C'est la deuxième fois que je signe une pétition pour l'Assemblée Nationale et je n'ai jamais reçu quoi que ce soit, ni celle pour la démission de Charest ni pour les gaz de schiste.
Ivan Parent
Les « astuces » de Jean Charest
1 décembre 2010
Pour assurer sa succession dans l’harmonie,il est recommander de préparer sa mort.
À l'élection complémentaire de Kamouraska-Témiscouata,les électeurs ont sanctionné massivement le gouvernement Charest,se tournant dans une proportion de 64 % vers les partis d'opposition. Un vote miroir de l'état de l'opinion publique du Québec, qui depuis des mois ne cesse de dire dans les sondages son insatisfaction à l'endroit de l'équipe libérale.
Les « astuces » de Jean Charest
1 décembre 2010
Dans un premier temps, il faut dire que sous J. Charest jamais nous n’aurons d'autres commissions d’enquêtes publiques.
La seule et unique façon pour Jean Charest de sauver le PLQ, (parce que pour lui, dans un an ou 2 il rebondira bien quelques parts...) c'est de démissionner de son poste de Chef de Parti et de PM immédiatement.
En faisant ca, il met le couvercle sur un presto prêt à exploser... il fait en plus, une pierre plusieurs coups: Il permet au PLQ de demeurer au pouvoir pour encore 2 ans. Il permet de lancer une course à la chefferie du PLQ et de donner le temps au PLQ de faire diversion en donnant comme argument que le chef en chambre n'a pas le mandat de prendre des décisions de l'envergure d'une commission d’enquête publique et qu'il faut attendre l'élection d'un nouveau chef de parti et PM. Qui lui en arrivant en poste dans un an, se donnera le temps d'étudier les dossiers...et après 6 à 8 mois déclenchera des élections générales sans qu'il y ait eu de commission d’enquête publique sur quoi que ce soit d'autres....Si j'étais à sa place c'est ca que je ferais...
Venez lire mes WeBillets ici http://lumenlumen.blogspot.com/
Les conspirateurs se sentent trahis
1 décembre 2010
Monsieur Fortin
Texte d'une grande vérité et qui devrait être lu par tous ceux qui veulent hausser leurs connaissances politiques. Ça nous aide à mieux comprendre cette corruption gouvernementale que nous vivons présentement au Québec. Merci M. Fortin
André Gignac, indépendantiste convaincu à mort!
Son premier réflexe au lendemain de la défaite de Kamouraska-Témiscouata, c’est de mentir au peuple
1 décembre 2010
Monsieur Taillon
D'accord avec vous que la solution définitive de la corruption généralisée au Québec passe par la disparition "ad vitam aeternam" du PLQ de l'échiquier politique québécois. Comme leur frère siamois à Ottawa (PLC), le PLQ est de complicité et la suite logique des commandites dirigées contre le Québec depuis 1995, l'année du dernier référendum volé. Dehors à tout jamais les crapules sans scrupule! Espérons que les Québécois les rayeront à tout jamais de la carte électorale aux prochaines élections générales!
André Gignac indépendantiste convaincu à mort!
Nous ne pouvons nous permettre ni le luxe ni le loisir de recommencer à zéro
1 décembre 2010
John James Charest un PM libéral gravement malade.
Je suis d'accord avec NT: les jeunes demandent mais ne veulent pas donner: gagner plus en travaillant moins. Comment peut-on avancer ?
Au sujet de l'élection dans Kamouraska-Témiscouata: le candidat du PQ a gagné. Je le félicite. Toutefois, il ne faut pas oublié que 2 électeurs sur 3 n'ont pas voté pour le PQ. Comme 2 électeurs sur 3 n'ont pas voté pour le PLQ. Cela soulève le fait qu'aucune de ces 2 options ne rejoint la majorité des électeurs de cette circonscription "québécoise pure laine". Et cette tendance est sûrement présente à la grandeur de la province.
Tant que les décisions difficiles à prendre ne seront pas mises de l'avant, nous ne pourrons pas, en tant que société, s'en sortir. Et aucune des 2 options (PQ et PLQ) ne veulent s'y risquer car seul le pouvoir compte, et non la pérennité du Québec. À l'intérieur ou à l'extérieur de la confédération canadienne.
