Les mosquées de Montréal agissent dans l'illégalité. En effet, un lieu public ne peut être interdit aux femmes pour quelque raison que ce soit. C'est du sexisme.
On se souvient de l'incident récent où on avait interdit l'accès d'un bar gai à deux femmes; elles ont porté plainte et obtenu gain de cause. C'est pour la même raison qu'il n'existe plus de tavernes réservées exclusivement aux hommes depuis que la loi a changé. Les mêmes règles d'égalité des sexes doivent s'appliquer aux mosquées.
Faisons respecter nos lois qui doivent avoir préséance sur les leurs. De cette façon, femmes et hommes pourront accéder à un tel lieu à leur guise.
Par la même occasion, cela permettra aux Québécois d'assister à ces réunions afin de surveiller les propos anti-occidentaux fanatiques d'imams emportés qui sont fréquents dans ces endroits et les dénoncer le cas échéant. Tous peuvent entrer dans nos églises, qu'il en soit de même pour les mosquées.
Réjean Labrie, de Québec, capitale nationale.
Pour l'égalité homme-femme partout au Québec
Les mosquées interdites aux femmes dans l'illégalité?
Nos lois priment sur les leurs
Tribune libre
Réjean Labrie880 articles
Réjean Labrie est natif de Québec. Il a fait une partie de sa carrière dans la fonction publique provinciale.
Il tire la plus grande fierté d’être un enraciné de la 11ème gén&ea...
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Réjean Labrie est natif de Québec. Il a fait une partie de sa carrière dans la fonction publique provinciale.
Il tire la plus grande fierté d’être un enraciné de la 11ème génération en sol natal. Son élan nationaliste se porte sur la valorisation de la culture québécoise et sur la préservation de l'identité culturelle québécoise et de sa démographie historique.
Il se considère comme un simple citoyen libre-penseur sans ligne de parti à suivre ni carcan idéologique dont il se méfie comme des beaux parleurs de la bien-pensance officielle.
L'auteur se donne pour mission de pourfendre les tenants de la pensée unique, du politiquement correct, de la bien-pensance vertueuse, toutes ces petites cliques élitistes qui méprisent le bon peuple.
Près de 900 articles publiés en ligne ont été lus un million et demi de fois par tous ceux qui ont voulu partager une réflexion s'étendant sur une période dépassant 15 ans. À preuve que l'intérêt pour une identité nationale québécoise affirmée ne se dément pas, quoi qu'on en dise.
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4 commentaires
Archives de Vigile Répondre
30 septembre 2014Comme disait Mme Houda-Pépin à TLMEP : « je n'ai jamais vu des groupes de l'Islam radicalisés autant que j'en ai vu ici. » Elle qui est originaire du Maroc. Michel Onfray en disait ceci : « une civilisation avec une mentalité tribale, machiste et de seigneurs de guerre ». Cette civilisation n'a certes pas oublié d'avoir été la plus avancée du Moyen-âge et d'être à l'origine de grandes percées de la connaissance et en grande partie les créateurs de la science moderne, mais ils se sont sclérosés à ce point qu'eux sont encore capables de lire l'arabe du VIIième siècle qui s'est définitivement cristallisé tandis que nous, on ne peut que difficilement lire Ronsard, poète du XVIième. Les nouveaux bourgeons ne poussent jamais sur le vieux bois. Eux comme leur langue se sont figés dans le Moyen-âge.
Archives de Vigile Répondre
24 septembre 2014Nous avons un merveilleux pays ,les lois ont écrites pour tout le monde...faudrait juste que nos élus n aie pas peur de les faire respecter,si on ne veux pas perdre cette liberté et ce pays accueillant et libre.
Archives de Vigile Répondre
1 avril 2010Il suffit donc de retrouver ces deux dames, et de voir ce qui se passera
quand elle se présenteront "à la porte des hommes". Un téléphone
mobile, ça a une caméra.
Quant aux imams délirants, suitant la haine (toujours envers l'Ouest),
ma conjointe et moi, on a assisté à un sermon une fois. Bien assis
ensemble, plein centre en avant. Eh, eh, ... leurs dames, elles, se
tenaient bien soumises, ... à la dernière rangée, près de la porte.
A un moment donné, l'imam a vu son monologue interrompu par ma
"doulce" conjointe, qui en avait marre de toutes les âneries qu'on
entendait. Embarassé, devant ses dames à lui, il a du changer plus
qu'un peu la teneur du sermon. Sinon, je crois que ma "doulce" lui
aurait arraché son micro. Son épouse (la principale?) nous vouait
à la géhenne de son regard.
Enfin, tout ça pour dire que, le chat étant sorti du sac, il faut maintenant
vérifier l'ouverture (d'esprit) qui prévaut dans ces milieux.
Claude Jodoin Ing.
Archives de Vigile Répondre
1 avril 2010Absolument en accord avec votre proposition. La loi, c'est la loi et elle doit être la même pour tous et toutes.