La place du Québec avec ou sans le Canada

Peurs, menaces et espoirs sont des 2 côtés

Entre se séparer du Canada ou demeurer là

Tribune libre

Comme la très belle chanson de la regrettée Mme Pauline Julien : « Déménager ou rester là » qui porte sur la difficulté de se décider à changer, beaucoup de Québécois hésitent entre ces 2 choix : On continue dans la fédération actuelle, pour des raisons économiques et historiques, en résistant à la centralisation et à l’anglicisation ou on se sépare du ROC pour des raisons culturelles et linguistiques et économiques aussi, pour ceux qui croient que ce serait plus efficace d’avoir tout le coffre à outils de taxes et d’impôts, à la même place, dans un Québec indépendant du ROC.
Est-ce que le Québec devrait prendre exemple sur la France qui est souveraine avec des services communs dans l’Union européenne, en adaptant le principe à notre situation particulière ou, nous contenter de faire partie de notre fédération canadienne ?
Le Québec est encore divisé en 2 parties à peu près égales sur la réponse. Chaque côté a peur de la réussite de l’autre mais, du côté fédéraliste, ils ont la force de l'inertie avec le ROC de leur côté. Du côté souverainiste, nous avions bien la France qui était sympathique à la souveraineté du Québec mais, avec M. Sarkozy, la France penche aussi du côté fédéral.
Fait qu’on devrait faire quoi en attendant d’autres développements ? Chercher d'autres idées constitutionnelles, résister à l’anglicisation et à la centralisation du fédéral et tenter de comprendre les peurs et les espoirs de nos fédéralistes francophones "nos anglophones vont être plus difficiles à convaincre" pour pouvoir mieux les décider à voter OUI à la souveraineté du Québec. Voter aux prochaines élections pour le PQ « pour ne plus avoir M. Charest et son PLQ » et voter pour le Bloc « pour limiter les intrusions fédérales des Conservateurs et du PLC » . Eux, sont mieux placés pour trouver les solutions, principalement LA solution qui pourrait convenir, en grande partie aux uns et aux autres, avec le moins de perturbations possibles.
Plus le % de OUI sera élevé, moins sera difficile le changement proposé, c'est clair.


Laissez un commentaire



9 commentaires

  • Gilles Bousquet Répondre

    28 juillet 2009

    Il fallait que j'écrive discréditer à la place de discriditer, c'est ivident. S'cusez là.
    C'est la semaine de l'humour et du rire, faut pas l'oublier !

  • Gilles Bousquet Répondre

    28 juillet 2009

    J'oubliais, il y a aussi des 2 côtés "fédéralistes et souverainistes" les insultes, les invectives, la dérision et les expressions choquantes. Il y en a même entre souverainistes pressés, moins pressés, pas assez ou trop orthodoxes etc.
    On voudrait libérer les Québécois francophones, pas les insulter même si certains sont appelés collabos, traites, fédérasses, séparatissss, révolutionnaires, rêveurs. On attaque les Québécois à la place de leurs idées qu'ils n'auraient pas le droit d'avoir.
    Les enragés font peur de tous les côtés et ils servent seulement à discriditer leurs idées. Ils ne semblent pas se rendent pas compte qu'ils nuisent à leur cause.

  • Archives de Vigile Répondre

    27 juillet 2009

    Suite

    - Constituer une limite entre (des choses). Clôture qui sépare deux propriétés. Rivière qui sépare une ville en deux.

    Il n'y aura pas de limites autres que celle du Québec actuel. Il n'y aura pas non plus de « clôture », les rivères vont demeurer où elles sont actuellement.

    - Constituer une différence entre (des choses, des êtres). Caractéristiques qui séparent les races d’une même espèce. Milieu socioéconomique qui sépare les élèves.

    - PRONOMINAL - Se séparer

    - Se séparer : cesser d’être un tout ou un groupe en se défaisant en différentes parties, se désunir. Comité qui se sépare à la fin de la séance.

