Un plan fédéraliste d'extermination du Nous

Loin d'enrichir, la diversité nous appauvrit sur tous les plans

La diversité est un mal non nécessaire

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Tribune libre

On voudrait donc nous faire croire qu'inonder le pays de vagues successives de migrants et d'immigrants arrivant directement de tous les pays sous-développés imaginables est un bienfait sans nom, une denrée rare, un gage de progrès social, une bénédiction des dieux.


Y a pas à dire : les multiculturalistes impénitents cherchent à nous en passer une p'tite vite.


En effet, que peut-on attendre de positif des suites d'un déferlement massif de millions de ressortissants des pays les moins évolués de la planète, qui ont grandi dans un environnement où ce qui est considéré normal et naturel implique :



  • le totalitarisme des institutions ;

  • la corruption généralisée des citoyens, de la police, de l'armée, des fonctionnaires et des gouvernements ;

  • le recours à la violence comme moyen de solution à tout ou pour obtenir ce qu'on veut ;

  • la criminalité à petite ou grande échelle ;

  • les inégalités homme-femme approuvées et maintenues ;

  • des mœurs familiales condamnables comme la violence conjugale, la maltraitance infantile, les crimes de déshonneur et la mutilation féminine ;

  • la diplômation basée sur les contacts, l'usage de faux et l'argent ;

  • une hygiène publique déficiente ;

  • un tempérament chicanier inné qui fait que certains conflits persistent et demeurent insolubles depuis des lustres, entretenus qu'ils sont par une mauvaise foi notoire ;

  • des religions archaïques qui déforment la vision des rapports humains, de l'éducation des enfants, du fonctionnement général de la société et qui justifient l'extrémisme et le fondamentalisme ;

  • une hostilité anti-occidentale entretenue.


Imaginez le genre de personnes en provenance de pays latinos ou asiatiques où les cultivateurs cultivent routinièrement le pavot, la coca, ou n'importe quelle autre drogue dure sans que personne de leur société ne se soucie du tort que cela cause à d'autres êtres humains ! Là-bas, c'est une attitude socialement acceptable. Tout le monde est complice des cartels du moment que ça paye. Et c'est comme ça à tous les niveaux. Ces gens deviennent insensibilisés face au mal qu'ils font et répandent. Et on voudrait en remplir le pays à ras le bord !


Wô, les moteurs !


Les tiers-mondistes apportent tout cela dans leurs bagages et bien pire encore, car c'est tout ce qu'ils ont jamais connu. Peut-on s'attendre à ce que toutes ces distorsions s'envoleront par un coup de baguette magique à l'instant précis où ils poseront le pied sur le tarmac ?


Non, leur arrangement cérébral est irréversiblement coulé dans le béton. Il est psychologiquement impossible qu'ils changent de mentalité, d'attitude et de comportement, tellement cet endoctrinement est imprégné en eux depuis l'enfance.


Sur le campus de l'Université Laval, nos jeunes filles sont terrorisées à l'idée de sortir seules le soir à cause des étudiants africains et maghrébins qui les suivent de près, les attaquent dans les boisés ou s'infiltrent dans les résidences. Et lorsqu'on les attrape, ils ont le culot de prétendre ne pas comprendre ce qu'on leur reproche.


Combien d'hommes d'ici sont désespérés de s'être fait arnaquer en épousant à distance des femmes russes, latinos ou maghrébines qui, une fois installée ici, demandent le divorce, la maison et la pension alimentaire à vie ?


Consultez la liste des restaurants insalubres de Montréal, vous n'y verrez que la poursuite de ce qui a cours dans le tiers-monde. Certaines choses ne se changent pas. Aux Jeux olympiques de Béjing (Pékin) en 2008, le gouvernement chinois a dû légiférer pour interdire le crachage sur les voies publiques pour ne pas mal paraître.


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L'Italie est devenue la cible de plus d'un million de migrants africains entassés sur des boat-people et qui affluent de toutes parts. À ce rythme-là, il y a bien peu de chances qu'on puisse y maintenir l'esprit de la dolce vita encore bien longtemps, si vous voulez m'en croire. Laissez-en entrer 1 million, il en viendra vite 2 de plus, puis 3...


