Anything but French in cafés of Québec

Symptôme de l'irrésistible descente (volontaire) vers l'insignifiance collective ?

À propos (en particulier mais non exclusivement) des Brûlerie(s) de la cité de Québec

Tribune libre

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Référence en guise de contrefort : www.imperatif-francais.org/s2-a-vous-la-parole/parole-2014/les-brulerie-s-de-quebec/

Note préliminaire : considérant cette intervention comme étant d’intérêt public,
toute reproduction ou reconduction se voient autorisées sans autre forme par l’auteure

Bonjour,

Je me réjouis (enfin, façon de parler) du propos de madame Pisier.

Étant également résidante de la Capitale nationale, je connais ces multiples cafés qui se présentent sous la bannière des Brûlerie.

Je fus heureuse, il y a quelques années, de constater qu’une entreprise proprement québécoise s’attaquait enfin à ce «marché» largement détenu par des transnationales états-uniennes : Second Cup, Starbucks et autres Coffee Depot / Café Dépôt (avec un nom pareil, difficile, n’est-ce-pas, de croire qu’il s’agit pourtant, en ce cas, d’une maison québécoise…), Van Houtte, autre établissement québécois, n’étant par ailleurs, hélas, vraiment plus dans le coup depuis longtemps : dégradation constante du service et de la qualité de cet importateur / torréfacteur depuis la mise sur pied, il y a plus de trente ans, de cafés grand-public ayant pignons sur rue (dans les mêmes années que Le Commensal, superbe concept à l’origine, et qui connaît exactement le même sort ; par incurie interne dans les deux cas). Les premiers seront les derniers, dit l’adage…

Toutefois madame Pisier, et pour ma part je le regrette profondément aussi, a entièrement raison. En ce qui concerne les deux aspects mentionnés (choix de cafés à base de grain noir et musique d’expression française… : tous les deux «interdits»). Il faut dire en contrepartie, mais ça n’excuse d’aucune manière La Brûlerie, que les concurrents ne font guère mieux en termes de choix musicaux… Comme dit si bien madame, c’est partout Anything but French ! Y compris chez Nektar (allergie aux fèves torréfiées foncées et arrogante condescendance de certaines membres du personnel, en prime : comme si on attirait les fines mouches avec du vinaigre…), au réseau Castelo, à Presse Café et chez Tim Horton’s (of course!). C’est un peu mieux chez Sobab (nonobstant un service, disons, irrégulier), et surtout au sympathique Tuk Tuk, en Limoilou. L’exception qui confirme la règle. Sur les doigts.

Bref, nous sommes devenu(e)s (ou redevenu(e)s ?), Nous, Québécois/es, aussi colonisé(e)s, et ce n’est pas peu dire, que les Français (et, plus largement, les francophones européens de façon plus générale : les Belges, les Suisses...). En effet, il en est dans nos cafés (et pas exclusivement, chacun sait) ce qu’il en est par ailleurs dans les films franco-français de notre temps : trame musicale in english first and foremost ! Une grande nation, une formidable tradition de culture aussi (notamment cinématographique), pour en arriver là...

Mais ne nous égarons pas de notre propos initial.

Or comme monsieur Ordré Leblanc-Lacombe en remet un peu

– à la limite de l’insulte ajoutée à l’injure, d'ailleurs : la mention selon laquelle madame Pisier serait une battante de la langue française, comme s’il s’agissait là d’une tare, m’a littéralement estomaquée, pour ne pas dire outrée. Dieu sait combien le Québec a besoin de ces citoyen/nes qui refusent de battre en retraite sur des questions fondamentales de la collectivité québécoise. Au demeurant, un commerçant digne de ce nom ne s’interroge pas sur le ‘passé’ ou les préoccupations personnelles des clients qui lui adressent des commentaires critiques : il prend note tout simplement de ceux-ci, et procède aux ajustements et aux améliorations (et ce, dans son propre intérêt) si ces critiques se révèlent effectivement pertinentes à ses yeux. Le reste n’est que mesquinerie, petitesse ou mauvaise foi. Bref, tirer sur le messager, même allusivement, c’est pour un commerçant se tirer lui-même dans le pied. Et c’est hélas rien moins que contre-productif. Rébarbatif, même. À tous égards –

Je m’autoriserai, de mon côté, un complément’.