    Pareil que précédemment. Le « tout » est invalide et illégitime... Le Comité ne s'est jamais valablement réuni. Le peuple souverain du Québec n'a jamais été convoqué à la réunion. Et, c'est lui qui prendra la décision d'invalider la supposée réunion. Qui n'a jamais eu lieu.

    - S’éloigner, s’écarter l’une de l’autre, en parlant de choses. L’eau et l’huile se séparent.

    Pareil que précédemment. Personne ne sera éloigné du Canada. À moins de dérive des continents, mais ça, c'est une autre histoire.

    - Se quitter, ne plus être ensemble. Couple qui se sépare. Amis qui se séparent pour les grandes vacances. Fillette qui ne se sépare jamais de sa poupée.

    Nous ne quitteront rien du tout. Nous allons tous rester au même endroit qu'avant. Et, le peuple souverain du Québec n'est pas la poupée du Canada. On ne prendra pas plus de vacances qu'avant...

    - Se diviser. Route qui se sépare.

    Rien de sera divisé, les routes vont demeurer au même endroit...

    - [DROIT] Vivre en séparation de fait. Ils se sont séparés voilà deux ans.

    Les faits... l'État du Canada que nous allons invalider, n'est pas un État de droit émanant démocratiquement des voix du peuple souverain du Québec. Il s'agit d'un État autocratique imposé d'en haut et d'autorité. Nous n'avons jamais « vécu ensemble » de manière libre et volontaire, comme un couple peut le faire en ses disant OUI nommément. Nous allons de notre libre consentement vivre ensemble... Et, nous allons continuer à vivre de la même manière, séparés... Nous n'avons jamais formé un « tout ».

    Vous dites encore :

    « On peut se séparer même si on n’est pas validement marié, etc. »

    Bien sûr. On sépare alors un tout valide. Celui que forme un couple non marié vivant ensemble de manière valide, c'est-à-dire, consentie, mutuellement. On sépare alors le couple, non marié. Le tout est désormais séparé en deux.
    L'État du Canada n'est pas un couple non marié. C'est un État qui a imposé un mariage de force. Un Écrit, des Actes consacrent, ont consacré telle UNION fallacieuse, jamais volontaire.
    « C’est vrai que si nous nous réunissons avec le ROC, deux pays ou plus dans un organisme qui s’appellerait le Canada, »
    « L'organisme » en question ne peut s'appeler Canada si le Canada (RdC) s'appelle Canada... Un peu d'imagination que diable...
    « ... cet organisme, en principe, ne serait pas un pays mais pourrait agir comme tel au nouveau international, si et quand ses composantes en décidaient ainsi, dans certaines circonstances, pour plus d’efficacité quand tout le monde est d’accord pour le faire. »
    Comme l'Europe... !?
    Aucun intérêt de le faire avec seulement le Canada... L'intérêt serait de le faire avec le Canada, les États-Unis et le Mexique, voire Haïti, et les Caraïbes...
    « Un peu d’imagination que diable ! Tout est possible, faut inventer et innover un peu. »
    Comme vous dites... Pourquoi toujours nous confiner à l'enfermement Canadian.

  • Archives de Vigile Répondre

    27 juillet 2009

    @ M. Bousquet
    Vous dites :
    « On peut se séparer d’un tout invalide aussi M. Archambault. »
    Non on ne le peut pas... parce qu'on ne sépare qu'un tout. Ce qui est déjà séparé, non-uni, n'est pas séparé puisqu'il n'est pas uni...
    Voyons voir la définition du mot « Séparé »... dans le sens de :
    Sécession

    - Fait pour une population donnée de se séparer d’un pays. Faire sécession.

    - TRANSITIF DIRECT - Séparer

    - Faire en sorte que (un tout, un groupe) soit défait en différentes parties, désunir. Séparer un composé. Séparer un mouvement religieux en deux sectes.

