Les enfants québécois avortés se font remplacer par des immigrants importés
4 août 2022
J'ai retrouvé l'un de mes textes datant de 2010 mais qui n'a rien perdu de sa pertinence:
Saviez-vous que le nombre d’enfants qu’on empêche de venir au monde chaque année au Québec est équivalent à la population entière de la capitale de la Beauce, Saint-Georges, ou de la population de villes comme Val-d’Or, Alma, Boisbriand ou Sept-Îles? Peut-on se mettre à rayer de la carte l’une de ces villes année après année et trouver cela normal, moderne et civilisé?
300 000 bébés depuis 10 ans, cela représente la population totale de la capitale nationale du Québec (avant les fusions avec les banlieues). Imaginez un instant la ville de Québec entièrement désertée et vidée de ses habitants. Une bombe atomique ne ferait pas pire. Mathématiquement parlant, l’équivalent de l’hécatombe de Nagasaki se répète chaque année ici-même et personne ne trouve à redire à la chose.
En tant que nationalistes, pouvons-nous rester indifférents à l’idée de supprimer une ville entière du Québec chaque année? Ce chiffre astronomique de 29 000 est plus gros que la population de toutes les villes et villages du Québec sauf 33.
Et, qui plus est, ce chiffre correspond démographiquement parlant au nombre précis de personnes requises, c’est-à-dire le seuil de remplacement, pour que la population québécoise se maintienne et se renouvelle sans le besoin de recourir à l’immigration.
Il serait temps de réfléchir sur la question et de proposer des alternatives afin de conserver tous les enfants québécois que nous créons. Une politique nataliste doit favoriser les naissances, par l’inverse.