Et ce complément, le voici. Il fait état de l’aspect «Hygiène» des différentes succursales de ladite maison de café. Je pense en particulier à la saisie manuelle systématique par le rebord des tasses, ou liseré, par les membres du personnel (la plupart d’entre eux, ou elles, en tout cas). Or le client dépose précisément ses lèvres sur ce pourtour. C’est carrément inadmissible aux XXIe siècle, et dans une société moderne et civilisée qui plus est, que des manières aussi peu respectueuses des règles élémentaires de salubrité ne soient pas respectées. D’autre part, l’inexistence de papier essuie-main dans les toilettes a des conséquences désastreuses au plan de cette même hygiène – y compris pour le personnel, qui au sortir de ces lieux privés manipule nourriture et ustensiles (dont les tasses, bien entendu…). C’est que le seul sèche-main électrique a des effets pervers. En effet, après lavage des mains nous devons refermer les robinets… avec ces mêmes mains. Et du coup elles ne sont plus propres, faute d’avoir procédé avec le papier. Et je ne parle pas de l’ouverture de la porte par manipulation de la poignée, lieu inouï, et par excellence (si je puis dire), de tous les germes possibles. Bref, sans papier essuie-main il devient impossible – je dis bien impossible – de sortir de la salle d’aisance les mains propres… Ce qui constitue pourtant, encore une fois, sans pourtant sombrer dans la phobie névrotique de la moindre bactérie, une exigence des plus élémentaires pour tout individu qui se respecte.

Exigence au surplus que l’on enseigne à tous les enfants dès l’âge de trois ou quatre ans…

Cela dit, j’ai constaté exactement les mêmes problèmes d’hygiène chez les concurrents commerciaux de La Brûlerie (Starbucks, Second Cup, Coffee Depot, Castelo, Nektar, Presse Café, etc. Nommez-les tous !). Voire, Chez Temporel (Salut Béart. Père !) en vieux-Québec (dont les déficiences de la nouvelle administration, soit dit au passage, font regretter les belles années de cette enseigne jusque-là réputée). Et c’est absolument impardonnable. Partout. Peu importe le restaurant, le café ou l’établissement concerné. Comme si nous vivions dans un pays dit sous-développé. Mais que fait donc le ministère de la Santé pendant ce temps (avec trois médecins au sommet de la pyramide de l’État !) ? S’occupent-il vraiment des «vraies affaires», ces gens-là ???

Avec l’espoir que ce complément critique à l’intervention de madame Pisier connaîtra des suites positives pour le(s) milieu(x) identifié(s). Et pour le bénéfice du plus grand nombre. Car à l’instar de madame, je privilégierais aisément, et d’emblée, La Brûlerie à tous ses concurrents (hormis Tuk Tuk) au sein du monde du café (que j’adore comme… une drogue. Surtout le noir… aussi). Mais encore faudrait-il que son propriétaire finisse par sortir sa tête du sable.

Et comprendre enfin que la réussite réside tout à la fois dans la différence, l’audace, la qualité, l’originalité. Et surtout, surtout, dans le respect de ce que l’on est soi-même. En opposant un Nothing but French, (ou un Anything but english, à tout le moins) par exemple, et pourquoi pas, à cette dictature omniprésente partout de l’anglais.

Comme si le Québec n’était plus qu’un Manitoba, un Ohio ou une Louisiane du Nord (en effet) sur ce sol d’Amérique. Laquelle terre du continent tout entier fut naguère française du Nord au Sud, d’Est en Ouest (mais notre mémoire historique collective semble à notre époque ne pas dépasser les trois mois : d’où la réélection continue – ô mystère hallucinant des urnes / des radio-poubelles aussi – des régimes tout à la fois les plus corrompus et les moins fidèles aux intérêts supérieurs du pays de Champlain, de Frontenac, de Montcalm et de René Lévesque). Comme si la Liberté et la Francité – c’est-à-dire un Québec simplement adulte – constituaient des ennemies. Des ennemies à abattre. Absolument.

