Des hordes d'immigrants gros fumeurs, alcooliques, malades chroniques?
19 juillet 2022
On pourrait reformuler le titre en y ajoutant un autre terme:
Des hordes d'immigrants gros fumeurs, cracheurs, alcooliques, malades chroniques?
En effet, le crachat est une pratique généralisée chez les Chinois, qu'aucune campagne gouvernementale n'arrive à enrayer.
En Chine, on crache comme on respire.
On peut lire:
Alors, oui, déjà le chinois crache. Beaucoup. Et fort. Paul Théroux, dans son livre « La Chine à petite vapeur » décrit d’ailleurs très bien le phénomène :
« Les Chinois passent leur temps à cracher. Ils se raclent la gorge si bruyamment que la conversation devient inaudible — on dirait le son d’un motoculteur ou de quelqu’un qui nettoie une gouttière, ou encore les derniers litres d’eau d’un jacuzzi en train de se vider. Ils aspirent avec leurs joues : Kurrrkh ! puis ils grimacent, mettent leurs dents en position et se penchent. Vous vous attendez à un jet d’au moins cinq mètres, comme un cow-boy dans la pampa, mais non, ils ne lui impriment aucune force. Ils crachent rarement à plus de de quelques centimètres. Ils ne crachent pas juste et loin, ils crachent vers le bas ; voilà la différence culturelle essentielle que je mis un an à découvrir en Chine. Ce n’est pas un tir net en plein dans le crachoir, c’est une dégoulinade qui coule à l’extérieur de ce répugnant réceptacle. Ils se plient en deux lorsqu’ils crachent, avec une flexion des genoux et une courbure de l’échine en guise de préliminaire. Il n’y a rien d’agressif. C’est presque silencieux. Ils laissent tomber le glaviot et poursuivent leur chemin. »
Cela fait réfléchir sur certaines pratiques que nous importons avec les importés. Ça vient avec. Mais en veut-on vraiment?