en faire explicitement notre État national.
Et on en revient toujours à la vraie question qui tue : mais de quelle Nation s’agit-il ici vraiment? Est-ce celle de Lionel Groulx, du RIN, de Daniel Johnson père, celle dont l’avenir mobilisait naguère les foules, ou bien est-ce celle de René Lévesque, des frères Bouchard, de Jean Charest, celle du pluralisme, du reniement et de l’oubli?
RCdB
24 avril 2010
M. Lapointe,
Je comprends aisément que vos fonctions antérieures vous aient mis en contact avec un grand nombre d’acteurs de premier plan sur la scène judiciaire de cette province mais il importe de rectifier vos propos au sujet de Claude Leblond. À mon humble avis, Claude Leblond exerce le rôle d’homme de paille de JJ Charest qui l’a nommé directement sans processus de sélection pour accomplir le travail de sape au sein de l’appareil judiciaire. Il faut savoir que ces deux comparses sont de vielles connaissances, Leblond ayant dirigé à une autre époque le stage au barreau du PM. D’ailleurs, l’annonce de cette nomination peu orthodoxe en janvier 2005 avait fait bondir hors de ses gonds le député Stéphane Bédard à l’Assemblée Nationale : «En janvier dernier, on apprenait, dans le journal La Tribune, que l'avocat Claude Leblond fut informé de sa nomination comme juge à la Cour du Québec de la bouche même du premier ministre. Ce coup de téléphone assez surprenant contrevient à la procédure de nomination qui veut que ce soit le ministre de la Justice qui fasse une telle annonce, l'objectif étant, M. le Président, de mettre à l'abri ce processus de toute coloration politique. » Et comme d’habitude, le ministre de la justice Yvon Marcoux s’était réfugié derrière la langue de bois pour éviter de répondre à la question.
Ce singulier coup de téléphone prend tout son sens dans le contexte actuel. Pour sa part, Benoît Corbeil nous informait au printemps 2005 durant l’enquête Gomery que les accointances politiques ont préséance sur tout autre considération lors du processus de sélection des juges, propos corroborés encore récemment par Jean-Claude Hébert à l’émission « Tout le monde en parle ».
Or, souvenons nous que le juge Claude Leblond, en charge du procès pénal de Vincent Lacroix, a refusé tous ses moyens de défense, laissant dans l’ombre les ramifications politiques de cette vaste fraude qui n’auraient jamais fait la manchette sans la nécessaire complicité de l'AMF, de la SGF et la Caisse de Dépôt et de Placement où Lacroix avait fait ses classes. Après avoir été victimes de gestionnaires corrompus, les 9200 petits investisseurs floués dans l'AFFAIRE NORBOURG méritaient d’être informés des raisons qui ont rendu possible un tel scandale financier.
Au tournant de l'année 2005-06, dans un procès éminemment politique, l’« AFFAIRE CAMILLE », le juge Leblond a profondément déshonoré sa profession et trahi son serment d’office. Leblond a fermé les yeux devant la preuve de l’arrestation illégale du militant de Fathers-4-Justice traduit devant son prétoire. Il n’a pas sourcillé non plus devant le parjure effronté du policier ayant procédé à l’arrestation sans mandat. Après avoir prononcé un verdict d’acquittement relatif aux allégations mensongères verbalisées par les agents de police du SPVM pour tenter de justifier les mesures arbitraires, Leblond a expédié ce père de famille plus d’un an derrière les barreaux en sus des 3 mois déjà passés en détention préventive et ce malgré l’absence totale de preuve disponible pour accréditer la thèse de bris de conditions avancée par la couronne. Est-ce bien ainsi que la justice doit être administrée ?
Évidemment, la magistrature supporte mal la critique. 5 ans avant l’heure, les militants de F4J dénonçaient déjà par leurs gestes d’éclat la corruption judiciaire et réclamait une commission d’enquête au sujet de l’administration de la justice au Québec. Les révélations récentes verbalisées par l’ancien ministre de la justice Marc Bellemare, propos confirmés par Guy Bisson, un juge à la retraite et l’avocat Franco Fava, tous deux prolifiques collecteurs de fonds au profit de la nébuleuse libérale, démontrent le bien fondé de cette demande.
« La force sans la justice est tyrannique » disait Pascal. Non seulement le juge Leblond ne mérite pas vos louanges, mais en raison de ce simulacre de justice, Leblond devrait répondre de ses actes devant un jury de citoyens afin de rétablir la confiance vacillante du public envers l’institution de la justice et enfin nettoyer une fois pour toute les écuries d’Augias !
24 avril 2010
Le 250e anniversaire de la Victoire Française à Sainte-Foy, le 28 avril 1760.
Je me souviens!
La seconde bataille des plaines d’Abraham!
Citation du chevalier de Lévis :
« Nos espoirs sont élevés.