Anything but Freedom manière Stéphane Dionn ou Pierre Moreau, en quelque sorte...

Et si on troquait à la fin, concitoyennes et concitoyens, l’asservissement volontaire pour la Dignité ??? Après tout, comme disait la maman de la maman d’une grand-maman hautement respectable, nommée Lise Payette : «Ce n’est pas plus fatigant de vivre debout que de vivre à genoux».

Bien au contraire.

Même si la servitude – il est vrai, nous en convenons à contrecœur – a ses «avantages» : tous les animaux domestiques vous le diront. Dans leurs mots» et leurs moues. Indistinctement.

Merci.

Références utiles :

- La Brûlerie (comptoirs disséminés dans la Capitale) : bruleries@me.com
- Second Cup : secondcupcustomercare@secondcup.com
- Coffee Depot / Café Dépôt : info@cafedepot.ca
- Starbucks : info@starbucks.com et/ou canadadonations@starbucks.com
- Castelo (quelques antennes ici et là) : info@cafecastelo.com et okuka@videotron.ca et cafe.castelo.1av@gmail.com et info@cafe-in.ca et/ou www.cafecastelo.org/contactez-nous.ws
- Tuk Tuk (Vieux-Limoilou) : Cafe.Tuk.Tuk1@gmail.com
- Presse Café : info@pressecafe.com
- Sobab (Vieux-Limoilou) : aline@cafesobab.com
- Van Houtte : http://www.vanhoutte.com/fr-ca/consommateur/nous-joindre
- Nektar (quartier Saint-Roch) : info@lenektar.com
- Paillard (rue Saint-Jean) : info@paillard.ca et gerantcapitale@paillard.ca
- La Boîte à pain : info@boiteapain.com
- Tim Horton’s : www.timhortons.com/ca/fr/about/formulaire-pour-nous-joindre.php
- (Défunt) Café Tatum : tatum@tatum.ca ou cafehonore@videotron.ca (torréfacteur toujours en activité qui a maintenant fermé les portes de son comptoir rue Saint-Jean) }
- Quant à Chez Temporel, il faut impérativement être membre de Facebook (et du coup enrichir bêtement ses actionnaires - voir : http://agora.qc.ca/documents/facebook--face_a_face_avec_facebook_par_jacques_dufresne) pour communiquer avec l’établissement. Cherchez l'erreur…


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6 commentaires

  • Archives de Vigile Répondre

    21 novembre 2014

    Les Brûlerie de Québec
    et autres cafés de la Capitale

    ... Et c'est particulièrement pénible - mais pénible, madame ! - à l'établissement sis angle 5e rue et 3e avenue (Brûlerie Limoilou) : un choix musical exclusivement anglophone et à volume toujours excessif.
    Hélas, pour la Brûlerie, toutes antennes confondues de la maison de Québec, il n'existe nulle autre culture digne de ce nom que celle qui s'adresse à de jeunes Américains de 13 ans.
    On en est là au Québec. À Montréal, à Laval, à Gatineau... Et maintenant en pleine Capitale.
    Et c'est à se taper la tête contre les murs.
    Nulle nécessité des Canadians et autres Étatsuniens pour écraser la langue de Diderot et la culture de Félix Leclerc : les Jeff* Fillion et les Stéphane Gendron de ce monde - je veux dire : tous nos Elvis Gratton qui se multiplient à vitesse grand V depuis de nombreuses années - sont bel et bien parvenus à leur fin :
    Se vomir soi-même and Think Big !
    In english. For sure. And only.
    400 ans de combat fier, noble, digne pour en arriver là...
    Jean-Luc Gouin,
    Stadaconé, 21 nov. 2014
    * Ou « Jean-François », de son authentique prénom. Pour qui désirerait l'insulter, quoi...

