Les
faits : double provocation scénarisée à Charlottesville.
Prélude / Rappel : « Le
vrai visage des manifestants anti-Trump que les médias français ne veulent pas
vous montrer... » (CVR, 6 février 2017).
« Stratégie
constante de perturbation de la continuité de l’État par les manifestants
anti-Trump : qui bono? » (CVR, 15 mars 2017)
« Affrontements en marge des ralliements pro-Trump, et
suspicions d’agents provocateurs… » (CVR, 27 mars 2017)
« Le
jour du jugement : les antifascistes sévèrement rossés à Berkeley. »
(CVR, 29 avril 2017)
« Comprendre
l’ambiance aux États-Unis : la mise sous tension par l'instrumentalisation des
antifascistes et autres Black Lives Matter... » (CVR, 31 juillet 2017)
Lire également « Pétrole, une guerre d’un siècle » de William Engdahl (éditions
Jean Cyril Godefroy, 2007, chap8), pour comprendre
tout ceci comme l’aboutissement du tournant postindustriel de 1957 aux
États-Unis : à partir de cette époque où la classe moyenne
américaine était lettrée, progressiste au vrai sens du terme (mettant sa foi
dans le progrès technologique et une vision juste du monde par le développement
économique), on a fait le choix aux États-Unis de former davantage de
sociologues que d’ingénieurs, tout en promouvant des mouvements subversifs
comme la contre-culture afin d’éroder, de saboter et de diviser la société
américaine (également par instrumentalisation de des questions raciales),
tandis que les guerres extérieures (Vietnam) ruinaient la confiance des
États-Unis dans leur propre modèle.
Le modus operandi tel que rapporté par des journalistes alternatifs présents sur place[1]
est typique des opérations d’“essaimage/swarming“
(théorisés par les cercles d’influence américain du domaine de la défense, notamment
la RAND Corporation[2])
afin de mener des opérations de changement de régime à l’étranger, dans des
opérations connues pour être largement financé par certains opérateurs
interlopes comme George Soros : un premier rassemblement de blancs
caricaturaux en partie néonazis mais pacifiques (sachant pertinemment que toute
violence trouble à l’ordre public leur serait évidemment préjudiciable), devait
avoir lieu face à la statue du général Lee. Cette manifestation prétendant soi-disant « unifier la droite [Unite the Right] »
Mais
ce premier rassemblement fut perturbé par la présence soudaine de militants
soi-disant “antifascistes“ et “Black Lives Matter“ (BLM), avec des
slogans violents, des pancartes insultantes et commençant à insulter, cracher
et jeter des projectiles sur les premiers manifestants, équipés avec deux bouteilles
de gaz et des systèmes de ballons permettant d’arroser d’urine la première
manifestation, et peut-être d’autres produits chimiques. Cette deuxième
manifestation a délibérément créé une bousculade au cours d’un assaut mené avec
des gaz de défense, l’intention de provocation ne pourrait pas être plus
évidente. Pourtant la police a eu clairement l’ordre « venu d’en haut » de ne pas
intervenir contre ces manifestants violents, perturbant une première
manifestation ne faisant pourtant qu’exercer le Premier Amendement de la
constitution (liberté de parole et droit de manifestation pacifique). La police
a donc laissé l’incident se dérouler alors qu’elle aurait très bien pu
intervenir, et pire elle intimé l’ordre aux manifestants nationalistes
de quitter les lieux sous menace d’arrestation (à moins qu’ils ne soient en
mesure de prouver qu’ils habitaient bien Charlottesville), alors qu’ils étaient
pressés contre la police par des manifestants antifas, la police ordonnant aux manifestants
nationalistes de quitter les lieux en traversant les manifestants antifas/BLM
violents ! Puis l’Etat d’urgence a été localement déclaré et la Garde Nationale
mobilisée.
La
question de la rémunération des manifestants et agents provocateurs,
ainsi que de leur transport et équipement par des réseaux type-Soros (ou
type-Fondation Ford) reste pendante. Le soutien de George Soros est
avéré aux manifestants antifascistes et BLM, mais il y ait également une
suspicion sérieuse qu’il y ait eu des manipulateurs de l’État Profond à la pointe
de la manifestation nationaliste initiale pour “chauffer l’ambiance“[3] :
“dialogue Hegelien“ entre l’extrême droite fascisante et l’extrême gauche
communiste, suspicion d’un incident scénarisé pour justifier au final un État
policier : s’il n’y avait pas eu cet incident créé délibérément,
personne n’aurait parlé de cette manifestation. Et tout d’un coup les médias
qui reprennent l’incident à l’unisson et l’accident de voiture qui a tué une
manifestante, pour blâmer uniquement les conservateurs et même bannir le
premier amendement au final.