L'Inde connaît de graves problèmes de salubrité publique qu'on cherche à cacher par tous les moyens dont la bouse de vache sacrée n'est pas le moindre...


Tous les pays européens qui ont commis l'erreur d'ouvrir leurs portes sans discernement à n'importe qui de n'importe où, avec pour conséquence directe une forte hausse de la criminalité et de la violence sous les formes les plus sordides.


La diversité issue des pays sous-développés et sous-civilisés n'est pas un atout, mais un « désatout » quantifiable en proportion du nombre engouffré.


Et que fait-on de la préservation de l'identité collective québécoise dans tout cela maintenant? Car c'est elle qui va en prendre un sacré coup. Ça, je peux vous le garantir.


Un peuple homogène comme celui du Québec, un peuple à la démographie historique uniforme qui se perpétue de génération en génération depuis 400 ans ne peut accepter l'intrusion de mille races, mille ethnies, mille peuplades, mille tribus, milles cultures disparates et incompatibles sans en être affecté pour le pire, sans être aspiré dans une spirale foudroyante de déconstruction sociale.


Chacune de ces ethnies vient gruger peu à peu la prépondérance naturelle de la culture québécoise dominante pour y incruster de force la sienne, avec pour résultat net de nous faire reculer et rapetisser d'autant.


La culture québécoise devient alors de moins en moins consommée, de moins en moins soutenue par l'ensemble de la population, comme il convient pour son maintien et sa survie. À cause de cela, elle s'étiole, se dessèche, s'anorexise.


Nos habitudes, notre façon de vivre et nos mœurs dégringolent et cèdent la place à d'autres qui ne nous conviennent pas, qui nous heurtent, et qui désagrègent petit à petit les fondations même de l'édifice social que nous avons érigé.


La seule solution pour protéger notre identité consiste à adopter des critères de sélection des immigrants qui reflètent notre propre profil collectif historique, dont la base est l'appartenance au monde occidental qui est le plus à notre image, augmentant par la nature même de cette compatibilité les chances d'une intégration rapide et complète.


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Et si on commet l'erreur de laisser une ethnie donnée grossir en trop grand nombre, elle se met à pratiquer le délétère communautarisme, la vie en vase clos, hermétique aux autres, sans plus chercher le moindrement à s'intégrer ou à faire l'effort de s'adapter au pays d'accueil.


Dans un espace communautariste où on vit volontairement en marge, il devient possible pour bon nombre d'entre eux d'y vivre sans jamais parler français ni l'apprendre, de ne pas avoir à se vêtir à l'occidentale, de déambuler impunément de manière inacceptable comme dans le cas du port du voile intégral, d'intimider les natifs qui se risqueraient à y circuler et qui deviennent eux-mêmes des intrus qu'on regarde de travers et cherche à tenir à l'écart.


Et comme ces non-intégrables réduisent les contacts avec les natifs au strict minimum, leur mentalité devient tout à fait impossible à modifier et à faire évoluer dans le sens de nos sociétés occidentales modernes. C'est précisément ce blocage, cette réticence, qui fait reculer la nôtre.


Pour toutes ces raisons, la diversité tiers-mondiste doit être vue comme une nuisance, voire un moteur de recul des acquis, provoquant une détérioration visible du tissu social que nous avons patiemment tissé au fil des siècles.


La diversité n'enrichit pas, loin de là. Au contraire, elle appauvrit, fractionne et divise. Elle oppose, défigure et enlaidit. Elle érode, déstabilise et exige.


Elle crée des ghettos hermétiques basés sur un mode de vie en parallèle, ce qui va à l'encontre de la définition acceptée du bien-vivre ensemble, qui en est une de convergence.


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Et s'il fallait en croire le premier ministre canadien qui veut donner l'exemple en tout par la pratique du justinisme multiculturaliste, ce serait même à nous d'adopter par politesse, inclusivité et ouverture leur tenue vestimentaire, de voiler nos femmes et de permettre que la société soit guidée par des religions obscurantistes archaïques... À genoux tous tant que nous sommes devant les nouveaux maîtres !