  • Archives de Vigile Répondre

    8 novembre 2014


    La (les) BRÛLERIE en Capitale.
    Une entreprise locale qui pourrait connaître un grand succès. Et où il serait agréable de siroter un bon café.
    Mais qui hélas est laissée entre les mains d'adolescents et d'adolescentes.
    Des adolescents. En effet. Et si l'on s'en fie à l'extraordinaire puissance d'inertie du propriétaire (aucune évolution, aucun progrès, aucune suite aux critiques adressées à ses commerces, au fil des mois et des ans...), on peu en conclure - signe des temps ?- que l'on peut être un ado toute sa vie...
    Des ados. Qui imposent leur « culture » musicale (exclusivement anglo-saxonnne) à leur clientèle. Sans compter, bien sûr, le volume toujours trop élevé.
    Il y a des diamants partout dans notre culture chansonnière d'expression française. Mais l'ignorance de ce trésor dépasse carrément l'entendement.
    La moindre niaiserie de la dernière semaine, pourvu qu'elle nous provienne des États-Unis, est mieux connue par nos jeunes « Québécois » que Brel, Félix, Vigneault, Léveillée, Brassens ou Ferré.
    Est-ce avec ces ados à l'inculture abyssale que le Québec de Pierre Bourgault deviendra bel et bien un pays.
    ... Français.
    Comment somme-nous tombés si bas comme Peuple ?
    Comment ?

  • Archives de Vigile Répondre

    5 novembre 2014


    J'ai largement abandonné la Brûlerie au fil du temps.
    Surtout à cause de la musique (on croirait des ados qui reçoivent des ados, et qui ne connaissent rien d'autre que le bruitage anglo-américain) ainsi que de l'absence de café à fève noire (comme beaucoup de gens, je préfère, et de loin, le café noir au café brun; lequel me fait toujours penser à du vulgaire Robusta : café bas de gamme destiné à des produits dérivés, comme le café soluble, etc.).

    Dommage que cette entreprise soit absolument incapable d'évoluer (le temps passe : rien ne change. Et ce, depuis des années !).
    Pour le café noir, on peut aller ailleurs.
    Pour l'ambiance musical, cependant, c'est pourri partout.
    Comme si la langue française était, à l'instar de... la France, interdite dans notre propre maison nationale québécoise.
    La dernière « schnouttte » américaine passe toujours loin devant -- de Félix et Vigneault à Brel, Brassens, Ferré, Ferrat, de Claude Léveillée, Jean-Pierre Ferland, Jacques Michel, Pauline Julien, Monique Leyrac, Sylvain Lelièvre et autres Paul Piché à Édith Piaf, Françoise Hardy et autres Moustaki ou Reggiani -- les trésors fabuleux (sans équivalent sur la Planète !) de la chanson d'expression française.
    C'est notre premier ministre Philippe Couillard qui doit être so happy !
    Nous pensions ne plus être un peuple colonisé. Depuis la Révolution tranquille.
    Erreur ! Nous le sommes plus que jamais. Car désormais nous sommes fiers de l'être. DONNÉE ABSOLUMENT INÉDITE À CE JOUR. Nous devenons chaque jour un peu plus un peuple de ti-counes dépossédé de toute colonne vertébrale.
    C'est carrément dégoûtant.
    À l'instar de nombreux Français dès 1940, nous sommes pour la plupart d'entre nous - activement ou par abstention : le résultat est rigoureusement le même - de vulgaires collaborateurs à notre propre anéantissement.

