J'en arrache avec ... l'indépendance

Des pognés qui voudraient ben, un beau jour, se libérer, Mais qui ont bin qu’trop peur que ça finisse par arriver!

Indépendance - le peuple québécois s'approche toujours davantage du but!

Des fois on s’prend pour des Québécois sans peur et sans r’proche,

Les Chevalier Bayard de l’indépendance!

Le lendemain, ch’sé pas c’qu’on fait d’croche,

Mais on déboule dans la désespérance :

Montréal est aux mains des Blokes, les immigrants nous tapochent,

La métropole est l’enfer de toutes les souffrances,

L’Île va s’engloutir dans l’fleuve comme une roche,

En attendant que l’reste tombe en déshérence...
J’me rappelle d’un temps où on se disait Canadiens français

En rêvant dans la douleur à not maît le passé,

Où tout était supposé avoir été ben glorieux comme jamais,

Alors que là, on était trop petits, trop pauvres, trop curés,

Pas instruits, pas mal gnochons, juste bons à faire les épais,

Porteurs d’eau, scieurs de bois, nés pour un p’tit pain salé.

On prenait l’tramway en avançant par en arriére, tarlais!

Pis on ach’tait nos bas en anglais chez Eaton, sans rouspéter.
Ch’commence à crouèr, quand j’nous voué aller,

Qu’on n’a jamais été aut’chose que c’qu’on était en quarante!

On s’tat inventé un paradis par en arriére, l’beau temps était décédé.

Aujourd’hui, on s’rappelle, qu’on dit, la belle époque des soixante,

Mais c’est pour mieux se lamenter sur un av’nir au participe passé.

Fa qu’on est pas plus avancés, on tourne en rond dans not’patente.

Not darriére de tête nous joue des tours, c’est l’retour du r’foulé.

J’en sors pas, on est resté des mononc pis des matantes.
Pour s’consoler, yen a qui renwoyent les maple leaves à Ottawa

Pendant que Rideau Hall nous lance des coupures pis la GRC;

Nos baveux de vingt ans, au lieu de s’battre pour stopper ça,

En s’imaginant sauver les Afghanes, rentrent dans l’armée,

Pis r’viennent de l’aut’bord dans une bonne bière qui s’boit pas.

Y voulaient sauver l’monde, qu’y croyaient, yauraient dû penser.

Ça m’arrive de voir les gars du 22e sans insigne du Canada

Avec, sus l’épaule pis sus l’bérêt, un signe bleu fleurdelysé...
Mais comment voulez-vous qu’y réfléchissent à ça pour de bon

Quand on lit sur internet un tas d’monde qui dit

que l’indépendance, ya qu’une façon d’la réussir tout rond :

La leur, celle de leurs trente-deux chums, qui crie

Que toutes les autres gangs du même côté sont des morons...

Pis morons, c’est dans les bons jours, quand y sont polis!

Ceux qui ont traîné leurs savates dans les institutions,

y s’contentent de traiter les autes de traîtes pis de bandits.
Ça fa qu’à force de les voir se tirailler

À savouèr c’est qui qui est l’plus pur pis l’plus fin,

Yen a pas mal qui commencent à s’imaginer

Qu’au fond, c’est toutte des chanteurs de baratin

Aussi poqués qu’eux autes mais qui veulent pas l’avouer,

Pis qu’y s’raient ben en peine de leur montrer l’chemin :

Des pognés qui voudraient ben, un beau jour, se libérer,

Mais qui ont bin qu’trop peur que ça finisse par arriver!


