La démission de madame Normandeau: Qui a cru que les femmes feraient mieux?
8 septembre 2011
@Mr Didier,vous avez oubliez qu'elle a dit"c'est Jean Charest qui m'a tout appris en politique"
«Les secrets d'Option Canada»
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Convention internationale sur la diversité culturelle:
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A perfect political storm
Jim McDonnald
A perfect political storm
8 septembre 2011
@Mr Didier,vous avez oubliez qu'elle a dit"c'est Jean Charest qui m'a tout appris en politique"
8 septembre 2011
….@Didier''...seule exception de Khadir de Québec solidaire.
Donc, même la crème de la société québécoise, c’est à dire nos décideurs politiques, sont attelés au wagon du récit officiel du 11 septembre et de la guerre au terrorisme et ne cherchent pas à approfondir la question et à regarder les événements au niveau des faits. ... ''
Encore une occasion manquée par le PQ de défendre la Liberté.Je ne parle pas du PLQ,car eux c'est une cause perdue,la ligne-forte de l'establishment faisant foi de tout.
Mais un parti qui se veut le porte parole de la liberté du Québec comme le PQ s'implore à le dire,doit faire ses devoirs lorsqu'il sagit d'endosser des couleuvres aussi grosses que celles décrites dans la ''Bible'' de la version officielle des événement du 11 septembre 2001 car les conséquences de l'acceptation aveugle de cette version des faits a des conséquences immenses sur la liberté des citoyens du Québec et du monde entier.
Il ne peut ignorer non plus les analyses de 1500 ingénieurs et architectes prouvant que la démolition des tours 1 et 2 n'est pas du à l'impact des avions mais à des explosifs pré-installés et que la tour no 7 ne s'est surement pas effondrée à cause d'incendies de bureau.
http://www.youtube.com/watch?v=hZEvA8BCoBw&feature=player_embedded#!
Il ne peut non plus feindre d'ignorer que les prises de vues de 80 caméras autour du Pentagone et ses environs n'ont jamais été diffusées et qu'aucune évidence nous prouve que c'est un avion a frappé le Pentagone.
Maintenant, ce qui est réel, est que c'est la peur a permis de faire voter des mesures brimant la liberté des gens sans savoir ce qui s'est réellement passé.Et cela continue avec Harper qui veut renforcer les loi anti-terroristes votées en 2001 sans jamais remettre en question la version officielle malgré tous les nouveaux faits qui surgissent et qui sont dévoilés dans d'autres medias que ceux appartenant à la presse dominante.
07/09/2011 :
''La détention préventive, l'arrestation sans mandat, et le pouvoir accordé aux juges de contraindre un témoin à témoigner dans une affaire de terrorisme étaient des mesures qui faisaient partie de la Loi antiterroriste adoptée par le gouvernement libéral en 2001, à la suite des attentats du 11 septembre. Ces pouvoirs spéciaux ont expiré en 2007. ,,,,,, Le premier ministre Harper entend réintroduire ces mesures parce qu’il existe toujours selon lui un risque terroriste au Canada.
http://fr.canoe.ca/infos/quebeccanada/politiquefederale/archives/2011/09/20110907-125405.html
À moins que ce ne soit encore une ligne de parti que les membres du PQ n'ont pas le droit de franchir?
Ceci est un test capital pour la liberté ici et dans le monde entier.
Merci M. Kadhir d'avoir eu l'authenticité de remettre en doute la version des faits qui nous ont été imposés par l'administration Bush et maintenant OBAMA.
Personnellement je me demande: à qui profite le crime?
7 septembre 2011
J’oubliais !
En relisant votre texte " Un tsunami électoral" http://www.vigile.net/Un-tsunami-electoral , je constate que vous n’avez pas changé de point de vue. Vous êtes encore convaincu que collectivement, nous sommes tous des moutons pour avoir voté massivement en faveur du NPD.
7 septembre 2011
Patrice-Hans Perrier,
J’ai déjà eu l’occasion de m’expliquer sur cette digression. Je suis probablement le seul ici qui défend le point de vue que ce formidable mouvement du peuple québécois a été une action géniale dans les circonstances. Êtes-vous de ceux qui jugent le peuple comme une masse informe incapable de prendre des décisions démocratiques rationnelles qui servent ses intérêts ? Votre lecture de mon commentaire le soir du 28 avril 2011 semble accréditer cette thèse. À moins que vous m’ayez lu en diagonal…
Le développement politique actuel accrédite mon analyse. Le NPD ainsi que tous les fédéralistes marchent sur des œufs et auront fort à faire pour démontrer qu’ils sont capables de satisfaire les réclamations historiques du Québec et de "l’intégrer dans l’honneur et l’enthousiasme".
