Le régime communiste cubain tire à sa fin

Le peuple cubain fera aussi sa « Révolution tranquille »

Tribune libre

« Nous ne comprenons guère les ruines que le jour où nous-mêmes le sommes devenus. » Heinrich Heine (Extrait des Pensées)
Après avoir défendu son régime communiste avec sa nomenklatura tyrannique pendant 50 ans et quand des adeptes ont adopté son modèle marxiste comme l’a fait Hugo Chávez, le dictateur Fidel Castro a déclaré, avec le cynisme qui le caractérise, que le modèle économique marxiste à Cuba : « déjà ne nous sert même pas. »
Voici une des conséquences de cet aveu déclaré par Fidel Castro le 9 septembre 2010
« Cuba va supprimer plus de 500 000 emplois dans le secteur public d'ici à mars 2011 dans le cadre d'un processus de rationalisation de l'économie lancé par le président Raul Castro pour augmenter la productivité, a indiqué lundi la Centrale des travailleurs de Cuba (CTC). »*
De tous ces mensonges, manipulations, perversités et crimes d’État contre la dignité humaine, nous devons en tirer une grande leçon : le socialisme conduit toujours au communisme et celui-ci aboutit inéluctablement à l’anarchie sociale, économique, culturelle et politique, c’est-à-dire, à un régime contrôlé par une caste de parasites et mafiosi qui deviennent, avec leur système d’organisation monopoliste ( nomenklatura ), de grands fabricants de misères institutionnalisées. Fabricants de misères, tels ceux connus de tous les peuples ayant dû adopter, par l’imposition de la force, la manipulation coercitive, la contrainte des goulags, la délation en système…, ce régime antidémocratique, pervers et exterminateur de consciences : le communisme, que certains dénomment le « cinquième pouvoir ».
Jean-Louis Pérez
Vive les pays et les nations libres de mercenaires de la politique, de mafias organisées et de traîtres de leur peuple
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*. Pour plus de détails, consulter : Cuba supprime 500 000 emplois de fonctionnaires
www.cyberpresse.ca/international/amerique-latine/201009/13/01-4315159-cuba-supprime-500-000-emplois-de-fonctionnaires.php


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11 commentaires

  • Archives de Vigile Répondre

    16 septembre 2010

    M. Thompson,
    Vous perdez votre temps comme je l'ai fait. Il n'y a rien de pire qu'un aveugle qui ne veut pas voir. Il ma fait penser à ce personnage qui m'avait littéralement engueulé sur Vigile parce que je disais que la pandémie si effrayante de H1N1 n'était que de la poudre aux yeux pour enrichir les multinationales pharmaceutiques à nos dépens. Il avait tout mis dans le même sac pour prouver sa thèse, l'astrologie, les extra-terrestres et autres diversions sans rapport. Il faisait comme M. Pérez, mettre des liens d'internet où finalement, nous pouvons trouver n'importe quoi pour approuver nos dires, aussi farfelus soient-ils.
    Ne perdons pas notre temps. Les raisonnements passent sur ce personnage comme l'eau sur le dos d'un canard, ça n'accroche pas. Il y en a comme ça.
    Ivan Parent

  • Jean-Louis Pérez-Martel Répondre

    15 septembre 2010

    Le peuple cubain fera aussi sa « Révolution tranquille »
    Hospitalisé un anticastriste cubain faisant une grève de la faim avec la bouche cousue
    Vladimir Alejo Miranda reste sans manger depuis plus de 50 jours
    « L'ex-prisonnier politique Vladimir Alejo de Miranda est un activiste de la Résistance Cubaine qui ne mange pas depuis plus de 50 jours, faisant une grève de la faim, a été amené d'urgence à l'Hôpital Miguel Enrique dans la municipalité 10 Octubre. Il s’était cousu la bouche le 5 septembre en signal de protestation extrême.
    Son épouse, Rita María Montes de Oca Chirino s'est jointe à sa protestation le 12 septembre, se déclarant elle aussi en grève de la faim et se cousant la bouche. »(1)
    JLP
    « Le socialisme est une philosophie de l'échec, le credo de l'ignorance, l'évangile de la jalousie, sa vertu inhérente est la répartition égalitaire de la misère. »(2) Phrase transcrite du blog informant de cette terrible nouvelle concernant l'ex-prisonnier politique Vladimir Alejo de Miranda
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    1. Pour plus d’information, consulter MIRANDO A CUBA: LADIMIR ALEJO MIRANDA LLEVA MÁS DE 50 DÍAS SIN ...
    http://mirandoacuba.blogspot.com/2010/09/ladimir-alejo-miranda-lleva-mas-de-50.html
    2. Afin de connaître davantage cette misère institutionnalisée à Cuba, voir : «Dégraissage» du secteur public: les Cubains dans l'incertitude
    www.cyberpresse.ca/international/amerique-latine/201009/14/01-4315572-degraissage-du-secteur-public-les-cubains-dans-lincertitude.php