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12 commentaires

  • Jean-François-le-Québécois Répondre

    16 juillet 2009

    @ O:
    Merci, Ougho, pour votre dernière intervention. Je serais convaincu maintenant en effet, que les Acadiens sont plutôt des cousins; des parents, avec qui nous ne ferions peut-être pas si bon ménage que ça, si nous tentions de travailler sur des projets communs...
    Je ne sais pas, j'avoue; je ne connaissais pas tous les détails historiques, l'imbroglio, comme vous disiez. Mais je dois bien admettre qu'à chaque fois que j'ai pu échanger avec des Néo-Brunswickois, le sentiment qui me venait, était qu'ils étaient des Canadiens parlant français, avec un accent similaire au nôtre, sans être le même. Soit. Mais que nous n'appartenions pas vraiment au même peuple. Peut-être est-ce triste, mais c'est comme ça, à mes yeux.
    Sans me permettre d'être condescendant, je dois dire j'ai une certaine compassion pour eux: je n'aimerais pas être ainsi condamné à me voir moi-même comme un Canadien qui appartient à une minorité parmi tant d'autres, au pays multiculturel de Trudeau... Ou pire: un citoyen de seconde classe, dont le «crime» est d'avoir comme langue maternelle le français... en attendant la complète assimilation de ma communauté, alors que les allophones venus de loin sont traités par les Canadiens Anglais comme des gens qui sont des leurs; comme de bons Canadiens!
    Le Grand Dérangement fut un véritable crime, mais aussi ce lavage de cerveau à l'échelle nationale, qu'on leur a fait subir sur une si longue période!
    Je présume qu'ils n'aiment pas nécessairement les Québécois trop nationalistes à leur goût, car notre existence même, les confronte à une certaine réalité... Leur fait sentir tout ce qu'ils ont perdu, vraiment. Mais vers qui peuvent-ils se tourner, au point où ils en sont aujourd'hui? Vers Ottawa?
    Je vais conclure en vous disant que j'utilise un pseudonyme, sur Vigile, comme vous. Et cela, cher Ougho, car on ne sait jamais qui peut naviguer sur internet, jusque sur Vigile... Ni avec quelles intentions.

  • Ouhgo (Hugues) St-Pierre Répondre

    15 juillet 2009

    Monsieur Le Québécois,
    J’apprécie vos interventions, qui nous arrivent depuis peu, me semble-t-il. J’utilise aussi un pseudonyme, Ouhgo, (sono latine du nom Hugo) que je signe sous mes lettres originales, mais que j’abrège par O sous les messages aux autres lettres, pour soulager la susceptibilité des anti-pseudos.
    Sous une lettre de Caroline Moreno, je répondais à M. Boivin au sujet des Acadiens, lors des funérailles de Roméo Leblanc :
    "Je me rappelle un bref séjour, avant 1995, où je me faisais traiter de « maudit Québécois ». À cette époque je suis allé lire mieux sur l’Histoire de l’Acadie. Cette population d’origine française débarquée 5 ans en Amérique avant la colonie de Québec a développé ses mythes fondateurs, ses héros, ses affinités politiques opposées à ceux/celles des Québécois… Ma visite, après un séjour en Saskatchewan, visait une rencontre avec une autre branche d’expression française en Amérique. Or j’ai constaté que l’espoir des francophones hors Québec n’est pas de développer une solidarité ethnique pour une gérance autonome, mais de briller comme une culture différente à l’intérieur d’un pays multiethnique pourvoyeur. L’Acadie bilingue se voit glisser vers l’assimilation. Le Québec n’y a pas échappé encore. Si nous avions fait alliance, toute la francophonie éparpillée au Canada, aurions-nous pu mieux faire face aux ruses anglo-canadiennes dirigées à leurrer notre jugement devant cette ancienne tactique de nous faire voter pour une façade française occultant une machine anglaise? (Indirect Rule)"
    La réticence des Acadiens à fraterniser avec les Québécois semble venir de cet imbroglio historique sur la colonisation française en Amérique. Ils se targuent d’avoir constitué le premier établissement, à l’île Ste-Croix, en 1603. Or ce peuplement n’a pas survécu au premier hiver. La France ayant récidivé à Port-Royal, mais abandonné en 1607, c’est la fondation de Québec en 1608 qui fut reconnue comme origine de la colonie. Pourtant, c’est Pierre Dugua de Mons (protestant éclipsé par les historiens Jésuites au profit de Champlain) qui dirigea les deux expéditions. Et les colons tiraient leur origine des mêmes lieux en France. Faut dire que par la suite, les Acadiens ont eu maille à partir avec les Anglais dès le début, jusqu’à la déportation de 1754, juste avant les frasques de Wolfe à Québec. Notre noyau plus compact que celui des Acadiens dispersés nous a sans doute permis de résister plus longtemps. Mais l’Empire britannique ne lâche jamais le morceau. Après avoir assimilé les déportés en Nouvelle-Angleterre et en Louisiane, après avoir bilinguisé les Acadiens du Golfe, ils nous sentent maintenant très sensibles aux sirènes de la mondialisation multiculturalisante anglicisante… Or, ce sont leurs journaux à pensée unique qui nous font croire que les jeunes sont passés de l’autre bord, que les vieux ont la nostalgie du Canada perdu et que les derniers résistants sont une minorité négligeable. Dès que l’UNION des forces sera possible, que nous utiliserons des médias de notre cru, il deviendra évident que nous sommes majoritaires à vouloir expulser de notre environnement les forces funestes de Bay Street.