7 septembre 2011
Mr Pérez-Martel,
La dérive nationaliste s’est justement entamée avec la naissance du PQ en 1968.
Le PQ au pouvoir ne s’est jamais comporté comme étant un véhicule nationaliste. La disparition de ce parti de la scène publique ne peut donc guère rendre «apatride» de parti les nationalistes canadiens-français.
Son mythe fondateur, René Pearson Lévesque, grandit dans une agglomération où y vivait une population à 90% anglaise, New-Carlisle, ce qu’il y avait de plus Anglais au Québec dans les années 20. Il fallait appartenir à la loge orangiste locale pour y travailler. Son père, Dominique, était avocat à l’emploi d’un cabinet anglais, John Hall Kelly.
Lévesque alla à l’école bilingue du village où les institutrices catholique Irlandaise y enseignaient mal le français, révéla t-il.
«Très vite, je l’ai parlée aussi bien que le français. Donc, je n’ai pas ressenti personnellement aucun traumatisme qui m’aurait affecté ou dont l’impression d’avoir été brimé». À 14 ans, Lévesque est placé au séminaire des jésuites à Gaspé pour ensuite s’inscrire au collège Garnier de Québec à la mort de son père deux ans plus tard. Il confesse que grâce à eux, il n’aurait pas entendu parler des Canadiens-français puisqu’il n’en avait pas entendu parler jusque là…
En conséquence… pour faire court…
Vous dites; «Hormis l’actuelle structure politique du PQ, quelle autre force politique peut parvenir à réaliser cet objectif national dans un futur immédiat ?»
1-Le PQ n’est pas une force… du moins, si vous n’évoquez pas «l’imposture» comme étant une force…
2-Le PQ n’a JAMAIS eu d’objectif «national»… Tout au plus, un pseudo-souverainisme cadrant furtivement avec l’idéal nationalisme de la nation. Ce «souverainisme» s’inscrit quasi-strictement dans l’optique de réformes d’institutions politiques… et non pas avec pour objectif l’instauration DE politique véritablement nationaliste… quels que soient les Régimes constitutionnels encadrant ses politiques.
3-Futur immédiat ou pas, le PQ, sa structure, son financement, son passé politique est à ranger aux côtés des partis de pouvoir provinciaux tels que le furent le PLQ et l’Union Nationale… quoi que cette dernière formation politique à plus de mérite quant à ses actions nationaliste.
En conclusion,
Il faut d'abords déboulonner le mythe péquiste avant de pouvoir espérer repartir sur des bases solides.
Sylvain Marcoux
7 septembre 2011
Bonjour M. Haché,
Vous dites :
"Mais sans le Pouvoir, les indépendantistes auraient assurément les plus grandes difficultés, (et pour longtemps), de placer la question nationale au cœur des débats (à supposer même qu’ils fondent un e-nième parti indépendantiste), et cela dans un avenir prévisible d’au moins 10 ans, n’en déplaise cette fois à St-Pierre, soit deux mandats gouvernementaux."
Je présume que vous parlez de moi ici. D'abord un détail : si telle était ma pensée elle serait tout de même conséquente. Si le PQ prends le pouvoir demain matin et le conserve pendant 2 mandats sans faire avancer notre cause, on en sera où dans 10 ans ? Si au contraire un autre parti est créé demain matin, honnête et authentique dans sa démarche, dans 10 ans, il pourrait être prêt à prendre le pouvoir.
L'idéal pour moi, ce n'est pas la mort du PQ et l'avènement d'un autre parti, non, l'idéal c'est un changement fondamental au PQ. Le départ de Marois, donc, et de plusieurs de ces fonctionnaires du parti qui le détournent de l'objectif.
Ça, c'est ce qui est le plus raisonnable, et ça peut se faire rapidement. Ça se produira fatalement au lendemain des prochaines élections. Depuis que Marois est chef, la seule chance du PQ de gagner les prochaines élections, c'est que les autres se cassent la gueule.
M. Haché, vous dites au PQ "wake up" tout en donnant l'absolution à son chef alors que, depuis ses débuts, ce parti est d'abord et avant tout le véhicule des idées et de la vision du chef. Il y a eu autant de sortes de PQ qu'il y a eu de chefs. Si le PQ est maintenant si amorphe c'est bien parce que Marois le mortifie depuis qu'elle en est le chef. Il était déjà passablement "magané" avant elle, c'est vrai, en fait il a commencé à s'encrouter sous Bouchard puis Landry, et il est maintenant devenu pratiquement insignifiant. C'est le verdict de la population. La population n'a plus confiance en ce parti politique. Son comportement le trahit.
