Livres 2009 - Arts - cinéma - TV - Internet

Des silences troublants

Pourquoi exagérer sciemment l'avantage de l'anglais? (Le Devoir)


Charles Castonguay. Archives La Presse L'année 2008 aura été une année de grandes colères. C'est le cas de celles de Charles Ca...

Avantage à l'anglais ! : Réplique à Michel Paillé



Dans un article intitulé [« Pourquoi exagérer sciemment l'avantage à l'anglais? »->17098] paru dans Le Devoir du 5 janvier 2008, le démographe Michel Paillé réplique à l'article [« Avantage à l'anglais ! »->17108] de Charles Castonguay publié dans le même journal le 27 décembre dernier. Nous laissons à M. Castonguay le soin de répondre sur le fond aux propos de M. Paillé, mais nous ne pouvons laisser passer...

Daniel Jacques / La Fatigue politique du Québec français

Grosse fatigue



Daniel Jacques: "Il faudrait peut-être qu'on redevienne des Canadiens français." Dans un essai passionnant, le philosophe indépendantiste Daniel Jacques sonne le glas du souverainisme québécois. Une radioscopie décapante du projet nationaliste québécois. Voir: Une majorité de Québécois sont réfractaires à la tenue de nouvelles élections. N'est-ce pas un signe éloquent de leur "fatigue politique", phénomèn...

Indifférence et non-ingérence - Quatre siècles de relations entre la France, le Canada et le Québec



Les documents révèlent que le royaume avait à toute fin utile sinon abandonné, du moins négligé sa colonie boréale des Amériques bien avant le traité de Paris du 10 février 1763. Paris n’en avait que pour ses îles esclavagistes et sucrières des grandes eaux chaudes du Sud. Quelques arpents de canne, quoi.

Le statut défaillant du français



On s’emploie depuis quarante ans à rehausser le statut du français. Qui par la loi canadienne de 1969, qui par la loi 101. La première vise à mettre le français sur un pied d’égalité avec l’anglais. La seconde, à assurer au français un statut supérieur. Toutes deux demeurent loin d’atteindre leur objectif. Comparer le statut du français avec celui de l’anglais n’est pas nécessairement compliqué. Prenons la ré...