    Faire en sorte qu'un « tout », le Canada, soit défait en deux « parties », le Québec souverain et le Canada ( RdC ) souverain. C'est l'acception que nous retenez. Or, je dis. Le Canada n'est pas un « tout ». Il se prétend un « tout », mais il n'est pas un tout parce que ce tout est illégitime, invalide. Il n'a pas obtenu le OUI qui le validerait. Le Canada lui-même par sa LOI dite de la « Clarté » affirme que l'État souverain du Québec ne peut être une tout valide, distinct du Canada que si cet État est nommément validé par un OUI.
    En vertu de cette règle, le Québec souverain n'a pas obtenu le OUI utile. Il est donc invalide. Or, le Canada unilatéralement et abusivement n'a jamais obéit à cette règle que lui-même impose, mais qu'il se refuse de s'imposer.
    En appelant le peuple souverain du Québec à invalider tout État qui ne se serait pas soumis nommément à ses voix, la supposée séparation ne peut avoir lieu puisque le Canada n'est plus le tout qu'il prétend être. Il est invalidé en tant que « {tout
    »... Il ne saurait donc être question de « séparation » en ces circonstances.
    Étant donné que je postule que le peuple souverain du Québec répudie l'actuel État du Canada je peux affirmer qu'il ne saurait être question de séparation, pas plus que de sécession. Mais, on peut me contredire, comme vous le faites. Et tant et aussi longtemps que ce peuple souverain du Québec n'aura pas été appelé à se prononcer à cet égard, ma proposition est aussi valide que la vôtre.
    Et on ne peut départager qui a tort ou raison. Je prétends avoir raison parce que les Québécois n'approuvent pas cet État actuel du Canada et on peut présumer à bon droit que si c'était faux, si le Canada pensait lui-même pouvoir obtenir l'approbation de ce peuple à l'État qu'il impose d'Autorité autocratique monarchiste depuis la Conquête, il aurait réglé la question en obtenant le OUI qui en ferait un tout valide. Or il ne l'a pas fait, il ne le fait pas et n'a pas l'intention de le faire parce qu'il serait battu, invalidé. Ce pourquoi il en l'a pas fait.

    - Éloigner, écarter (des choses) l’une de l’autre. Séparer le lait de la crème. Séparer les documents importants des papiers sans valeur. Séparer une pile de vêtements en deux brassées.

    Il ne saurait question d'éloigner, écarter le Québec du Canada. Les territoires ne dériveront pas du fait de fonder sur le territoire national du peuple souverain du Québec un État valide et légitime qui émane de ses voix libres et souveraines.

    - Faire en sorte que (des êtres) se quittent, ne soient plus ensemble. Le sort avait séparé notre famille.

    Nous nous quitterons pas pour la même raison. Nous allons toujours vivre ensemble en Amérique du Nord, personne ne va déménager...

    - Séparer deux adversaires : éloigner (deux adversaires) l’un de l’autre pour les empêcher de se battre.

    Encore, personne de sera éloigné de personne plus qu'aujourd'hui.

    - Diviser (une surface). Séparer une pièce, un territoire.

    Le Canada n'est pas une surface, un volume, mais un territoire. Un territoire bi-national. Les territoires nationaux ne seront pas séparés. Il vont demeurer les mêmes. ET, le territoire du Canada, n'est pas un tout valide et légitime.
    Suite ici-bas

  • Gilles Bousquet Répondre

    27 juillet 2009

    M. Archambault, prolifique et intéressant écrivain et artiste reconnu et apprécié, écrit : «Il n’est pas question de se « séparer ». On ne peut se séparer qu’un d’un tout valide.»
    On peut se séparer d'un tout invalide aussi M. Archambault. On peut se séparer même si on n'est pas validement marié, etc.
    C'est vrai que si nous nous réunissons avec le ROC, deux pays ou plus dans un organisme qui s'appellerait le Canada, cet organisme, en principe, ne serait pas un pays mais pourrait agir comme tel au nouveau international, si et quand ses composantes en décidaient ainsi, dans certaines circonstances, pour plus d'efficacité quand tout le monde est d'accord pour le faire.
    Un peu d'imagination que diable ! Tout est possible, faut inventer et innover un peu.