  • Archives de Vigile Répondre

    29 octobre 2014

    LE CAS « VAN HOUTTE »
    Bonjour,
    Re : www.vigile.net/Symptome-de-l-irresistible
    Introduction : j’ai acheminé ces remarques critiques à la maison Van Houtte via
    www.vanhoutte.com/fr-ca/consommateur/nous-joindre
    La direction de Van Houtte aurait intérêt, grand intérêt, à lire ce commentaire critique publié il y a peu sur la Toile.
    J'ai d'ailleurs abandonné VH depuis plusieurs années. Pour toutes ces raisons. Ainsi qu'une autre, supplémentaire (et qui n'est pas des moindre) : la mauvaise qualité du café ! Rien moins. Ce qui, on en conviendra, est un comble pour une institution comme la vôtre.
    J'ai longtemps été un client fidèle. Mais vraiment, depuis au moins une bonne douzaine d'années, je suis médusé par la médiocrité généralisée de vos bistros. À tous égards. Du choix musical, exclusivement commercialo-anglophone, à la propreté générale, en passant, en effet, par des espressos d'un commun qui vous laissent loin derrière la concurrence. En dépit des carences latérales, lourdes et nombreuses il est vrai (madame Morgane en témoigne avec doigté), de celle-ci.
    Vraiment, je ne comprends pas votre « politique », chez Van Houtte. Même vos cafés en supermarchés (en vrac ou préemballés) sont médiocres et onéreux en comparaison à de nombreux concurrents.
    Dommage qu'une maison québécoise, autrefois respectée (je devrais préciser : autrefois… québécoise), puisse se laisser aller de la sorte.
    Ça ne me réjouit pas du tout de vous exprimer cette opinion. Car je préférerais encourager Van Houtte à Second Cup et autres Starbucks. Mais vous semblez tout faire pour éloigner la clientèle.
    Car enfin, on n'attire pas les mouches avec du vinaigre. Vous devriez le savoir, il me semble.
    Après plus de cent ans d’existence...
    Question (légitime) en terminant : Y a-t-il encore un pilote dans l'avion de cette entreprise ???
    LJD

  • Archives de Vigile Répondre

    22 octobre 2014


    LE FRANÇAIS : UNE LANGUE DÉGOÛTANTE ?
    J'ai fait la « tournée des grands ducs » depuis la publication de cette lettre ouverte aux cafetiers de Québec. En particulier, quelques antennes du consortium « Les Brûleries », présentes un peu partout sur le territoire. De Limoilou à Ste-Foy, par le Vieux-Québec et le quartier Saint-Roch.
    Or je n'ai constaté aucun, mais absolument AUCUN PROGRÈS : c'est toujours aussi systématiquement anglophone comme choix musical. À volume presque toujours trop élevé, comme pour ajouter l'insulte à l'injure.
    Quant à l'hygiène et la propreté, la plupart des membres du personnel (pas tous ou toutes, mais la quasi-totalité) nous «offre» en permanence les germes de leurs mains en manipulant les tasses n'importe comment, plutôt que par la base ou l'anse. Ainsi à chaque fois que l'on dépose les lèvres sur la bordure de la tasse, on ne sait jamais ce qu'on nous inocule...
    Payer pour se faire empoisonner ???
    C'est carrément dégoûtant. Je ne comprends pas qu'un propriétaire d'établissement puisse à ce point manquer aux exigences les plus élémentaires de la santé publique.
    Quant aux toilettes, j'avoue ne pas avoir osé y mettre de nouveau les pieds. Je ne puis donc en juger.
    Un détail... Aujourd'hui même, sur la 3e avenue, à la Brûlerie de Limoilou, on nous reçoit avec des banderoles (Halloween oblige ???) libellées comme suit :
    « CAUTION DANGER CAUTION DANGER CAUTION DANGER... ».
    Décidément, pour M. Ordré Leblanc-Lacombe il semble que ce soit la Langue française qui soit "proprement" dégoûtante.
    Illustration pénible et répugnante de ce que devient le pays de René Lévesque.
    Dire que nous avons déjà été « quelque chose comme un grand peuple », aux dires de ce dernier.
    Il me semble que ça remonte à mille ans passés...
    Comment un peuple peut-il devenir aussi insignifiant en si peu de temps. ? Voilà une question qui exigera sans doute un autre mille ans avant d'en trouver la réponse.
    In english, of course !
    MC,
    Québec, le 22 octobre 2014

  • Archives de Vigile Répondre

    30 septembre 2014

    .
    Extrême mauvais goût chez les Cafés et Cafetiers de/du Québec
    Bonjour vigiliens de tous horizons,
    Merci à vous, madame Morgane, pour ce texte bien senti. Et ô combien pertinent.