"Passion Politique" de Jean Chrétien

Une histoire inachevée

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La "fin de cette histoire" sera écrite par le peuple québécois
Fanfarons déchus

«Sans moi, le Canada n'existerait pas, disait M. Dion. Si je n'avais pas été là, le président de la république du Québec s'appellerait Lucien Bouchard.» - S. Dion, 2003


J. Chrétien prit les choses en main quand il apprit qu'un sondage "révélait un changement soudain dans les intentions de vote : le OUI était désormais en avance, 54 à 46, et le camp du NON était en chute libre. Personne ne savait comment renverser la vapeur." [J. Chrétien->9580] C'est alors qu'il est venu, tremblant et décâlissé, pleurnicher à tévé... comme un ti-kapo qui aurait mal fait sa job...
Ironie de l'histoire. Dans ce pays sans bon sens, Lucien Bouchard, le réel gagnant de 1995, effrayé par sa propre victoire, est reparti dans ses terres, la queue entre les deux jambes, comme un loup pissou... Les perdants ont crié victoire, et les gagnants ont plié bagages. Ainsi va la vie dans ce pays qui n'en est pas un. (Vigile)
Mais tout n'est pas perdu et l'histoire reste inachevée... "Les souverainistes n’ont pas gagné, mais leurs adversaires traditionnels ont cruellement perdu les dernières batailles chez les francophones."

"leurs adversaires de toujours - libéraux fédéraux et provinciaux - sont littéralement terrassés" - Jean-Herman Guay, 2007


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