Le dernier été de Pauline?
24 juin 2011
Je suis étonné de voir qu'il y a encore des gens qui ne voient pas le problème.
Je suis de ceux qui ont crus que nous devions envisagé une autre stratégie que "le tout ou rien", une espèce stratégie des "petits pas". Une stratégie qui visait à prendre le contrôle de juridiction fédéral ou mixte afin d'acquérir notre souveraineté, morceau par morceau. Ce qui permettrait à l'ensemble des Québécois de développer encore plus leur identité nationale dans l'intervalle. Et je pense particulièrement à nos allophones, ici.
Nous avons une crise linguistique sur les bras. Et le contexte était parfait pour prendre le contrôle de tout les leviers qui touchaient à la langue. Bref d'avoir une partie des pouvoirs normaux d'uun peuple normal. Mais voilà notre chef "choke" à l'idée de faire ce combat.
Je suis Montréalais, et je peux vous assurer que tant et aussi longtemps que nous n'imposerons l'affichage en français. Nous allons encouragé les allophones à se tourner vers l'anglais. Le bilinguisme,dans l'affichage, c'est dire que nous sommes en transition vers une assimilation complète.
Alors si elle ne veut pas se battre pour l'indépendance ou pour notre langue. Pourriez-vous m'expliquer ce qu'elle fait à la tête du Parti Québécois? Si le combat pour la langue, lui donne le vertige. Croyez-vous vraiment qu'elle soit à la hauteur de faire celui pour la souveraineté?