Le nom de Bissonnette associé à la tuerie en Nouvelle-Zélande

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49 morts dans deux mosquées : le nom de Bissonnette sur un chargeur

Le nom d’Alexandre Bissonnette inscrit sur une arme qui a servi au massacre perpétré dans deux mosquées de la Nouvelle-­Zélande confirme que le responsable du meurtre de six fidèles à la Grande Mosquée de Québec le 29 janvier 2017 a servi de modèle au tueur.


Le fait est plus que troublant et démontre la manière dont le présumé meurtrier, Brenton Tarrant, un Australien de 28 ans, alimentait sa haine des immigrants, en s’inspirant de gestes similaires commis ailleurs sur la planète. Un effet de mimétisme connu sous le nom anglais de copycat.


Tarrant a semé l’émoi dans la ville de Christchurch, ouvrant le feu dans deux mosquées pendant la prière du vendredi. Il a tué 49 fidèles dans une attaque qu’il a lui-même filmée et retransmise en direct sur les réseaux sociaux


À côté du nom de Bissonnette, sur une des armes du tueur, se trouve aussi celui de Luca Traini, un italien de 28 ans, sympathisant d’extrême droite. Le 3 février 2018, il blessait par arme à feu six immigrants africains. 


On peut également lire le nom de Rother­ham, en référence à la ville d’Angleterre où s’est déroulée une série de crimes sexuels à grande échelle sur des enfants et dont les principaux accusés sont des hommes d’origine pakistanaise.


Les photos des armes avec ces inscriptions bien spécifiques ont été publiées le 13 mars sur un compte Twitter, que les autorités présument appartenir à Tarrant.




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