Mise à l’écart, « culture du secret », demandes de « justifications » frivoles : la consultante indépendante Annie Trudel détaille la guerre d’usure dont elle estime avoir été la cible de la part de l’état-major du ministère des Transports.
« Je n’ai pas l’intention de continuer à travailler avec des gens qui mettent constamment des bâtons dans les roues et déploient tant d’efforts à gérer l’image plutôt que de prendre le taureau par les cornes et apporter les changements nécessaires afin de rétablir l’intégrité du ministère, de ses processus et des détenteurs de charge publique », a écrit l’ancienne agente de renseignements de l’Unité anticollusion (UAC) au bras droit du ministre des Transports, Jacques Daoust, le 4 avril dernier.
Face à de « multiples résistances », elle a été incapable de finaliser un « plan d’action » comme le souhaitait l’ex-ministre des Transports, Robert Poëti. « [À] la lumière du peu de collaboration que j’ai reçu des détenteurs de charge publique en situation de contrôle d’informations, je considère que les efforts que je déploie en ce moment pour faire des recherches et des analyses pour le compte du BSM [Bureau du sous-ministre], sont une distraction », a-t-elle affirmé.
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