  • Claude G. Thompson Répondre

    14 septembre 2010

    Monsieur Pérez,
    je ne fais pas l'apologie du régime de Fidel Castro, je fais le constat de la grossièreté de vos analyses et de vos positions face à ce dernier.
    Décidément, vous ne cessez de me déprimer...
    Claude G. Thompson

  • Jean-Louis Pérez-Martel Répondre

    14 septembre 2010

    Aux apologistes du régime totalitaire des frères Castro*
    Voici un passage de l’article de Victor Mozo qui a bien compris les manipulations du dictateur communiste Fidel Castro :
    « Ne nous trompons pas, Castro veut que le monde oublie les derniers événements: la mort de Zapata, les manifestations honteuses contre les Dames en blanc... Il sait aussi que l'économie va mal, que la béquille qui le soutient - Chavez, comme autrefois l'Union soviétique - n'est pas immuable. Il sait que l'apathie règne chez les jeunes. Et même s'il dit maintenant qu'il a été mal interprété, ce qui est dit est dit: «Le modèle cubain ne fonctionne même pas à Cuba.» A-t-il un jour vraiment fonctionné? se demandent pas mal de gens.
    Pendant ce temps, le gouvernement s'ouvre subrepticement au capitalisme. On parle de construire des terrains de golf, pour le grand plaisir des touristes et des amis bien placés. La population, elle, ramassera les miettes, comme d'habitude. Ce sera toujours une façon de la contrôler. Nous, ici, dans notre confort et notre indifférence, nous nous imaginerons qu'elle ramasse des trésors. »(1)
    JLP
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    *. D’autres informations irréfutables concernant le régime communiste cubain :
    http://www.vigile.net/Cuba-la-déportation-moyen-de
    http://www.vigile.net/Cuba-le-triomphe-du-mensonge-et-de
    http://www.vigile.net/Pourquoi-le-peuple-cubain-reste
    Et pour ceux qui lissent espagnol : Cuba Roja. Cómo viven los cubanos con Fidel Castro (de Román Orozco, Ediciones Cambio-16. Madrid, 948 páginas).
    1. Pour plus d’information, consulter : Castro veut être en paix avec Dieu et le diable
    www.cyberpresse.ca/opinions/201009/13/01-4315149-castro-veut-etre-en-paix-avec-dieu-et-le-diable.php

  • Archives de Vigile Répondre

    14 septembre 2010

    Je constate encore une fois que M. Pérez est toujours agenouillé devant la désinformation américaine pourtant vilipendée par tous ceux qui ont enlevé leurs œillères. M. Pérez se fait l’apôtre de cette désinformation systématique propagée par les agences des dirigeants américains.
    Tout le monde sait que les USA utilisait Cuba comme un vaste lupanar et comme pour tous les pays du dit tiers monde, exploitaient leurs richesses naturelles sans vergogne. Comment se fait-il que M. Pérez se prête à cet avilissement de l’information, s’enlevant toute crédibilité ? Comment se fait-il que M. Pérez ne semble pas avoir réfléchi un instant aux explications plus que douteuses des horreurs du 11 septembre ?
    Avant de poser des jugements à l’emporte pièce sur des événements dont, visiblement il ne connaît pas les fondements, M. Pérez devrait avoir recours, au minimum, à la logique et à la connaissance des événements n’entachant pas ainsi sa crédibilité. J’ai un ami qui vit à Cuba et, de l’intérieur, ses commentaires vont aux antipodes de ceux de M. Pérez, il ne voudrait pas revenir vivre ici. Ça ne doit alors pas être si terrible !
    Ivan Parent