  • Archives de Vigile Répondre

    15 juillet 2009

    Le bilinguisme est une affaire de relation au pouvoir, pas une affaire de culture et de Connaissance. Le multilinguisme lui, oui.
    Le bilinguisme des Alsaciens conquis par l'Allemagne est une affaire d'assimilation à l'Empire et au Reich allemand. Le bilinguisme Théchène pareil quand les Russes imposent leur loi. Le bilinguisme Vietnamien pareil quand ce sont les français qui sont sur place, ou les États-Unis, ou la Chine... Remarquez, eux, comme les Polonais, ça finit par faire à force du multilinguisme et donc une affaire de Connaissance... mais ça c'est une autre histoire, à moins qu'il soit question ici que le Mexique envahisse les États-Unis et le Canada, à moins que ce ne soit la Chine... Mais restera toujours que l'unilinguisme officiel du Québec pour assurer la pérennité ici de la diversité culturelle en langue française... à quoi sert l'unilinguisme français si nous sommes tous bilingues... à ce que les unilingues anglophones puissent le rester ?
    Cet unilinguisme Anglais, Chinois, ou Russe, qui impose sa loi du bilinguisme à ses vassaux est bien sûr une affaire de Connaissance. Il faut savoir transiger avec ses maîtres... Une affaire de Connaissance nous ferait donc choisir sciemment de ne pas parler ou de ne pas apprendre à parler anglais au Québec, parce qu'on refuse sciemment tel fait d'oppression linguistique bilinguiste. ET si cela nous handicape ici au Québec, c'est bien le signe que la diversité culturelle, ce fait de Connaissance, est un leurre.
    ET, pourquoi nous faudrait-il être supérieurs aux unilingues anglophones, chinois ou russe ? Personnellement je n'ai pas besoin de me sentir supérieur à eux, même en tant que phénomène culturel... D'être leurs égaux me suffit amplement. Et, s'ils veulent me comprendre qu'ils engagent des traducteurs et j'en ferai autant pour les comprendre...
    Soit dit en passant à New York, pas vraiment besoin de parler anglais d'après mon expérience. Il se trouve toujours dans un lieu public une personne ou deux sur cent qui parle très bien le français, le chinois ou le russe... Dans un resto, dans un bar, une boîte de nuit, sur la rue... En fait, pareil partout dans le monde civilisé... Pourquoi, parce que le multilinguisme est une affaire de Connaissance... heureusement... Je mets au japonais dans les meilleurs délais... ou à l'italien... Remarquez, à Rome aussi on n'a pas de problème de communication... même en étant unilingue italien ou français... Pourquoi en aurions-nous au Québec en ne sachant pas parler anglais ? Je me le demande...

