PKP. Enfin! La chance

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Un autre appui à PKP

Il n’incarne ni le Bien, ni le Mal, ni le Juste, ni l’Iniquité, ni la Rédemption, ni la Résignation… Il est l’espoir.
Il est celui qui ne craint rien, celui que l’ennemi craint.
Adossé aux luttes séculaires de notre nation comme à un grand livre rouge, il a le pouvoir de parler, dans une langue qu’ils comprennent, aux voleurs de nos biens, marchands aliénés qui troquent notre richesse collective dans des échanges minables qui les enrichissent à peine et nous appauvrissent considérablement. Il peut, et ils le savent, exercer contre eux, pour sa nation, le pouvoir que lui octroie sa connaissance de leurs buts et de leurs moyens de les atteindre.
Il est celui qui ose penser, par expérience personnelle du succès, que toute victoire se gagne à la force du poignet, Autrement dit, à force d’exacte évaluation des énergies et faiblesses en présence.
PKP sait de science certaine que la puissance de nos ennemis nationaux ne tient qu’à notre peur séculaire d’exploiter la nôtre.
Athée depuis près de 70 ans, militante depuis plus de 50 ans, je ne suis pas naturellement portée à confier mon destin à un Messie. Je ne le confie donc pas à PKP, mais à la perspicacité de mes concitoyens qui sauront, je le souhaite, lui reconnaître l’intelligence et le talent nécessaires à nous mener enfin à l’appropriation de notre Québec, ce pays si grand, si beau et si riche que nos ennemis sont prêts à commettre tous les crimes de lèse-démocratie pour le receler après nous l’avoir volé.
Andrée Ferretti

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"Rien de plus farouche en moi que le désir du pays perdu, rien de plus déterminé que ma vocation à le reconquérir. "

Andrée Ferretti née Bertrand (Montréal, 1935 - ) est une femme politique et
une écrivaine québécoise. Née à Montréal dans une famille modeste, elle fut
l'une des premières femmes à adhérer au mouvement souverainiste québécois
en 1958.Vice-présidente du Rassemblement pour l'indépendance nationale, elle
représente la tendance la plus radicale du parti, privilégiant l'agitation sociale
au-dessus de la voie électorale. Démissionnaire du parti suite à une crise
interne, elle fonde le Front de libération populaire (FLP) en mars 1968.Pendant
les années 1970, elle publie plusieurs textes en faveur de l'indépendance dans
Le Devoir et Parti pris tout en poursuivant des études philosophiques. En 1979,
la Société Saint-Jean-Baptiste la désigne patriote de l'année.
Avec Gaston Miron, elle a notamment a écrit un recueil de textes sur
l'indépendance. Elle a aussi publié plusieurs romans chez VLB éditeur et la
maison d'édition Typo.





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