  • Archives de Vigile Répondre

    27 juillet 2009

    Les Québécois ne sont pas conscient :
    Que se donner un pays, c'est pas rien
    Que ça nous permettrait d'avoir des relations internationnales directes
    Qu'on ferait des affaires avec le monde entier
    Que ce serait bénéfique pour développer pleinement notre créativité
    Qu'on aurait notre constitution adaptée à notre identité et à nos besoins
    Qu'on développerait nos richesses comme : nos mines, du pétrole, la foresterie, l'agriculture, l'eau etc. ( notre sous-sol est riche )
    Qu'on apprécierait mieux le Canada au lieu de se chicaner continuellement
    Qu'on changerait le monde avec notre esprit pacifique et notre façon de faire
    Qu'on serait à la table de tout les continents pour exprimer notre façon colorée et imaginative de faire les choses pas comme les autres
    Notre façon à nous de voir les choses, de les comprendres, de les animer et des communiquer , nous rendrait plus heureux, plus expressifs et plus confiants pour assumer notre dufférence
    Le monde nous appartient et s'ouvre à nous, pourquoi ne pas en profiter!...

  • Archives de Vigile Répondre

    27 juillet 2009

    Suite
    Nous ne sommes pas divisés en 2 camps égaux
    Nous serions divisés en deux parties égales concernant le Canada. Cette affirmation est non seulement fausse mais fallacieuse. Elle déforme la réalité pour justifier une impossibilité. Il s'agit d'une « discours de dérivation » comme l'observe bien M. Deshaies.
    Il s'agit d'une dérive, d'un délire. Normal, l'enfermement rend fou.
    - Fou de douleur, et on s'en prend à soi-même, par autophobie.
    - Fou tout court, on s'imagine que le Canada est l'Autorité suprême. Hors lui pas de salut.
    Or, la situation est toute autre. Il y a une porte de sortie à cette enfermement. Mais il faut commencer pas observer la réalité des choses et cesser d'abonder dans le sophisme canadianisateur.
    Le Canada illégitime est répudié par la très grande majorité des Québécois.
    Il n'est pas question de se « séparer ». On ne peut se séparer qu'un d'un tout valide. Le Canada n'est pas un tout valide. Ce n'est pas une UNION légitime que nous aurions déjà approuvée. Nous ne l'avons jamais approuvée cette UNION forcée.
    Rétablir la réciprocité = Invalider le Canada actuel
    Le souverainisme étatique historique doit maintenant se fonder sur la souveraineté du peuple pour rétablir la réciprocité des règles devant prévaloir pour fonder sur le territoire national du Québec un État valide et légitime qui émane nommément des voix du peuple souverain. Cela pour que les discours de dérivation ne puissent plus participer à la fédération des NON sur laquelle se contentent de surfer les canadianisateurs.
    En appelant les Québécois à invalider tout État qui ne se serait pas nommément soumis aux voix du peuple souverain du Québec, en obtenant le OUI tonitruant et fort à ce que nous sommes et à ce que nous voulons, nous faisons en sorte que le Canada ne peut plus ensuite se contenter de fédérer les NON à l'État que nous voulons, pour remplacer celui que nous ne voulons pas, à savoir le Canada actuel que nous répudions.
    Les menaces proviennent d'un seul côté, pour provoquer la peur des 2 côtés.
    L'espoir est du seul côté des souverainistes.
    Les Canada actuel n'a pas d'espoir, il est désespéré. Il s'accroche à son Autorité abusive désespérément.
    Il ne nous faut pas un « Québec souverain « dans » un Canada uni »
    Il nous faut un Québec uni pour invalider la souveraineté du Canada sur notre territoire national.

