Festival d’été de Québec

Festival d'été de Québec

Trop de groupes anglophones ?



«Je ne veux pas les condamner, mais pour moi il est clair que le Festival d'été de Québec exagère du côté anglophone. Et qui paie pour ces stars ? Les gouvernements qui financent ces festivals.»

The Halak spring didn't last long

By the Fete nationale the old divisions and 'nous' mentality had returned


But to require an anglophone artist to sing in French was actually to exclude his identity and that of his community, as if Haitian-born singer Luck Mervil, another performer, were required to wear whiteface. It reduced him to a trophy in a celebration of one group's domination of another.

Marois joins militant sovereignists in Bill 103 protest

Violent separatist groups buddy up with the PQ and Bloc leaders


Who says Pauline Marois is a snob? The Parti Québécois leader proved again yesterday that she's willing to ...

La mission du Festival d'été de Québec



Après une semaine de débats sur la programmation du Festival d'été de Québec, son contenu francophone et la présence de vedettes internationales, nous nous permettons d'intervenir pour rétablir les faits. D'abord, il est important de définir ce qu'est le Festival d'été de Québec dans le paysage événementiel du Québec et du monde. Sa mission le dit: «Le Festival doit animer, l'année durant, la ville de Québec, p...

La Loi du plus faible



On ne le dira jamais assez : le libre-marché, ce je-m’en-foutisme érigé en dogme absolu, ne peut pas assurer la survie du faible. Le français a réussi à prospérer au Québec et à intégrer les immigrants grâce à la Loi 101. Avant celle-ci, 90% des nouveaux arrivants s’intégraient en anglais. Notre culture s’est raffermie parce que des hommes courageux ont décidé de ne pas laisser la main invisible du marché décider à notre place.

Réplique à l’éditorial de Pierre-Paul Noreau

Le ringard du Soleil



Dans son éditorial du 8 mai (« Non au retour des ringards »), Pierre-Paul Noreau qualifie de « ringards » les artistes francophones que le Festival d’été international de Québec a choisi de ne pas inviter. Ce choix de mots soulève deux questions. D’abord, de quelle définition du Petit Robert M. Noreau les affuble-t-il au juste ? S’agit-il « d’artistes sans talent et passés de mode » ? De « personnes incapables,...

L'anglais, la chanson, l'internet et le marché planétaire



Avec la chanson en anglais, le "décervelage à l'américaine", décrit et dénoncé par le professeur Herbert I. Schiller, devient un décervelage sans frontières, et ceci à la grande satisfaction de gens tels que David Rothkopf, un conseiller de l'administration Clinton

Festival d'été de Québec

La capitulation culturelle



Une nouvelle petite secousse ébranle le Festival d'été de Québec (FEQ). Sur fond de querelle linguistique, on critique la prépondérance des prestations à saveur anglo-américaine pour enflammer les foules en juillet 2010. Il y a en effet une symbolique chagrine dans cette sélection, qui laisse le fait français tomber en désuétude. Le FEQ a 43 ans. Il a gagné en assurance et pris une ampleur considérable. Depuis so...

Les AngloFolies de Québec

Trois ans plus tard pourtant, nos réserves de patience à l'égard de l'anglomanie grandissante du Festival d'été de Québec sont épuisées.


Car avec des commandites provenant des plus importantes sociétés d’État comme Loto-Québec, Hydro-Québec, la SAQ et une subvention majeure de Tourisme Québec, le Festival d’été de Québec profite largement de la générosité de l’État. En retour, il serait normal, voire plus que souhaitable, que le Festival serve de vitrine à la culture québécoise et francophone plutôt que de s’activer à devenir une succursale du Centre Bell. Une succursale subventionnée, de surcroît !

Festival d’été de Québec et culture anglo-américaine

Québec doit revoir ses pratiques de subventions et de commandites



Force est de constater que le Festival d'été de Québec a changé, ce qui est son droit, mais cette évolution impose maintenant une réévaluation des subventions et des commandites qu'il reçoit du gouvernement du Québec et de ses sociétés d'État.

Le problème du Québec, selon Jean Charest, ce sont les Québécois. "Il faut s'y attaquer". Le jour approche où on n'aura plus de problèmes...

Artistes anglophones: attaques contre le Festival d'été de Québec

La ministre de la Culture refuse de se mouiller


Interrogée sur les fonds publics versés au Festival d'été de Québec, la porte-parole du FEQ a expliqué que les sommes provinciales représentaient seulement 8,6 % du budget du Festival. Les subventions fédérales, versées notamment par Industrie Canada pour soutenir les événements favorisant le rayonnement international, s'élèvent quant à elles à 2,7 millions, soit 20 % du budget total. Les fonds provenant de partenaires privés comptent pour 26 %, soit 4,6 millions. Loto-Québec et Hydro-Québec, des créatures publiques, comptent toutefois parmi les principaux commanditaires de l'événement estival.

In Quebec City, Canada

Après les radios poubelles, le festival poubelle

Le duo Labeaume-Gélinas à l'oeuvre


Ç’en est rendu que Gilles Vigneault est devenu le Québécois de service dans un festival qui a perdu toute couleur locale.

Faut-il boycotter le Festival d’été de Québec?

Que ceux qui sont encore fiers d’être des Québécois se lèvent et boycottent ce festival.


On me dira: ce n’est qu’un festival, tout comme on m’a dit, précédemment, ce n’est que le slogan d’une école, ce n’est que la ville de Laval, ce n’est qu’Alain Dubuc, ce n’est qu’un hôpital, ce n’est qu’un retard scolaire, ce n’est qu’une circulaire en anglais de The Brick, ce ne sont que de petites erreurs de l’OQLF, ce ne sont que quelques candidats anglophones de Projet Montréal, ce n’est qu’une affiche, ce n’est qu’un tribunal, ce ne sont que des Jeux Olympiques, ce ne sont que quelques cours en anglais à l’UQAM, ce n’est qu’un théâtre, ce n’est qu’un groupe Facebook bilingue, ce n’est qu’une Saint-Jean bilingue, ce ne sont que des clients ordinaires, ce n’est que de la musique au Centre Bell, ce n’est que Pascale Picard… Et un jour, insidieusement, on dira: ce n’est que le peuple québécois.

Black Lake, Québec?



« Pour bâtir l’avenir aujourd’hui and tomorrow. » C’est le slogan que s’est donnée la polyvalente de Black Lake, à Thetford Mines. Présent en français, futur en anglais. Plus colonisé que cela, ton peuple meurt. Encore une fois, ce sont les régions qui sont à la traîne du combat linguistique et c’est l’individualisme qui semble être le fer de lance de ce phénomène.