ALCOA | CRISE DE L’ALUMINIUM

La crise de l’aluminium

4bf4950a964bdc47f17a02a32ef100ca

Un point de vue bien informé

S’il y a une industrie qui est liée à l’électricité abondante et bon marché, c’est bien l’aluminium. Le Québec en était jusqu’à récemment un des plus grands producteurs. Le tiers de l’électricité nécessaire provient des barrages construits il y a longtemps par Alcan, dont les coûts sont très bas, et le reste vient d’Hydro-Québec qui, pour attirer toujours plus d’alumineries, a consenti au cours des années 80 des taux non seulement bas, mais liés en partie au prix international de l’aluminium.
Cet article est réservé aux membres VIP du Journal de Montréal

Featured 599fd952ffa6d63e9a191dd24201c5af

Jacques Parizeau21 articles

  • 26 286

En 1994, Parizeau mène le Parti québécois à la victoire électorale, formant un gouvernement majoritaire convaincant et devenant premier ministre du Québec. Parizeau promet de tenir un référendum sur la souveraineté du Québec dans la première année de son mandat, et malgré des objections de toutes parts, il respecte sa promesse. Il fixe la date du référendum pour le 30 octobre 1995. Au début, l'appui à la souveraineté se situait à environ 40 % dans les sondages d'opinion. À mesure que la campagne avance, toutefois, les appuis à l'option du « Oui » se mettent à monter. Malgré cela, l'option souverainiste plafonne, et Parizeau fait l'objet de pressions pour s'adjoidre les services de Lucien Bouchard, le chef extrêmement populaire du Bloc québécois, perçu comme plus modéré et plus pragmatique, en le nommant "négociateur en chef" advenant la victoire du "Oui". Pour le succès de la cause, Parizeau accepte ainsi de jouer un second rôle pour la suite de la campagne.

{[Wikipedia->http://fr.wikipedia.org/wiki/Jacques_Parizeau]}





Laissez un commentaire



Aucun commentaire trouvé