Je ne comprends pas ce que vous trouvez à Mme Marois. Moi, je l'ai assez dit, dans tous les aspects, elle est contre-productive et même nuisible, sur le plan de l'identité par exemple. Je peux comprendre que des gens refusent de penser plus loin que "PQ = souveraineté donc il faut voter PQ", il y en a beaucoup sur Vigile, mais ce n'est pas votre cas, vous n'êtes pas idiot. À mes yeux, malgré sa position, Mme Marois est et a toujours été un adversaire des Tremblay d'Amérique. Toutes ses idées, ses réformes, et ses positions politiques en témoignent. Elle n'est pas la seule coupable de ce qui arrive au PQ, Bernard Landry aussi manquait de détermination et était confortable au pouvoir. Mais Mme Marois est en quelque sorte la quintessence de cette mentalité au PQ.
Le PQ n'aurait jamais dû jeter son dévolu sur Mme Marois lors du départ de Boisclair. S'il y avait eu une course à la chefferie il y a fort à parier que Mme Marois n'aurait pas gagné. Elle a déjà perdu 2 fois auparavant. Elle n'avait pas la cote au sein du PQ et au sein de la population en général. Si un chef digne de confiance avait été élu au PQ, il aurait peut-être gagné les dernières élections.
Je sais que vous n'admettez pas cela, et je ne vous comprends plus, M. Haché, je peine à comprendre vos raisonnements. Je sais cependant que vous êtes un homme de coeur, j'apprécie, et je continue à vous lire.
7 septembre 2011
M. Haché,
Les francophones du Québec ne mourront pas après 400 ans en sol québécois. Ils forment une nation. Nous avons un territoire et des institutions démocratiques. Tout est parfait ? Non ! Tout est possible ? Oui !
Les libéraux de Jean Charest ne doivent pas former le prochain gouvernement. Ce serait une catastrophe pour le Québec. Le motif est simple : Jean Charest et sa bande travaille pour une oligarchie et non pour le peuple dont il se fiche totalement (sauf lorsque celui-ci exerce des pressions énormes. Alors, ti-Jean recule.)
Alors, on fait quoi ? On abat politiquement Pauline Marois ? On travaille à la disparition du Parti Québécois ? On fournit un argumentaire aux adversaires d’un Pays Québec pour faire en sorte que l’objectif de libération nationale n’ait pas lieu, ou ne progresse pas. Un argumentaire ayant comme fondement principal : la méthode utilisée n’est pas la bonne ? Possible qu’elle ne soit pas la bonne ou la méthode idéale, mais est-ce pire que Jean Charest réélu ou qu’un Legault-Sirois gouvernant le Québec ou comme opposition officielle à Québec ?
Si certains croient que confier la gouvernance du Québec à des adversaires politiques tels que Jean Charest ou François Legault vaut mieux qu’un Parti Québécois ayant à sa tête une Pauline Marois, eh bien, personnellement, je n’en suis pas persuadé. Je veux savoir qui défendra ma nation demain, lors des prochaines élections. Qui permettra aux québécois d’avancer encore un peu plus vers la réalisation du pays Québec. C’est le peuple qui doit agir en ce sens. C’est lui qui doit en être convaincu. Et comme c’est souvent le cas, devant l’incertitude, la marche se fait plus lentement. Et présentement, la chicane interne au parti québécois contribue à ralentir cette marche, à accroître l’incertitude.
Si l’idée d’un bon balayage du parti québécois aux prochaines élections circule dans les médias et la population, c’est que beaucoup d’indépendantistes ou souverainistes (c’est selon) fournissent les balais.
7 septembre 2011
Et maintenant ce sera une autre femme, dame Beauchamp, qui sera vice première-ministre.
Attristant de constater que les femmes en politique sont identiques aux hommes, c'est à dire prêtes elles aussi à toutes les compromissions en autant qu'elle conserve leur salaire, leur titre, leur statut social.
Les femmes politiciennes sont aussi prêtes, semble-t-il, que les hommes politiciens à trahir le peuple et ses besoins pour le profit de la riche élite capitaliste de la finance et des affaires qui régit ce monde et qui n'a pas fini de le régir pouvant compter sur un réservoir inépuisable d'opportunistes prêts à la satisfaire.
