On a beaucoup parlé ici de ce que ferait PKP avec son empire s’il devenait premier ministre du Québec.
Mais ce n’est rien comparé à ce qui se trame de l’autre côté de la frontière.
La loi américaine n’impose pas au président de se départir de ses affaires mais la coutume veut qu'avoirs et entreprises soient placés dans un ‘blind trust’ le temps du mandat.
Trump ne l’entend pas ainsi. Il va donner le contrôle de ses centaines d’entreprises et partenariats à ses enfants, c’est tout.
Mais le pire de tout cela, surtout quand on pense à quel point Hillary a été conspuée pour ses relations avec les monarchies du golfe, c’est que Trump a plus de 500 partenariats d’affaires dans le monde, y compris en Arabie saoudite et au Qatar.
Sans compter des partenariats dans des pays hostiles aux États-Unis. Des intérêts qui pourraient même mettre en péril la sécurité des États-Unis.
Cet excellent article de Newsweek de septembre dernier explique bien la situation dans laquelle il se trouve et dans laquelle il place le pays qu’il va diriger.
Sans parler de son usage de paradis fiscaux – quand, bien sûr, il paie des impôts.
Au fait, on a toujours pas vu ses déclarations d’impôt ? I wonder why...
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