DÉFI EXISTENTIEL

Langue française: refuser de consentir à notre déclin

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PSPP est le seul chef de parti qui a le courage de nommer le réel

Doctrine politique de Vigile



  • Il faut appuyer la langue française sur un grand principe et en faire la langue de l'État du Québec.




éléments importants à souligner



  • En chute libre : De l’avis des démographes, la langue française est non seulement dans un état préoccupant, elle est carrément en chute libre. Jamais, depuis 1871, le poids des francophones n’était passé sous la barre des 80 %. 

  • Un plan courageux et responsable : Dans son Plan d’urgence pour la langue française, le Parti québécois propose sept mesures fondamentales pour renverser la tendance : diminuer les seuils d’immigration afin qu’ils correspondent aux capacités d’accueil et de francisation de la société québécoise; exiger la connaissance du français par les immigrants économiques à l’entrée; interdire l’exigence de l’anglais à l’embauche pour les postes où cette connaissance n’est pas nécessaire; appliquer la Charte aux cégeps; rendre l’octroi des subventions aux entreprises conditionnel au respect de la Charte; mettre sur pied un bureau de promotion du contenu culturel québécois pour forcer la main aux géants du Web; faire de la Charte une loi quasi constitutionnelle et, enfin, l’étendre aux entreprises de compétence fédérale.




Pour lire le texte intégral


https://www.journaldemontreal.com/2021/05/20/langue-francaise-refuser-de-consentir-a-notre-declin


En chute libre : De l’avis des démographes, la langue française est non seulement dans un état préoccupant, elle est carrément en chute libre. Jamais, depuis 1871, le poids des francophones n’était passé sous la barre des 80 %. 



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1 commentaire

  • Éric F. Bouchard Répondre

    21 mai 2021

    Pour combattre un déclin, il faut d’abord nommer qui il touche. En l’occurrence, c’est du déclin des Canadiens-Français qu’il s’agit. Depuis 1971, nous sommes passés de 80% à 60% des Québécois, et d'ici 15 ans nous serons minoritaires. Que croyez-vous qu’il arrivera alors à votre mirifique « langue d’État »? Nous nous dissolvons en québécitude, et vous en êtes encore à pinailler sur le statut du français.