Je suis entièrement de votre avis. Ce rôle de bouffon coûte très cher, ne convient vraiment plus et est inacceptable sur notre scène nationale. Désapprouvons haut et fort.
Désormais, on dirait qu'il ne nous reste plus que la prière...
28 décembre 2012
Messieurs Presseault et Perron,
Vos commentaires sont une source d'encouragement et je vous en remercie.
On peut encore influencer le cours des choses
28 décembre 2012
@Yves Rancourt
Vous parlez du PQ comme s'il n'était pas à droite présentement. Pourquoi serait-il moins à droite après l'indépendance ou plus à gauche ?
Le problème de certains souverainistes, c'est qu'ils voterait en faveur de l'indépendance, même si le chef du PQ serait Stephen Harper ou Jean Charest. Pour certains, Hitler lui-même serait agréable à leurs yeux, s'il était un souverainiste. Pour eux c'est l'indépendance à n'importe quel prix, ils seraient même prédisposé à vendre leur propre mère pour y arriver et leur problème actuel pour eux c'est qu'il y a des souverainistes qui ont encore une conscience.
À savoir maintenant, si je déteste le PQ et bien évidemment que je le déteste autant que vous pouvez détester le PLQ ou le PC de Stephen Harper, car le PQ a détruit des vies et tant aussi longtemps que vous n'allez pas comprendre cela, le projet d'indépendance ne se réalisera jamais.
À savoir maintenant, si tous les membres de QS pense comme moi, peut-être pas tous, mais je dirais qu'un bon nombre d'entre eux pense comme moi et cela à divers degré d'indignation selon le vécu de chacun.
Être Québécois, une question d'appartenance à l'identité culturelle
28 décembre 2012
J'ai déjà fait un texte du genre:
http://www.vigile.net/Qui-est-Quebecois
Être Québécois, une question d'appartenance à l'identité culturelle
28 décembre 2012
Bravo M. Labrie pour cette idée innovatrice, celle de l'importance de la participation à l'identité culturelle de son peuple.
Votre méthode énumérative a ceci de beau qu'elle nous fait comprendre ce que c'est que d'être Québécois en même temps qu'elle fait de la notion de l'apppartenance à l'identité culturelle une source de fierté.
Je savais que j'étais Québécois, je peux maintenant dire pourquoi. Car oui, j'y participe!
François-Xavier Archambault
« Qui cherche dans la liberté autre chose qu'elle-même est fait pour servir »
28 décembre 2012
Sois toi même, quel qu'en soit le prix. Que tu y perde tout, tes amis, la reconnaissance de ta famille, que tu ne sois pas compris, reste toi même. C'est là que tu y gagnera toujours malgré les apparences.
Nous ne sommes forts en nous même, que si l'on reste intègre à sa personne et à ses valeurs. Quel qu'en soit le prix, restez toujours vous même. Il n'y a pas de plus grande valeur que celle de l'intégrité et de l'authenticité, car elles amènent toutes les autres. :) Que gagne t-on à se plier aux attentes implicites et explicites des autres ? Que gagne t-on à se pervertir ainsi en nous même, si ce n'est de continuer à stagner dans nos peurs et appréhensions.
Il n'y a rien à perdre à ne plus correspondre à ce que les autres voudraient que vous soyez et exprimiez. Il n'y a de liberté possible qu'en apprenant à dire NON, un non ferme et fort, un non retentissant de vérités et d'authenticité. Un non, quel qu'en soit le prix, quel qu'en soit le jugement et la réaction, et c'est là que vous apprendrez à scintiller pleinement de votre Lumière. Combien de fois ne nous sommes pas laissez influencer par les autres, combien de fois ne nous sommes pas pliés à leurs envies et attentes, par peur de ne pas être aimé et accepté, et c'est là qu'en réalité, à chaque fois, nous y avons tout perdu.
Soyez vous même quel qu'en soit le prix. En vérité, vous ne perdrez rien. En réalité, vous vous ouvrirez à tout, à ce qui toujours vous attendait, et qui réellement vous correspondait. Il faut savoir se tenir face au monde, face à tous, et s'éloigner de ce conformisme qui défigure chacun et l'éloigne de lui même. Crier un "Non" haut et fort définitif, afin de dire un GRAND OUI à soi même, à son être, à son authenticité, à sa LIBERTE...
Les pouvoirs du vice-roy sont une usurpation.