  • Jean-François-le-Québécois Répondre

    15 juillet 2009

    @ O:
    Cher O (ou chère O),
    L'exemple de la Louisiane et du peuple cajun, est triste... Quoique que pour le moment, je crois que ce sont encore plus nos amis francophones du Nouveau Brunswisk, qui sans peut-être le savoir, semblent être sur le chemin qui les mènera à la Louisianisation de leur société.
    Est-ce que les Néo-Brunswiquois de souche française (et qui parlent toujours français) comme ces chers Cajuns, sont nos frères? Ils l'ont déjà été, réellement, mais après des siécles d'évolution, chaque communauté dans son propre milieu, je crois qu'aujourd'hui ils nous seraient plus comme des cousins, avec qui n'avons plus souvent la chance d'échanger... Mais les racines communes existent, et de telles racines, sont profondément ancrées dans le sol; elles ne meurent pas, je crois.
    Mais je pense que la chance que nous avons, au Québec, justement, c'est que nous avons le choix! Oui, nous avons encore le choix: nous pouvons nous laisser faire, et voir notre Fleur de lys, notre dernier véritable bastion français, être Louisinianisé, ou Néo-Brunswickisé... ou nous pouvons faire le bon choix, celui de nous faire à nous-mêmes le cadeau d'un véritable pays!
    Il me semble que le choix est clair, simple, pourtant... C'est fâcheux, que trop de nos frères et soeurs québécois, ne le comprennent pas...
    L'obstacle, ici, ce n'est pas autant le Rest of Canada, que l'incompréhension, pour ne pas dire la véritable bêtise, de nos propres concitoyens fédéralistes! Ils sont du genre à se faire à répétition cracher en pleine face, et à en redemander!

  • Ouhgo (Hugues) St-Pierre Répondre

    14 juillet 2009

    Monsieur le Québécois,
    Quand vous lisez ceci: "Pour ce qui est de la Louisiane, nos frères n’auraient pas survécu là sans bien connaître la langue anglaise même s’ils perdent le français à cause de leur extrême minorité en cette terre lointaine.."
    ...vous ne pouvez vous tromper: À qui profite ce crime de nous faire accroire que "nos frères" ont survécu en Louisiane?
    S'ils doivent être notre modèle de survivance, préparons des comptoirs de dégustation de cretons que nous offrirons en anglais aux touristes venus rencontrer les vestiges de la Nouvelle-France. Sortons les violoneux des boules à mites.

  • Jean-François-le-Québécois Répondre

    13 juillet 2009

    @ Gilles Bousquet:
    Ah oui? «L'avenir nous attend»...?
    Vous le pensez vraiment, monsieur Bousquet? Parce que si oui, excusez-moi, mais vous êtes aveugle!
    La plus grosse ville du Québec est aujourd'hui majoritairement anglophone; notre richesse collective est en train de diminuer sérieusement; démographiquement, notre très faible taux de natalité des années 1980 et 1990 nous rattrape, car dès 2010, il y aura une baisse remarquable de la fréquentation des cégeps et universités francophones (au moment où nous avons un taux de décrochage au secondaire d'environ 40%).
    Ajoutons à cela le fait que nous ne sommes même plus fichus, en tant que peuple, de nous faire assez bien respecter pour que les célébrations de la Saint-Jean-Baptiste, notre supposée fête nationale, se déroulent toutes en français... ne fut-ce que celle seule journée-là de toute l'année...
    «L'avenir nous attend»... Ne me faites pas rire, monsieur Bousquet! Nous sommes une nation en déclin!
    Le Québec est maintenant à la croisée des chemins, et les Québécois semblent, de manière bien inconsciente, pour la majorité d'entre eux, sur le point de rater leur rendez-vous avec l'Histoire. Et quoiqu'il arrive, la grande roue de l'Histoire continuera à tourner... Avec ou sans le petit peuple québécois!
    J.-F.
    *P.S.: Et, je vous serais gré de ne pas me répondre avec une réponse édulcorée, diluée, du genre «Oui, mais»... Car l'heure est grave!