  • Archives de Vigile Répondre

    14 septembre 2010

    M. Pérez.
    votre aveuglement et l'absence d'objectivité et de rigueur de vos analyses vous discrétident complètement. Votre haine manifeste de Castro vous enlève toute crédibilité et vous voit donner crédit à des informations partielles dont une analyse et une recherche le moindrement sérieuses nous démontrent, comme l'écrit monsieur Fortin, à quoi nous conduit “Une analyse qui met en évidence les antagonismes qu’il y a entre des objectifs d’information et des objectifs de désinformation”.
    La haine ne peut conduire qu'à la haine et n'a jamais rien produit de durable ni de valable.
    Vos analyses du régime Cubain et des réalisations de son chef de file Fidel Castro en sont une démonstration prégnante.
    Vous lire est profondément déprimant.
    Claude G. Thompson

  • Archives de Vigile Répondre

    14 septembre 2010

    L'erreur de Castro est d'avoir trop attendu pour démocratiser son pays suite au succés de la Révolution anti -capitalistes qui étaitt essentielle pour instruire son peuple et le libérer des exploiteurs du Tiers monde donc des USA .
    Cette libération pourrait être un succès s'il ne laisse pas les mafias cubaines de Miami prendre le contrôle du commerce à Cuba

  • Archives de Vigile Répondre

    14 septembre 2010

    Une spécialiste française de Cuba expliquait en entrevue à TV5, aux infos, hier ou avant-hier, justement à ce sujet, que Castro avait été mal interprété.
    Ce qu'il a dit dans les faits est « qu'il réformerait le système (lire communiste), de l'intérieur , afin d'améliorer justement ce système. Que le système avait besoin de réformes.
    Il n'a pas dit qu'il se convertissait au système capitaliste, mais qu'ils feront des réformes.
    Ceux qui s'y connaissent dans ces mécaniques internet pourront sûrement retrouver cette entrevue sur TV5 qui étaient des plus intéressantes et instructives.
    Comme quoi, nous devons être prudents avant d'annoncer la mort de Cuba.

  • Archives de Vigile Répondre

    14 septembre 2010

    Je me permets d'ajouter un très bon article de Pascal Serrano sur le journaliste Goldberg et les premiers échos de son entrevue avec Fidel. Le texte est pour le moment en espagnol, langue que maîtrise certainement M. Perez et sans nul doute plusieurs autres lecteurs et lectrices de Vigile.
    http://www.rebelion.org/noticia.php?id=112753
    Une analyse qui met en évidence les antagonismes qu'il y a entre des objectifs d'information et des objectifs de désinformation.

  • Archives de Vigile Répondre

    14 septembre 2010

    Nous connaissons bien les atomes crochus de M.Perez. Je lui recommanderais de nous commenter le rapport d'une commission des droits humains de l'enfance et de la jeunesse au Honduras qui fait état de plus de 771 morts d'enfants et de jeunes firectement reliés au coup d'état militaire au Honduras qu'il avait alors soutenu comme un véritable apôtre du respect du droit. Ce rapport a été rendu public peu après l'assasinat de 17 travailleurs et travailleuses alors qu'ils étaient au travail dans leur fabrique de chaussures a San Pedro Sula.
    http://www.prensa-latina.cu/index.php?option=com_content&task=view&id=220043&Itemid=1
    Quant aux propos de Fidel au journaliste Goldberg, je réfère le lecteur aux premiers commentaires de Fidel que vous trouverez a mi chemin de l'article donné en référence. Je recommande à M. Perez de le lire de nouveau avec beaucoup d'attention.
    http://www.legrandsoir.info/Nous-vivons-un-moment-exceptionnel-dans-l-histoire-de-l-humanite.html
    Il me semble que la bonne foi devrait être à la base du partage des multiples opinions que peut nous inspirer l'actualité.

  • Archives de Vigile Répondre

    13 septembre 2010

    Grâce à la révolution capitaliste, Cuba deviendra méconnaissable. Désormais plus rien à envier à Porto Rico et à Haïti ! L'espérance de vie sera certes réduit de quelques années pour rejoindre possiblement celui de la Louisiane et du Missisipi, mais qui remarquera ce détail ? Les tout-compris seront un peu plus cher et priveront peut-être une fraction des estivants québécois de leurs vacances. La sécurité dans les rues sera moindre, mais on fera comme en Jamaïque : se cloisonner un peu plus dans le guetto touristique. Après tout, n'y a-t-il pas un prix à payer pour accéder au paradis capitaliste ?
    GV
    NOTA : Fidel Castro aurait dénoncé le «traitement» de l'entrevue qu'il a accordée au journaliste du magazine Atlantic Monthly.