1. Quelqu'un de bien informé peut-il me dire s'il est vrai que les anglophones du Québec (environ 8% de la population) reçoivent environ 30% des fonds publics destinés à nos universités?
2. Si c'est vrai, quelqu'un peut-il me dire s'il est possible, en régime démocratique, de ramener le financement de ces universités anglophones à 8% des sommes consacrées à nos universités québécoises?
3. Ce faisant, aurions-nous de quoi financer nos universités, sans avoir à hausser les droits de scolarité?
4. Question plus délicate: qui de plus autorisé que moi soulèvera ce débat? J'imagine que vous ne comptez pas sur La Presse, le PLQ, la CAQ, la GRC ou TVA pour le faire.
Et pourquoi les associations étudiantes n'abordent-elles pas ce sujet? Par peur d'être taxées de «violence» et de racisme?
Financement des universités
Tribune libre
Viateur Beaupré32 articles
Professeur à la retraite. Écrivain. Horticulteur, pêcheur et chasseur. Se bat depuis quarante ans pour défendre le français et l’indépendance du Québec. Sept-Ïles
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1 commentaire
Marcel Haché Répondre
28 avril 2012Vous soulevez un point décisif...que les quécois zé les québécoises,de la grosse drette à la gauche la plus archaique, évitent soigneusement d'envisager...
Comment batailler pour l'indépendance si avant même la bataille on s'incline, on se perd en génuflexions et en salamalecs devant le supposé mythique West Island ? Si même on nie que le West Island existe ? Si même on se félicite comme des nonos que,pour une part importante,McGill reçoit des étudiants de partout au monde,comme si cela Nous mettait "sur la carte"?
Je me joins à vous et pose la question aux grands indépendantistes
Comment batailler ensuite si Nous avons avalé le leurre du multiculturalisme canadian, dont McGill est un haut lieu ?