Pensez-y.
Je suis profondément désolé !
1 décembre 2010
Allô Denis,
C'est Louise, une des trois seules femmes du R.I.N., tu me replaces? je suis la rouquine, bon alors que tu me replaces ou pas ce n'est pas grave, je suis ici pour te féliciter et te dire que tu n'as pas à t'excuser, car péter les plombs de temps en temps ça fait le plus grand bien, et franchement ces temps-ci au pays du Québec il y a matière à disjoncter. Il faudrait être un saint pour ne jamais le faire et à part le frère André je ne vois pas d'autres saints ici ;-))
Tu t'es fâché, tu avais sûrement raison et c'est très bien comme ça.
On se fâche et on assume. J'espère seulement que d'autres aussi montreront qu'ils en ont assez, plusieurs même, car on a tendance à l'oublier mais l'union fait la force et ce n'est pas seulement une émission à la télé de Radio-Canada à 17 h 30 tous les jours...
Alors moi je te félicite.
Bravo
LOUISE
Lorsque l'histoire dit vrai
1 décembre 2010
Je crois qu'au Québec présentement nos écrits et nos discours sont trop circonscrits au présent et manquent d'une vision de l'histoire patriotique. La liberté et la fierté nationale ont de la difficulté à émerger et à s'imposer au goût du jour. Le Québec est-il trop étouffé par le fédéralisme et la mondialisation pour s'en libérer?
Nous ne pouvons nous permettre ni le luxe ni le loisir de recommencer à zéro
1 décembre 2010
Mme Hébert,
Si je ne vous ai pas répondu directement, je vous prie de m'en excuser.
J'escamote votre première question, du fait que je ne pense pas être fielleux.
Quant à votre question sur les moyens, scénarios et solutions, comme on m'a posé sensiblement la même question dans une autre enfilade il y a quelque temps, je me permets de reproduire l'essentiel de ma réponse ici.
Comme, en politique, le médium et le message sont plus ou moins dissociables, je vais jouer le jeu de dire ce que je ferais si j'étais à la place des chefs actuels, même si je ne fais justement pas de politique, plutôt que d'essayer de tailler une vision sur mesure qui conviendrait aux capacités, sensibilités et objectifs respectifs -- que je ne prétends pas connaître en long et en large et en toute certitude -- de Mme Marois et M.Duceppe.
Alors, allons-y, jouons un peu les chefs d'estrade.
Je tâcherais de proposer un choix électoral indépendantiste assumé. Cela commence bien sûr en amont, dès maintenant, par un discours conséquent : Opposons aux problèmes provinciaux des solutions d’état souverain, dans tous les dossiers où cela est possible et pertinent, et il y en a plusieurs. Pensons à des débats récents : Déséquilibre fiscal, accomodements raisonnables, éthique et odeurs de corruption, situation du français, finances publiques, dossier énergétique, priorités environnementales, le Canada qui se différencie de plus en plus de nous, etc etc.
Quant à la proposition indépendantiste elle-même, je la voudrais simple, relativement dépouillée. L’indépendance comme passage, comme prise de responsabilité, comme indispensable geste de cohésion nationale. Et d’efficacité, aussi. Exit, donc, les grands concepts halambiqués, les grands chantiers et autres mises-en-scène en tout genre. Je pense que nous n’en sommes plus là; Le pays du Québec est déja construit, et même si tout le monde a son idée de ses défauts et qualités, les Québécois n’ont pas envie, je pense, de revenir aux années soixante et de recommencer cet exercice.
Pour ce qui est du moyen, il doit être résolument et exclusivement démocratique, mais je ne trancherai pas ici le fastidieux débat sur la pertinence du référendisme vis-à-vis de l'élection référendaire ou décisionnelle, etc etc.
Quel que soit le moyen privilégié, cependant, je m'engagerais à le mettre en marche dès l'accession au pouvoir.
Bien que tout ceci soit évidemment bien sommaire, il me semble que cela constitue tout-de-même un début de réponse à votre question.