  • Archives de Vigile Répondre

    27 juillet 2009

    « beaucoup de Québécois hésitent entre ces 2 choix :
    - On continue dans la fédération actuelle, pour des raisons économiques et historiques, en résistant à la centralisation et à l’anglicisation ou
    - on se sépare du ROC pour des raisons culturelles et linguistiques et économiques
    (...) Le Québec est encore divisé en 2 parties à peu près égales sur la réponse.»

    FAUX !
    Ce qui nous a été présenté par le souverainisme étatique historique, c'est la création de l'État souverain du Québec et nous avons été appelés à nous prononcer par 2 fois. À cet égard, nous sommes divisés en 2 parties égales. Les Québécois hésitent parce que l'État du Canada profère des menaces de représailles économiques, politiques, sociétales et culturelles. Il profère ces menaces parce qu'il peut ainsi se contenter de fédérer les NON à tel avènement en s'abstenant lui, d'obtenir les OUI qui le validerait et qu'il est incapable de fédérer. Nous répudions l'État actuel du Canada. Pourtant il s'impose par sa seule force d'inertie et d'antériorité. Cela, parce que le peuple n'a jamais été appelé à se prononcer à l'égard de l'État actuel du Canada.
    Pourquoi les Québécois sont presque majoritairement en faveur de l'État souverain du Québec ? Parce qu'ils refusent très majoritairement l'État du Canada actuel invalide et illégitime imposé de force et d'autorité, Ils le refusent au point de prendre presque majoritairement le risque de le contrer de front en fondant un État valide et légitime hors le Canada. Ce n'est pas rien et ce n'est pas approuver pour autant le Canada actuel.
    Pour affirmer que les Québécois sont divisés en deux parties égales concernant le Canada il faut considérer que le NON à l'État souverain est un OUI au Canada. Que les canadianisateurs le prétendent, c'est une chose. Mais nous, nous ne devons pas abonder dans ce sophisme fallacieux, partisan et propagandiste. Ce que fait M. Bousquet. Ce qu'il persiste à faire.
    Voir
    André Pratte n’a pas raison - Il ment sous des dehors d’analyse neutre
    VÉRITÉ et MENSONGE - Un NON pour un OUI - Le PrattiGescagnatiévisme tente encore de survivre au sophisme qui le fonde - Luc Archambault 24 juillet 2009

    Le Canada actuel est très largement répudié par les Québécois, il ne passe pas, quoi qu'il fasse. Qu'il utilise la séduction ou le bâton. Il ne passe pas. Il n'a pu, ne peut, ne pourrait obtenir le OUI qui le validerait. Il est illégitime. Il ne s'est jamais soumis à nos voix, comme l'a fait l'État souverain du Québec. Ce pourquoi il nous faut l'invalider nommément.
    Voir aussi
    Chronique de Bruno Deshaies - INDÉPENDANCE DU QUÉBEC 367
    L’indépendance du Québec et les discours de dérivation -Comment parvenir à modifier cette attitude collective à ne pas vouloir prendre position et à engager l’action stratégique - 23 juillet 2009

    Cette présentation fallacieuse de la situation permet à M. Bousquet de prétendre qu'il nous faut un :
    « Québec souverain « dans » un Canada uni »
    Suite ici-bas

  • Michel Guay Répondre

    27 juillet 2009

    Cette comparaison de l'Union européenne avec le fédéralisme colonialiste impérialiste et royaliste à la Canadians relève de la pire supercherie des fédéralistes trompés et devenus trompeurs .
    La France paie 10% de ses impôts à l'Union Européenne sans perdre le droit de se retirer et ayant son mot à dire .
    Les Québecois paient plus de 50% de leurs impôts et taxes à des Canadian colonisateurs malhonnête et menaceurs qui ne tiennent aucunement compte de notre nation Québecoise et qui se servent de ces impôts pour nous angliciser et nous fermer le monde donc nous détruire systématiquement
    Il me semble que le mépris à assez duré et cette propagande insultante des commandités et des collabos et des niaiseux aussi