Folie fédérale

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Le transgenrisme déconstructeur veut en finir avec les femmes

La ministre fédérale de la Condition féminine, Maryam Monsef, qui avait déclaré être née en Afghanistan, mais qui a avoué, une fois députée, être iranienne, dirigera d’ici peu le nouveau ministère des Femmes et de l’Égalité de genres.


Femmes et égalité de genres ?


L’organisme féministe Pour les droits des femmes, qui s’impose pour remplacer la Fédération des femmes du Québec partie en orbite intersectionnelle, demande : « Pourquoi l’identité de genres et l’orientation sexuelle seraient-elles la responsabilité d’un ministère des femmes ? »


Bonne question.


Parlons-en des femmes et de l’identité de genres. Dès l’âge de 14 ans, un mâle « tout équipé » n’a qu’à se présenter à l’État civil du Québec avec une personne qui le connaît depuis un an et affirmer qu’il se sent femme. Il/elle recevra un certificat de naissance marqué F.


Désormais, il/elle aura accès aux endroits où les femmes trouvent sécurité et refuge : toilettes, vestiaires, refuges, prisons unisexes, etc., et à tous les programmes et subventions pour femmes.


Pas la même chose


Une femme est une femme et une femme trans est une femme trans. Toutes doivent être protégées contre la discrimination et la violence, mais comment prétendre qu’elles partagent le même vécu ? La même force physique ? Les mêmes peurs ? Elles ont peu en commun outre l’apparence féminine.


Le nouveau ministère aura la responsabilité de contrôler et de soutenir cette belle évolution du genre humain, qui passe de deux sexes à une multitude d’identités confuses. Mais quelle place sera réservée à la défense traditionnelle des droits des femmes, femmes ?


Quand les droits des femmes et ceux des trans se croisent, les femmes sont généralement perdantes. Leurs causes s’effacent. Parlez-en aux lesbiennes. Comme si être une femme n’était qu’une question de feeling... et d’apparence.


On va bâtir un ministère sur cette prémisse ?