À qui cela profite-t-il?

L'exigence du français, un cheval de Troie?

Des critères de sélection à revoir

Tribune libre


À première vue, exiger la connaissance du français comme pré-requis pour venir s'établir au Québec semble aller de soi, dans une optique de sauvegarde de l'un des éléments de cohésion essentiels de notre culture, notre langue maternelle.

Pourtant, en y regardant de plus près, on s'aperçoit que ceux à qui cette politique profite le plus actuellement sont les Maghrébins et les Africains, deux minorités visibles pratiquant l'islamisme. En d'autres mots, cette réglementation d'accueil contribue à faire grossir le problème de société qui préoccupe à juste titre la grande majorité des Québécois. De plus, ce sont deux catégories dont les chances d'acceptation, d'embauche et d'intégration sont les plus réduites. Faut-il rappeler que plus de la moitié des 93 000 assistés sociaux de Montréal ne sont pas nés au Québec?

Les critères de sélection des immigrants doivent être revus pour tenir compte de la volonté de la population d'accueillir des candidats se rapprochant de nos valeurs fondamentales, dont l'intégration se fera sans heurts, et qui ne deviendront pas une charge permanente à la société.

Source: plus de la moitié des assistés sociaux de Montréal ne sont pas du Québec:

http://74.125.93.132/search?q=cache:Q0yrL2ObQgoJ:www.vigile.net/Pres-de-3-BS-sur-10-sont-des+66+assist%C3%A9s+sociaux+immigrants+montr%C3%A9al&cd=1&hl=fr&ct=clnk&gl=ca


M. Pierre Curzi vient de publier son rapport sur la détérioration du français à Montréal:

http://pierrecurzi.org/sites/pierrecurzi.org/files/Le_grand_Montreal_sanglicise.pdf

Réjean Labrie, de Québec, capitale nationale.

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Réjean Labrie880 articles

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Réjean Labrie est natif de Québec. Il a fait une partie de sa carrière dans la fonction publique provinciale.

Il tire la plus grande fierté d’être un enraciné de la 11ème génération en sol natal. Son élan nationaliste se porte sur la valorisation de la culture québécoise et sur la préservation de l'identité culturelle québécoise et de sa démographie historique.

Il se considère comme un simple citoyen libre-penseur sans ligne de parti à suivre ni carcan idéologique dont il se méfie comme des beaux parleurs de la bien-pensance officielle.

L'auteur se donne pour mission de pourfendre les tenants de la pensée unique, du politiquement correct, de la bien-pensance vertueuse, toutes ces petites cliques élitistes qui méprisent le bon peuple.

Près de 900 articles publiés en ligne ont été lus un million et demi de fois par tous ceux qui ont voulu partager une réflexion s'étendant sur une période dépassant 15 ans. À preuve que l'intérêt pour une identité nationale québécoise affirmée ne se dément pas, quoi qu'on en dise.





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1 commentaire

  • Archives de Vigile Répondre

    9 avril 2010

    En effet, nous avons échangé quatre trente sous pour une piastre.
    Cela en valait-il la chandelle compte tenu des problèmes sociaux qui pointent de plus en plus à l'horizon.