André Pratte

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    [une chronique intitulée « Tout est pourri » (critique de Anne-Marie Gingras) ->http://books.google.fr/books?id=EZWguAMXAtsC&pg=PA27-IA27&lpg=PA27-IA27&dq=pratte+Tout+est+pourri&source=bl&ots=MUti9NTQuH&sig=h2zgJlLgOg844j5ejxnUl4zH2_s&hl=fr&sa=X&ei=73RrT8aQEqnh0QHuh4GyBg&ved=0CEEQ6AEwBQ#v=onepage&q=pratte%20Tout%20est%20pourri&f=false]

    [Semaine après semaine, ce petit monsieur nous convie à la petitesse->http://www.pierrefalardeau.com/index.php?option=com_content&task=view&id=30&Itemid=2]. Notre statut de minoritaires braillards, il le célèbre, en fait la promotion, le porte comme un étendard avec des trémolos orwelliens : « La dépendance, c’est l’indépendance ». « La soumission, c’est la liberté ». « La provincialisation, c’est la vraie souveraineté ». « La petitesse, c’est la grandeur ». Pour lui, un demi-strapontin à l’Unesco est une immense victoire pour notre peuple. C’est la seule politique étrangère qu’il arrive à imaginer pour le peuple québécois. Mais cet intellectuel colonisé type n’est pas seul. Power Corp. et Radio-Cadenas en engagent à la poche.




Les dépensiers

Le gouvernement du Québec dépense trop parce que les Québécois eux-mêmes sont dépensiers.

Le Remède imaginaire. Pourquoi l’immigration ne sauvera pas le Québec

Le poison imaginaire

Sur les rails

C'est plutôt un Jean Charest énergique qui a tenté hier de remettre son gouvernement sur les rails en dévoilant un plan ambitieux et cohérent.

Deux mythes

Une chose est sûre, aucune nation n'a levé le nez sur une aussi belle occasion d'enrichissement collectif.

La loi 101, hier et aujourd'hui

C'est aux Québécois francophones de prendre en main leur destinée linguistique au lieu de s'en remettre à l'État.

La côte

Comme l'a perçu notre caricaturiste, ce n'est pas une côte que Jean Charest doit remonter. C'est l'Everest.