La diversité effrite, lézarde, ébranle l'échafaudage du progrès que nous avons élevé brique par brique, étage par étage. Le risque encouru par sa prolifération est si grand que tout finira par s'effondrer et nous ensevelir dans ces décombres si on la laisse continuer à se répandre passivement.


La diversité est un mal non nécessaire, dont on peut se passer volontiers.


N'acceptons pas l'inacceptable.


Refusons la diversité destructrice du Nous imposée de force.


Pour que le Québec demeure le Québec de toujours, le Québec bâti à notre image.

 


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Réjean Labrie880 articles

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Réjean Labrie est natif de Québec. Il a fait une partie de sa carrière dans la fonction publique provinciale.

Il tire la plus grande fierté d’être un enraciné de la 11ème génération en sol natal. Son élan nationaliste se porte sur la valorisation de la culture québécoise et sur la préservation de l'identité culturelle québécoise et de sa démographie historique.

Il se considère comme un simple citoyen libre-penseur sans ligne de parti à suivre ni carcan idéologique dont il se méfie comme des beaux parleurs de la bien-pensance officielle.

L'auteur se donne pour mission de pourfendre les tenants de la pensée unique, du politiquement correct, de la bien-pensance vertueuse, toutes ces petites cliques élitistes qui méprisent le bon peuple.

Près de 900 articles publiés en ligne ont été lus un million et demi de fois par tous ceux qui ont voulu partager une réflexion s'étendant sur une période dépassant 15 ans. À preuve que l'intérêt pour une identité nationale québécoise affirmée ne se dément pas, quoi qu'on en dise.





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2 commentaires

  • Pierre-Yves Dubreuil Répondre

    11 mai 2018

    @ Lavieillegarde



    Il y a deux manière d'inverser les flux: soit on reconduit à la frontière, soit on s'appauvrit et il y  exode économique.



    Ces deux options ne sont en aucun cas souhaitable, la première évidemment étant à proscrire pour des raisons diplomatiques, et la deuxième, ça va de soi....



    Il faut aussi savoir à quels «indésirables» on fait référence. Il y a probablement bien des illégaux que je garderais avant certains «de souches». Si on prend l'exemple de notre adoré premier ministre Couillard, cette loque imprésentable, et bien je me ferais un plaisir de le classer dans la catégorie de «citoyen dont il y a longtemps qu'on aurait dû expulser». Mais bon.... puisque nous ne sommes pas indépendants et sommes à la solde de l'Angleterre, c'est illégal de faire cela à notre propre bourreau.



    La première piste de solution consisterait à se doter d'une constitution faisant référence à la majorité culturelle ayant à coeur son intérêt propre d'abord pour autant qu'elle ne contrevienne pas à l'intérêt de la race humaine.



    De cela, appraitrait donc le terme de citoyenneté avec les droits et devoirs qui s'y rattachent. Ainsi, à force de débats et discussions, il serait aisé par exemple, d'enlever le droit de vote à des gens dont l'apport à notre société serait non conclusif, de souche ou non. Sinon, le Québec deviendra la colonie, l'expansion de toutes les autres nations, globalisme ou non, car le globalisme ou l'ouverture n'est qu'un terme embelli pour «colonisation étrangère» partout ou elle fait la loi, à bien ou à tort. il est évident que si on me donnait le droit de vote au Nigéria ou au guatemala, il serait facile de choisir quelqu'un qui travaillerait dans mes intérêts. 



    Il ne s'agit donc pas de persécuter les autres , mais de se grandir soi-même. L'effet de cela revient à «déréseauter» la population et la rendre non seulement la nation mais les individus indépendants. À la limite, pour ne pas faire parti d'une fédération, si on l'a choisi de la façon à ce que ça nous BÉNÉFICIE?


  • Lavieillegarde Répondre

    10 mai 2018

    Le début de l'article est plutôt bien, mais malheureusement il finit en queue de poisson en mentionnant qu'il faudrait mieux sélectionner les immigrants qui viennent. La solution est plutôt d'inverser les fluxs migratoires, c'est à dire renvoyer les immigrants dans leurs pays, point barre. Le reste n'est que blabla.