Le projet de loi sur les signes religieux doit être adopté sans concession aucune
15 février 2019
J'ai écrit plus haut:
"La seule exception acceptable irait bien entendu dans le sens du maintien de nos signes religieux à nous, symboles importants du désir de bien faire et de rester dans le droit chemin qui a animé nos prédécesseurs et dont les valeurs fondamentales peuvent continuer à nous inspirer à notre tour. Leur valeur patrimoniale doit être préservée dans le sens du respect de la tradition et comme témoin de notre histoire."
Je suis heureux de constater que M. François Legault et son gouvernement semblent abonder en ce sens. En effet, on apprend que:
"M. François Legault ne voit pas la nécessité d’ordonner le retrait des crucifix qui sont encore accrochés dans les salles de classe du Québec."
Le premier ministre Legault déclare:
«Quand on a rendu nos écoles laïques, la plupart des crucifix avaient été retirés, c’est la responsabilité des écoles, peut-être dans certains cas, il y a peut-être des crucifix qui, comme à l’Assemblée nationale, sont plus une question de patrimoine», a plaidé mercredi le premier ministre.
Référence: https://www.journaldemontreal.com/2019/02/13/crucifix-dans-les-ecoles-une-question-de-patrimoine-plaide-francois-legault
J'estime que par ces propos M. Legault reflète l'opinion de la grande majorité des Québécois d'ici.