Notre foi dans les gens est grande.
Notre courage est fort.
Et nos rêves pour ce magnifique pays ne mourront jamais. »
En espérant que cette citation saura vous inspirez pour commémorer la Victoire Française de Ste-Foy le 28 avril 2010.
Rappelons-nous cette Victoire des troupes de terre Française, des compagnies franches de la marine, des miliciens, avec le support des amérindiens, remportée à Ste-Foy, sous le commandement du chevalier de Lévis. Pour leur bravoure et leur attachement pour leur nation, qui était notre en 1760.
Rendons hommage aux combattants de 1760, qui ont combattus pour leur nation, leur langue et leur culture française et perpétuons leurs mémoires.
Il faut se souvenir de notre histoire nationale qui marque et marquera encore notre société distincte en Amérique.
Pour rendre hommage aux braves de 1760, récupérons notre patrimoine, rapatrions les armoiries royales de France, les armoiries de Québec, sur le sol du berceau de la Nouvelle-France.
Honneur aux braves de 1760 sous les ordres du chevalier de Lévis, vainqueurs de la seconde bataille des plaines d’Abraham, à Ste-Foy, le 28 avril 1760.
Soldat Sanspareil
2ème bataillon du régiment de la Sarre
Vive le Roy!
http://www.regimentdelasarre.ca
http://www.tagtele.com/videos/voir/46581
http://www.ameriquebec.net/actualites/2009/08/03-rapatriement-des-armoiries-royales-de-france.qc
Un peuple qui n'enseigne pas son histoire est un peuple qui perd son identité.
23 avril 2010
Désolé Pierre mais la constitution qui figure dans leur site est digne d'un amateur qui ne connait rien aux affaires d'un état.
Vous pourrez remarquer la différence avec celle-ci :
http://www.quebecrenouveau.qc.ca/constitution.asp
23 avril 2010
Bonsoir, M. Le Hir,
L'assimilation fait des ravages au Canada. Les jeux sont faits! Au Québec, ce n'est qu'une question de temps, car nous sommes "les sacrifiés de la bonne entente".
Depuis 150 ans, deux institutions vont assurer l'anglicisation des francophones: l'école et l'église. Qui aurait crû celà? Personne aujourd'hui encore, croirait que les wasp veulent notre extinction. Laissons les aller les anglo-saxons car, à la fin, s'ils réussissent
à étendre leur hégémonie partout sur la planète, ils vont se retrouver seuls avec les rats. Cette bataille ultime, je ne suis pas certain qu'ils vont la gagner!
Je vous suggère un ouvrage très actuel:
" Les Sacrifiés de la Bonne Entente." (histoire des francophones du Pontiac)
Auteur: Luc Bouvier
L'Action Nationale éditeur.
Lawrence Tremblay.
23 avril 2010
Bonjour, M.Labrie,
M. Godbout, en 2006, avait parfaitement raison sur la nation en péril. Ce péril pour la nation canadienne-française a été officialisé en 1867 cependant.
John A. MacDonald, premier ministre canadien en 1869, était membre de la loge orangiste de Kingston depuis 1840. Il a fait pendre Louis Riel. Il pouvait compter sur des canadiens-français comme Adolphe Chapleau, Georges-Étienne Cartier, Wilfrid Laurier et combien d'autres, qui nous ont trahis pour servir la race-anglo-saxonne hypocrite et perfide. Trudeau était un admirateur de MacDonald. Pour nous, Québécois, le drame se perpétue. La liste des traîtres à notre nation continue de s'allonger. Par notre ignorance, par manque de courage, par inertie ou par la lâcheté de nos "élites", nous avons permis que la situation se détériore.
Les futurologues se trompent, comme d'habitude, la date de 2050 est par trop optimiste pour la fin de notre histoire. 2030, c'est le maximum, compte tenu de notre
inconscience.
Lawrence Tremblay.
23 avril 2010
Monsieur Le Hir,
Bien que vous n'ayez pas vu passer ces analyses, plusieurs ont été publiées au moment de la Commission BT et après la publication du rapport du même nom.
Je vous suggère de consulter le site www.sisyphe.org, dans lequel apparaissent de nombreuses critiques du rapport Bouchard Taylor.
En outre, un chapitre de l'essai Démocratie et égalité des sexes est consacré à démontrer l'échec de la Commission eu égard au mandat qui lui avait été confié.
Le rassemblement pour la laïcité qui aura lieu à la Grande Bibliothèque le 28 avril prochain a comme objectif de mettre en relief une analyse qui s'oppose au concept de la laïcité ouverte défendue âprement par la Commission Bouchard-Taylor. Guy Rocher, Djemila Benhabib, 2Fik et Me Julie Latour exposeront leur point de vue sur l'ensemble de ces questions.
L'entrée est libre.
http://laicitequebec.wordpress.com/
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