Droits linguistiques des anglophones au Québec

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Solidarité des minoritaires : les Acadiens et les Franco-Ontariens rejoignent les Anglo-Québécois dans leur contestation


On apprenait mercredi dans Le Devoir que la Commission scolaire English Montreal conteste devant les tribunaux la décision du gouvernement de transférer deux de ses écoles à moitié vides à la Commission scolaire de la Pointe-de-l’Île, qui, elle, manquera vraisemblablement de classes pour plus de 3000 élèves dès septembre.


Ce qui étonne est le fait que cette contestation est appuyée par Carol Jolin, président de l’Assemblée de la francophonie de l’Ontario (AFO), et Robert Melanson, de la Société de l’Acadie du Nouveau-Brunswick (SANB).


Le discours de ces derniers est complètement déphasé ! Qu’on leur dessille les yeux au plus vite. La communauté anglophone du Québec est la minorité la mieux traitée au monde ! Deux universités de calibre mondial, des tas de cégeps, des hôpitaux, des services à chaque ordre de gouvernement offerts sur demande. Eu égard à une langue qui n’est pas reconnue comme officielle, aucune minorité au monde ne peut même prétendre à une situation aussi enviable.


Que M. Jolin en prenne acte, le vrai combat à mener en ce moment est en Ontario, pardi ! Pourquoi diable l’AFO ou la SANB viendraient donc manifester ici ? Le plateau d’argent sur lequel sont offerts les services aux anglophones du Québec ne suffit plus, il devrait être en or ?









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