500 000 immigrants de trop à renvoyer pour régler la crise du logement
24 janvier 2024
L'opposition à l'immigration débridée qui provoque des chambardements à l'équilibre social s'élève maintenant de toutes parts: nationalistes, indépendantistes, le gouvernement provincial, les économistes, plusieurs partis politiques, plusieurs journalistes, et sans oublier la population qui en fait les frais. Le réveil s'est fait.
Des politiques d’immigration complètement irresponsables de la part du fédéral nous entraînent vers un gouffre sans fond.
Voici ce que constate M. GABRIEL COULOMBE, PROFESSEUR D’ÉCONOMIE, CO-PORTE-PAROLE DU PARTI QUÉBÉCOIS EN MATIÈRE D’ÉCONOMIE.
Qu’ont en commun Statistique Canada, la Banque du Canada, la Banque Scotia et la Banque Nationale du Canada? Elles affirment toutes – sans le moindre détour – que le modèle migratoire du gouvernement fédéral est insoutenable et qu’il contribue dans une très forte proportion à la crise de l’habitation.
Ce message, ces organisations le martèlent avec insistance depuis plusieurs mois, alors qu’Ottawa fait preuve d’une indifférence totale devant les multiples mises en garde que lui envoient ces quatre grandes institutions, qui sont pourtant très canadiennes...
Les constructeurs immobiliers n’étant pas en mesure de répondre à cette demande inédite, la pénurie de logements a désormais atteint «le pire niveau jamais enregistré». Est-il simplement possible de dire les choses plus clairement?
Vivre-ensemble
On peut légitimement conclure qu’Ottawa n’est pas en mesure d’utiliser un cadre d’analyse rationnel pour aborder cet enjeu; c’est plutôt un système de croyances hautement discutable qui dicte sa conduite. En plus des défis économiques qu’impose le dogme de l’immigration de masse, c’est le vivre-ensemble qui risque tragiquement d’en pâtir, voire d’en devenir la principale victime. Cela n’est pas seulement hasardeux, c’est aussi profondément inquiétant, et ce, peu importe l’endroit où l’on se situe sur l’échiquier politique.
(fin de la citation)
Source: Des politiques d’immigration complètement irresponsables
Trop d'immigrants reçus, il faut renvoyer le surplus tant que le taux d'occupation des logements actuellement en deçà de 1% ne sera pas revenu au taux normal qui se situe entre 3 et 6%. D'ici là, il ne pourra plus entrer un seul immigrant de plus au Québec. Ça déborde!