Le pouvoir au service de l'indépendance - Seule idée capable d'unir le vote national

Le Parti indépendantiste entend gouverner en fonction des priorités de la nation et place l'indépendance au sommet des urgences nationales.

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PI - Parti indépendantiste

www.partiindependantiste.org - Le Parti indépendantiste recrute dans toutes les régions et s'organise par
circonscriptions. L'accueil favorable, enthousiaste même, que ce parti en
formation reçoit sur le terrain s'explique : les gens sentent l'urgence de
faire du Québec un pays et ils ne croient plus au Parti québécois pour
réaliser leur aspiration nationale. Quant à l'Action démocratique du Québec
et à Québec Solidaire, leur défense de la nation québécoise s'écrase devant
la suprématie canadienne : l'ADQ rejette la solution de l'indépendance ; QS
en parle du bout des lèvres.
Le Parti indépendantiste entend gouverner en fonction des priorités de la
nation et place au contraire l'indépendance au sommet des urgences nationales.

Les défaites électorales du PQ en 2003 et 2007 ont marqué son déclin et
l'ont relégué au rang de troisième parti à l'Assemblée nationale. Le parti
de Pauline Marois impute son affaiblissement à l'idée forte d'indépendance.
Cette logique insensée l'amène aujourd'hui à écarter toute action en vue de
l'indépendance et tout moyen de la réaliser (pas de référendum ni autre
plan d'action en ce sens ; inertie devant les urgences nationales comme la
francisation de Montréal et l'intégration des immigrants ; refus d'utiliser
les fonds publics pour promouvoir la cause nationale ; démobilisation
autour des commémorations comme le 40e anniversaire du « Vive le Québec
libre ! » du général de Gaulle, le 30e anniversaire de la Loi 101, la Fête
nationale ; etc.). Pauline Marois voudrait au mieux qu'on « rêve » du pays
pour la saint-glinglin et qu'on s'interroge ad vitam aeternam sur le «
pourquoi » de l'indépendance pour mieux renoncer au « comment ».
L'Action démocratique du Québec, quant à elle, présente une vision
nationale si auto-négatrice qu'elle en devient gênante : un Québec debout
les genoux à terre, à la fois « autonome » et dépendant du Canada ! Ce
parti prétend mettre un terme aux « accommodements raisonnables » et à la
non-intégration des immigrants sans rompre avec le système canadien qui
nous les impose. Il se fait le champion de l'« autonomie » québécoise,
pourvu qu'elle se limite au carré de sable que papa Canada lui consent.
Quand Mario Dumont crie « en avant les braves », tout le monde décode sans
problème « sauvons-nous, les v'là » !
À Québec Solidaire, l'indépendance se perd comme pis-aller au fond de son
sac d'engagements après l'écologie, l'économie sociale, la démocratie
participative, le féminisme, l'altermondialisme et le pluralisme. Françoise
David et Amir Khadir, l'oppression nationale, connaissent pas. Pour eux, se
débarrasser de la tutelle canadienne n'a de sens que si ça doit faciliter
le combat contre le néolibéralisme. La population québécoise ne veut pas
d'autre référendum et elle honnit le « multiculturalisme » et ses «
accommodements raisonnables », nos solidaristes veulent lui passer l'un et
l'autre au moyen d'une « vaste démarche de démocratie participative ». QS,
c'est la soumission nationale participative !
Déjà, on accuse le Parti indépendantiste de « diviser le vote ». Qui ne
voit que le vote national est déjà dispersé entre les partis susmentionnés,
sans parler des abstentionnistes et des verts ?! Ce gâchis historique, on
le doit à l'abandon de la question nationale par le PQ après le référendum
de 1995. Le PI, en focalisant sur les priorités nationales des Québécois,
est là au contraire pour les réunir.
Le Parti indépendantiste n'est pas un groupuscule, ni un groupe de
pression, ni un mouvement de la société civile non partisan ; c'est un
parti électoral de masse qui compte se présenter devant l'électorat en
mettant son option, non en veilleuse, mais en avant. Fini les faux-fuyants
devant l'exercice indépendantiste du pouvoir. Pour les indépendantistes, le
gouvernement n'est pas une patate chaude qu'on ne peut prendre qu'avec la
mitaine du référendum ou la promesse de ne pas s'en servir ; gouverner,
c'est le levier même de l'indépendance. Le PI a l'intention claire et ferme
de faire servir le pouvoir démocratiquement acquis à la prise en charge des
priorités de la nation, à commencer par son affranchissement du carcan
canadien.
- Accession à l'indépendance

Élection du PI à la majorité des sièges; déclaration d'indépendance par
l'Assemblée nationale; adoption d'une Constitution d'État indépendant
provisoire; mise sur pied d'une Assemblée constituante chargée d’élaborer
un projet de Constitution permanente; pourparlers avec Ottawa pour partager
les actifs et la dette; etc.
- Intégration citoyenne et linguistique

Instauration d'une citoyenneté québécoise; établissement du français
langue commune (renforcement de la Charte de la langue française; un CHU
unique et français à Montréal; cégep français pour tous, etc.); révision
des « accommodements raisonnables » dans la perspective de l'intégration
citoyenne; sélection des immigrants en fonction du français et du respect
de nos lois et valeurs (primauté des lois civiles sur les lois religieuses,
égalité homme – femme); etc.
- Prise en main de notre économie

Nationalisation de l'éolien; grands travaux nationaux (réseau ferroviaire
électrique, amélioration du réseau routier, mise sous terre des lignes de
transport électrique, etc.); sécurité agroalimentaire; sécurité
énergétique; rétention des sièges sociaux et de l'épargne québécoise;
relance de l'industrie forestière; contrôle national de nos ressources
naturelles : eau, forêts, mines ; investissement dans l'économie du savoir
(création d’emplois dans les technologies de pointe); contrôle québécois
des investissements dans la R&D; augmentation du capital-risque pour
favoriser la création d'entreprises québécoises innovantes; etc.
- Contrôle national sur les communications et télécommunications

Une radio-télévision nationale avec réseau d'information; un Conseil
québécois de la radio-télévision; etc.
- Éducation et culture

Augmentation du financement des réseaux français collégial et
universitaire; renforcement des cours de français dès le primaire; cours
d'histoire nationale au primaire; formation accrue de scientifiques,
ingénieurs, médecins, infirmières et techniciens; financement adéquat des
créateurs d'œuvres artistiques québécois; etc.
- Compétition sportive à l'étranger sous les couleurs nationales

Équipe de hockey québécoise aux Jeux olympiques d'hiver 2010; etc.

Non à la « souveraineté » péquiste pour la fin des temps !

Non à la fausse « autonomie » adéquiste !
Mettons l'indépendantisme au pouvoir avec le PI !
Adhérez au Parti indépendantiste !

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