[une chronique intitulée « Tout est pourri » (critique de Anne-Marie Gingras) ->http://books.google.fr/books?id=EZWguAMXAtsC&pg=PA27-IA27&lpg=PA27-IA27&dq=pratte+Tout+est+pourri&source=bl&ots=MUti9NTQuH&sig=h2zgJlLgOg844j5ejxnUl4zH2_s&hl=fr&sa=X&ei=73RrT8a...
[une chronique intitulée « Tout est pourri » (critique de Anne-Marie Gingras) ->http://books.google.fr/books?id=EZWguAMXAtsC&pg=PA27-IA27&lpg=PA27-IA27&dq=pratte+Tout+est+pourri&source=bl&ots=MUti9NTQuH&sig=h2zgJlLgOg844j5ejxnUl4zH2_s&hl=fr&sa=X&ei=73RrT8aQEqnh0QHuh4GyBg&ved=0CEEQ6AEwBQ#v=onepage&q=pratte%20Tout%20est%20pourri&f=false]
[Semaine après semaine, ce petit monsieur nous convie à la petitesse->http://www.pierrefalardeau.com/index.php?option=com_content&task=view&id=30&Itemid=2]. Notre statut de minoritaires braillards, il le célèbre, en fait la promotion, le porte comme un étendard avec des trémolos orwelliens : « La dépendance, c’est l’indépendance ». « La soumission, c’est la liberté ». « La provincialisation, c’est la vraie souveraineté ». « La petitesse, c’est la grandeur ». Pour lui, un demi-strapontin à l’Unesco est une immense victoire pour notre peuple. C’est la seule politique étrangère qu’il arrive à imaginer pour le peuple québécois. Mais cet intellectuel colonisé type n’est pas seul. Power Corp. et Radio-Cadenas en engagent à la poche.
Quebec and Canada are already walking on divergent paths
La crise des derniers jours est moins une condamnation de son leadership qu'un révélateur de l'impasse dans laquelle se retrouve le Parti québécois en ce qui a trait à sa raison d'être, l'indépendance.
Depuis hier matin, les libéraux de Jean Charest rient dans leur barbe. Ils devraient s'abstenir.
Le quotidien Haaretz croit savoir que le chef de gouvernement canadien a agi ainsi à la suite d'un appel téléphonique du premier ministre israélien Benyamin Nétanyahou, la veille de son départ pour la France.
Le gouvernement qui aura le courage de lancer ces réformes devra composer avec l'opposition des milieux syndicaux. Cela étant, il serait stérile de braquer les centrales sur des enjeux somme toute secondaires.
Bien malin celui qui pense savoir lequel du Bloc québécois ou du Parti libéral du Canada sera en meilleure santé dans quatre ans.