On se court même pour satisfaire cette élite. Il n'y a qu'à voir l'empressement qu'ont certains de ces opportunistes à vouloir être candidat pour François Legault advenant que ce dernier fonde un nouveau parti.
7 septembre 2011
Bla bla bla.
Taux de popularité de Pauline Marois : 14%
Intentions de vote pour le PQMarois : 16% si Legault se pointe.
Ils vont se faire "hacher" menu menu, monsieur Haché.
Que vienne l'élection au plus vite pour qu'on puisse passer à autre chose et ne plus avoir la douloureuse obligation de vous lire. Marois OUT.
Pierre Cloutier
7 septembre 2011
Bonjour Raymond, je suis bien heureux d'avoir un signe de vie de ta part. Si tu veux communiquer avec moi, ne te gêne pas. Je suis sur hotmail avec un nom en minuscule et sans espace.. Au plaisir d'en savoir un peu plus sur toi et une manière de rafraichir ma mémoire....
Oscar
7 septembre 2011
@ Michel Clermont
"Le point principal est que les organes d’information ne savent plus distinguer les trois piliers de l’information : les données, le traitement et l’information."
Ce n'est pas une question de savoir mais une question de pouvoir.
GV
7 septembre 2011
Monsieur Haché,
Je suis favorable à ce qu'il est convenu d'appeler le «plan Larose». Le plan actuel du PQ en est une version édulcorée. Je le déplore.
Parallèlement à cela, il faut avouer que la stratégie des deux fronts - Bloc à Ottawa et PQ ici - aurait dû être revisée il y a longtemps. Surtout, il ne fallait pas attendre une débâcle comme le Bloc a connu pour prendre conscience que la stratégie - plutôt une tactique, en fait -risquait de faire long feu. Cette persistance à croire que tout pouvait revenir en l'état de 1995 fut la grande erreur.
À la débâcle du 2 mai s'ajoute aujourd'hui la crise du PQ. Un PQ qui n'est même plus capable d'intervenir au plan de la politique fédérale. Il a perdu la main, voyez-vous. Peut-on espérer voir le PQ réintégrer des bloquistes pour combler cette lacune criante? Peut-être, mais il faudra que le Bloc fasse le constat qu'il vaudrait mieux fermer boutique et rejoindre la maison mère, i.e. concentrer ses énergies ici pour reconstruire un discours antifédéral qui permettrait au PQ de se concentrer sur autre chose que la politique provinciale. Une stature, une posture, un programme d'État qui permettraient de reconstituer les bases.
Gilles Duceppe, Pierre Paquette, Daniel Paillé et cie pourraient encore contribuer à raviver le PQ, mais en ont-il envie? À vouloir persister dans une voie désuète, voilà que de brillants militants sont aujourd'hui «brûlés».
Le jour est venu où il faut tout repenser, et pour ce faire, il faut savoir rompre avec le passé. Il est urgent que le Bloc le comprenne, et pour le PQ encore plus s'il ne veut pas devenir un deuxième Bloc.
Pendant ce temps, la droite hors PLQ s'organise sérieusement. La fusion CAQ-ADQ est écrite dans le ciel. Le PQ, de centre-gauche, perd le centre, et s'amincit à sa gauche. Parler plus d'indépendance, d'une façon plus puriste, lui permettrait-il de freiner la tendance? À mon avis, comme vous, j'estime que ce serait une erreur dans la conjoncture actuelle. Qu'on le veuille ou non, la polarisation gauche-droite est à l'ordre du jour, et la question nationale en prend pour son rhume, comme on dit.
Il faut tout reviser, dans une perspective globale. Mais cela exige du temps et de l'énergie. Cela dit, le PQ doit prendre conscience que cette révision est nécessaire. La réalité l'oblige aussi à assumer son rôle d'opposition officielle et d'oeuvrer avec les moyens du bord. Dure réalité.
D'accord avec vous, que le PQ fasse tout pour prendre le pouvoir. Je suis sceptique sur ses chances. Je suis d'avis qu'il faudra prendre les moyens pour reconfigurer tout ça, et j'abhorre comme vous tout ce qui appartient à la pensée magique.
En terminant, si rien ne fonctionne d'ici les prochaines élections, je voterai tout de même pour ma députée dans Hochelaga-Maisonneuve. Si j'étais ailleurs, bien, je voterais Québec Solidaire, question de m'accorder un maigre plaisir (je suis de gauche, mais pragmatique).
Vivement des États généraux, vivement une redéfinition de nos priorités, vivement la fin des fuites en avant.
Personne ne suit Archives de Vigile. Soyez le premier!