28 décembre 2012
Il faut mettre dehors ce vice-roy non élu.C'est assez de se soumettre à ce genre de chose.
On peut encore influencer le cours des choses
27 décembre 2012
Pour Le Pélican
Parceque vous croyez que le PQ est à l'écoute du peuple, j'en doute fort. L'insatisfaction envers le gouvernement libéral n'est pas vraiment moins élevé que celui du PQ en ce moment. Ensuite, le PQ a perdu des votes que par sa faute et sincèrement un vote de moins pour le PQ est un vote de moins pour le PLQ, car c'est du pareil au même. Vous vivez encore dans l'illusion que Jean Charest serait différent de Pauline ou que le PQ serait différent du PLQ, car même sur le plan économique, Stephen Harper pourrait très bien se réincarner en chef du PQ en ce moment.
Pour Yves Rancourt
C'est justement là, le problème du PQ, car il n'est plus à l'image de ses membres et cela depuis longtemps. Le drame des péquistes c'est qu'ils croient encore que leur parti est souverainiste ou même progressiste ou de gauche. Vous ne semblez pas faire la différence entre le PQ des députés et celui de ses membres. Ensuite, lorsqu'on vote par stratégie, on vote généralement en se bouchant le nez pour éviter de vomir, ce qui nous ammène à la conclusion que le vote du PQ ne représente plus grand chose.
Pour ce qui est de QS, bien que je ne sois pas membre de ce parti, sachez que les électeurs de QS ont plutôt tendance à se dire que si le référendum serait piloté par le PQ, ils voteraient contre car un grand nombre d'entre eux se disent que cela ne vaut pas la peine de quitter le Canada pour rejoindre un Québec indépendant qui serait à l'image du Canada tel que proposé par le PQ. La gauche est une condition pour un grand nombre d'entre eux à voter en faveur de l'indépendance. C'est en cela que votre sondage brouille les cartes, car dans sa formulation, elle laisse sous entendre que le projet d'indépendance serait piloté par la droite. Il n'y a pas de position neutre vis-à-vis le projet d'indédendance, c'est soit la droite ou la gauche et c'est une chose que ON ne semble pas avoir compris. Ensuite, sachez que les membres de QS pour la grande majorité d'entre eux sont d'ancien péquiste autant que les membres de ON, mais des péquistes qui ont vécu ou vu de leurs yeux les injustices du PQ et c'est d'ailleurs pour cette raison que QS est issu du milieu communautaire.
Avec un langage cru venant d'un travailleur social cela va peut-être vous aider à comprendre.
Est-ce qu'avec l'indépendance du Québec, le gouvernement du Québec va t'il continuer à chier sur la tête des plus pauvres comme en ce moment ?
Est-ce qu'il va continuer à mépriser les pauvres ou à entretenir les préjugés à leur égard ?
Croyez-vous sincèrement que celui qui chie constamment sur la tête des plus faible peut les convaincre d'adhérer au projet d'indépendance ?
Et bien c'est pour cette raison que vous avez un résultat de 50% en faveur de l'indépendance chez QS car le projet d'indépendance est piloté par un PQ qui n'a jamais cessé de commettre des injustices dans le passé comme dans le présent. Un parti qui prône l'injustice sociale ne sera jamais en mesure de convaincre les gens à adhérer au projet d'indépendance, surtout ceux qui sont victime de cette même injustice sociale.
Une loi inutile pour l’honneur de notre drapeau
27 décembre 2012
Veuillez m'excuser M. Deblois.
Pierre Croupier
Être Québécois, une question d'appartenance à l'identité culturelle
27 décembre 2012
Monsieur Labrie,
Ce que vous ne comprenez pas, c'est que le Marché n'en a rien à cirer de l'identité québécoise. Le Marché a besoin de ressources humaines point. Et le Marché se fout de l'identité ethnique, linguistique et culturelle de la ressource humaine en question.
Et c'est le Marché qui domine la société québécoise.
Être Québécois, une question d'appartenance à l'identité culturelle
27 décembre 2012
On peut faire tout cela mais ça ne veut pas dire pour autant qu'on est Québécois. Etre vraiment Québécois c'est plutôt accepter de mettre sa sécurité et son confort en jeu pour libérer le peuple québécois de la domination canadienne.
La chute brutale de l’empire américain : les chiffres
27 décembre 2012
Lorsqu'on voit ce que vous appelez, monsieur Le Hir, la chute brutale de l'empire américain, peut-être que les Mayas avaient raison après tout.