  • Michel Guay Répondre

    13 juillet 2009

    Comme tous les fédéralistes colonisés et anglicsieurs il n'est pas capable de comprendre que plus de bilinguisme dans les langues du monde pour usage extérieur du Québec c'est bien mais plus de bilinguisme seulement en anglais comme c'est le cas au Québecc'est de l'assimilation destruction de notre nation.
    Ces bilingues anglicisés ne parlent plus une seule langue et ne comprennent plus aucune langue
    J'en arrache avec ces destructeurs angliciseurs au service des orangistes

  • Archives de Vigile Répondre

    12 juillet 2009

    À MichelG qui m’écrit que j’ai voulu dire, comme colonisé, que : nous sommes plus riches parce que nous sommes plus bilingues.
    Je n’ai jamais voulu écrire ça. Nous sommes plus riches parce que plus scolarisés et nos campagnes, où nous sommes en majorité, ont pris beaucoup de valeur.
    À M. Gaston Boivin qui m’écrit : «il a fallu que vous y mettiez un petit grain de cette mentalité de colonisé : "Nous avancons : Nous sommes...., ...., plus bilingues.." »
    J’ai aussi écrit que nous avançons dans plusieurs domaines dont celui de maîtriser plus que la langue française, qui est l’anglaise. Je ne vois pas que ce serait un avancement pour les Québécois francophones de redevenir plus unilingues. Tout ce que nous ajoutons à nos connaissances, ajoute à notre force collective
    Pour ce qui est de la Louisiane, nos frères n’auraient pas survécu là sans bien connaître la langue anglaise même s’ils perdent le français à cause de leur extrême minorité en cette terre lointaine..

  • Michel Guay Répondre

    12 juillet 2009

    Les colonisés passent leurs messages : nous sommes plus riches parce que nous sommes plus bilingues . Comme si l'unique vrai richesse pour une nation n'était pas d'imposer sa langue au lieu de s'autodétruire dans l'anglicisation en se fermant le monde à 90% non anglophone .
    Quelle ignorance morbide

  • Gaston Boivin Répondre

    12 juillet 2009

    Monsieur Bousquet, votre commentaire était plutôt bien, mais, au dernier instant, on dirait que c'est plus fort que vous, il a fallu que vous y mettiez un petit grain de cette mentalité de colonisé: "Nous avancons: Nous sommes...., ...., plus bilingues.." : C'est de même que nos frères et soeurs de la Louisianne ont avancé définitivement vers leur assimilation et que ceux et celles du reste du Canada sont en train d'avancer très rapidement. En fait, je ne sais si vous vous en rendez compte, mais vous êtes en train de nous dire: Avançons ainsi pour aller les rejoindre!

  • Archives de Vigile Répondre

    12 juillet 2009

    M. Poulin en Jean Narrache qui tire le y'abe par la queue, j'en arrache, j'en arrache, moi j'vous l'dit, chu pas chanceux.
    Nous avançons M. Poulin, en âge, en sagesse, en places dans la société québécoise, en gradués de l'université, en tout sauf en français mais nous allons résister.
    Nous étions en bas de l'échelle sociale avant 1960 et aussi avant l'élection du PQ en 1976 mais maintenant, nous importons des travailleurs d'ailleurs pour faire les jobs à bras et dans de mauvaises conditions dont nous ne voulons pas.
    Nous sommes plus instruits, plus bilingues, plus propriétaires et plus entrepreneurs même si plus endettés. Nos agriculteurs, jadis pauvres à la campagne pendant que les Anglais s'enrichissaient à la ville, sont presque tous devenus millionnaires. Nous contrôlons la grande majorité de nos campagnes. Ça va assez bien M. Poulin en ce milieu du beau mois de juillet. Il nous reste à ne pas laisser aller la Ville de Montréal.
    Soyons heureux, l'avenir nous attend en étant d’être un peu vigilants.

  • Ouhgo (Hugues) St-Pierre Répondre

    12 juillet 2009

    Ahhh...bin! Comm' ça, Jean Narache, c'était vous!