au lendemain de la Fête Nationale

Si on revenait à notre mouton Charest

Objectif : dehors à la prochaine élection

Tribune libre

Depuis quelques semaines, soit depuis le 2 mai dernier, lors de la défaite du Bloc à Tawa et plus récemment, les démissions au Parti Québécois, ici sur Vigile les textes anti ou pro-Marois se sont succédés. Je n’y ajouterai pas le mien, bien que sachant d’une manière que certains approuveraient et d’autres non.
Ce qui me préoccupe est plutôt la remontée de Charest, peut-être que le moment est venu de recentrer notre attention vers celui qui magouille dans notre dos.

Celui qui n’a de cesse de vendre et de polluer notre territoire à des compagnies gazières, minières, qui nous VOLENT nos ressources naturelles.
Celui qui a passé sous baillon la loi 115 des écoles passerelles pour nous assimiler aux anglos-saxon.
Celui qui a fait de la nomination des juges une farce libérale avec sa commission Bastarache qui l’a rendu politiquement applicable.
Celui par qui arrive le Plan Nord, où j’en suis certaine, les redevances pour les Québécois seront minimales.
Celui qui agit en dictateur, en ne consultant pas la population sur des enjeux majeurs pour celle-ci.
Celui qui a méprisé la pétition de 250,000 noms réclamant sa démission.
Celui qui a refusé une enquête sur l'industrie de la construction et le financement des partis politiques.
Celui qui a été faire la belle en Montérégie et qui a accordé le droit de reconstruction en zone inondable aux propriétaires de maison principale de cette région.
En effet, il est temps maintenant de remettre le viseur sur notre mouton voleur, menteur, magouilleur, traître à la nation. La prochaine élection au Québec sera cruciale pour notre survie en tant que peuple francophone d’Amérique du Nord. L’assimilation nous guette, là-dessus, Gilles Duceppe a raison, dommage qu’il n’en parlait pas avant.
Alors peu importe qui sera la ou le Chef du Parti Québécois, le but du regroupement des forces indépendantistes sous la bannière du réseau de
"Cap sur l'Indépendance" aura son travail à faire le moment venu pour obliger un gouvernement indépendantiste à agir en tant que tel.
Lise Pelletier, membre du Rassemblement pour l’Indépendance Nationale.


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2 commentaires

  • Sylvain Meunier Répondre

    27 juin 2011

    De crainte de me répéter, nous avons une occasion en or pour dire haut et fort au monde entier que nous sommes un peuple distinct et que pour cette raison, nous désirons avoir notre propre pays, le Québec. On peux se réunir et discuter entre nous à l'aide de Cap sur l'Indépendance mais nous pouvons aussi se rendre à Montréal le 2 juillet devant l'hopital Ste-Justine et le 3 juillet à Québec manifester contre la venue du couple princier. Entre nous, nous savons tous ce que nous voulons, si nous désirons que tous le savent, le 3 juillet, le monde entier aura les yeux braqués vers le Québec. Je pense bien que cet évènement est pour nous l'ultime occasion de le faire savoir car les médias en général ne laissent plus beaucoup de place à l'indépendance et à ces défenseurs.

  • Archives de Vigile Répondre

    26 juin 2011

    Non, plus que cela Madame. Oui à Cap sur l'indépendance, j'en fais partie.
    Mais cela nous prend une Coalition indépendantiste citoyenne pour les prochaines élections, car on ne peut plus se fier au PQ et aux partis politiques traditionnels.
    Pierre Cloutier