Voir aussi les vidéos de Rebel Media (média alternatif canadien), avec
notamment Loren
Southern et Faith Goldy, deux rares
exemple de belles femmes choisissant les bons combats. Faith Goldy était présente
à Charlottesville, et ses multiples vidéos rendant compte de la situation sur
place sont du plus haut intérêt :
On y voit la
confirmation des éléments précédents : des provocations
évidentes de la part de la deuxième manifestation, aucune volonté de dialogue, l’instrumentalisation
évidente des minorités raciales, l’agitation grégaire et des types de ménages
de menaces et de scènes qui ne se voient d’ordinaire qu’en Afrique. Également
des photographes que l’on pourrait penser faire partis du renseignement
intérieur, mais plus vraisemblablement des réseaux Soros et de l’État Profond.
Cette vidéo est très intéressante en ce qu’elle montre la façon très simple
dont des manifestants ont pu être renversés, en poussant les conducteurs au
pire ou à la panique.
Les pierres volent contre la 1e
manifestation.
Faith Goldy remarque
un double
standard : les antifas sont autorisés à marcher comme bon leur semble, pas
les nationalistes. Images du renversement de la personne décédée, Faith Goldy y
échappe de peu.
Ici la
coordination entre la police et les antifascistes, poussant la première
manifestation (nationalistes) dans la deuxième manifestation (soi-disant
antifasciste). Il est tout à fait possible que ces choses soient coordonnées
par un PC stratégique de type « Révolutions Colorées » à la Soros.
Un soupçon de
collusion entre les groupuscules antifascistes et le maire à fin d’initier des
émeutes sanglantes. Un événement mis en scène en favorisant les antifascistes
contre les nationalistes, empêchant d’ailleurs les soins médicaux, tout ceci
porte des signatures de planification et de gestion en temps réel, tandis que l’activisme
de la gauche violente est minimisé comme l’a rappelé à bon droit le Président
Trump.
Jason Kessler,
l’un des organisateurs de cette manifestation parle d’un piège tendu à sa
manifestation “Unite the Right“ par les officiels
gouvernementaux, la police de Charlottesville refusant le maintien de l’ordre
selon des arrangements discuter des mois à l’avance, puis dispersant une
assemblée pacifique alors qu’elle était attaquée par un “Veto de Heckler [Heckler's
Veto]“ (le point de rupture d’une discussion devenant violente),
puis la police a poussé la foule de gens de droite vers une foule d’antifascistes,
menant au chaos et à la violence.
Richard
Spencer arrêté manu militari, qui précise bien “Alt-Right“, pour se faire passer
pour l’alt-right alors qu’il ne le mérite pas [Rapprocher ceci de ce que dit Pieczenik a son endroit et de son
absence de légitimité pour représenter la véritable droite alternative au
Trump].
Violence directe évidente de
la part des antifascistes :
Il n’y avait pas que les
nationalistes blancs mais aussi les nationalistes noirs de Caroline-du-Sud, qui
souhaitant parler de la Confédération pacifiquement et sans violences : considérant
l’histoire de la guerre de sécession comme une partie intégrante de l’histoire
américaine (« National
Battle Over Confederate Monuments Renewed After Charlottesville Violence »
- NBC News 15-8-17)
En temps normal, même si ces groupes nationalistes peuvent tomber en
désaccord, ils sont capables de débattre : débat entre Richard
Spencer et
Daryle Lamont Jenkins sur leurs projets respectif (Nov. 2016)
La thèse d’un Coup d'Ingénierie
Sociale [CIS] pour rabattre les électeurs vers le parti Démocrate semble le
plus plausible vu l'état concret de la situation.
Conclusion
de Faith Goldy sur Charlottesville : c’est une guerre civile artificielle qui est
en train d’être mise en place.
Excellente analyse de Stefan Molyneux (« CHARLOTTESVILLE » 14-8-17) : « je peux sentir l’harmonie raciale à plein
nez, ça sent comme de la cordite ou du gaz de
défense…»
Pour Mike Cernovitch aussi, la guerre civile aux Etats-Unis est lancée!
Davantage
d’éléments précieux sur le Maire juif de Charlottesville…
« Que
s’est-il passé à Charlottesville ? » (Les Inrocks, 14/08/2017)
« Charlottesville
.Unite The Right, Cops Speak out » (Downtown White
Police)
[1] « BREAKING:
MILLIE UPDATES from Race Riots In Virginia! - Alex Jones Infowars »
(Infowars, 12-8-17)
[2] John Aequilla et David Ronfeldt, « Swarming and the Future of
Conflicts » (Santa Monica, CA : RAND, MR-311-OSD, 2000). Disponible
en ligne sur le site de la RAND (voir William Engdahl, « Full Spectrum Dominance », 2008,
chap.2).
[3] De même que d’autres groupuscules équipés
visibles ici sur les images de RT, l'affrontement des deux groupes a pu être en
partie scénarisé et manipulé des deux côtés : https://www.youtube.com/watch?v=6wHCk0iDeBg&t=195s
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