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François A. Lachapelle

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    François A. Lachapelle154 articles

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Hydro Québec et ÉNERGIE NB

Braderie de l’électricité du QUÉBEC à 3 c/kWh

  • François A. Lachapelle
  • 6 mars 2010
  • 1291 visites
  • 5 commentaires

Hydro-Québec peut-elle jouer au bon samaritain envers la dette du Nouveau-Brunswick

  • François A. Lachapelle
  • 28 février 2010
  • 647 visites
  • 2 commentaires

Avec Énergie NB: pertes de 130 million de $ par année pour Hydro-Québec

  • François A. Lachapelle
  • 18 février 2010
  • 527 visites
  • 2 commentaires

L'achat d'actifs d'énergie NB par Hydro-Québec: est-ce pertinent?

  • François A. Lachapelle
  • 14 février 2010
  • 395 visites
  • 2 commentaires

Privatiser Hydro-Québec? Le pactole!

  • François A. Lachapelle
  • 5 février 2010
  • 936 visites
  • 3 commentaires

Énergie NB et Jean CHAREST: duperie pour le Québec!

  • François A. Lachapelle
  • 2 février 2010
  • 365 visites
  • 1 commentaire

Et le doute persiste !

20 janvier 2010: 2e entente entre Énergie NB et Hydro-Québec

  • François A. Lachapelle
  • 22 janvier 2010
  • 295 visites
  • 2 commentaires

Achat de Énergie NB par Hydro-Québec!?!

L'empressement de Jean Charest est-il de bon augure?

  • François A. Lachapelle
  • 16 décembre 2009
  • 431 visites
  • 3 commentaires

Réponse à Me Jean ALLAIRE

Vers une "démission" nationale

  • François A. Lachapelle
  • 15 octobre 2009
  • Signer la constitution de 1982 - la subordination dans l'effondrement national
  • 1 commentaire

Le nombril du Québec

  • François A. Lachapelle
  • 28 août 2009
  • 375 visites
  • 4 commentaires
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Commentaires de François A. Lachapelle

  • L’accord de libre-échange avec l’UE, done deal !

    8 juin 2013


    Dans Le Devoir d'aujourd'hui en page B 3, le journaliste Éric Desrosiers présente l'état de la situation actuelle des négociations résultant éventuellement en l'ACCORD ÉCONOMIQUE ET COMMERCIAL GLOBAL ( AECG ) entre le Canada et l'Union européenne.

    Cet Accord économique et commercial est-il souhaitable pour les Québécois et le Québec ? L'article de Desrosiers est coiffé d'un titre inquiétant, je cite: « Des tractations complexes ». Le secret qui entoure ces négociations génère l'ignorance du public, engendre son indifférence aussi découlant de sa complexité. Le résultat de tous ses mystères sera le fait accompli imposé à la population "ignorante et indifférente". C'est un scénario prévisible de la manipulation des intelligences des citoyens "robotisés et lobotomisés".

    Quelqu'un peut-il nous dire dans quelle spirale sommes-nous enchaînés pour accepter que les JONHSON, CHAREST ET CONSORTS parlent en notre nom pour négocier et finaliser un tel ACCORD ? Pourquoi est-ce majeur d'élargir les marchés ÉCONOMIQUES ET COMMERCIAUX ? Ne le sont-ils pas assez actuellement avec la puissance déferlante des entreprises SUPRA-NATIONALES et des MARCHÉS PARALLÈLES au noir qui sont plus puissants que l'économie blanche ?

    Le Marché Godefroy en face de Trois-Rivières que nous fréquentons tient sa beauté dans sa dimension humaine, le contact direct avec le producteur, la question posée sur un détail de la production aux champs, la bonne humeur qui règne sous le chapiteau jaune et vert. Le Marché Godefroy, une coopérative, et les clients ont-il besoin de cet accord économique et commercial général entre le Canada et l'Union européenne ?

  • La patrie est en danger

    2 juin 2013


    Encore une fois, Monsieur Le Hir a allumé une discussion importante, majeure. De plus, je crois que tous les commentaires qui s'ajoutent au bas du texte original illustrent la fécondité projetée par ce texte si magistralement intitulé "La patrie est en danger".

    Je retiens un extrait du premier commentaire d'Émilie B., je cite: " La libre expression, mal utilisée, est plus nuisible parce qu’elle répète souvent les mêmes propos inutiles, ici étant que tous les commentaires négatifs sont repris et retournés contre nous par l’ennemi."

    Beaucoup de courage est exprimé dans le texte original de Monsieur Le Hir et dans plusieurs commentaires. Ajoutons au mot courage deux autres mots: la recherche de la vérité et de l'honnêteté.

    Revenant à l'inquiétude d'Émilie B. à savoir que "nos ennemis" sont habiles à retourner les commentaires négatifs contre nous, que peuvent faire "nos amis" avec toutes les réflexions de Monsieur Le Hir et des centaines de lecteurs et commentateurs ?

    Le mot démission de Madame Marois est évoqué. En faisant appel aux 3 mots "courage", "vérité" et "honnêteté", ne serait-il pas pensable que Madame Marois débatte de la possibilité de sa démission lors d'un lac à l'épaule fait dans la dignité avec des participants non-élus à raison de 3 personnes par comté ( 125 X 3 = 375 participants). Le choix des 3 personnes pourrait se faire au hasard à la pige dans un bassin de citoyennes et citoyens pré-inscrits ayant utilisés un bulletin d'inscription sur lequel ces personnes motivent leur désir de participer à ce lac à l'épaule.

    Si Madame Marois veut vraiment l'avènement du Pays du Québec, elle devra convaincre majoritairement les 375 participants qui se prononceront à la fin de ces quelques jours par vote secret. Rappel: courage-vérité-honnêteté !

  • Une ministre qui dérange

    27 mai 2013


    La robustesse que projette l'image médiatique de la Ministre Martine Ouellet doit répondre au besoin de leadership au Gouvernement en général et au Ministère des Ressources naturelles en particulier.

    Ceux qui prétendent qu'il ne revient pas à un Gouvernement de créer des emplois pensent avoir raison en se fiant au rôle de l'entreprise privée et aux capitaux privés.

    Pourtant, la crise économique mondiale sans précédent qui a commencé en 2008 est l'illustration que les intérêts privés et leurs capitaux ont aucun souci pour le bien commun. La création sauvage d'emplois à partir de la révolution industrielle du XIXe siècle se limitait à des conditions de travail sans égard à la sécurité des employés. De plus, les compagnies pratiquaient systématiquement un écumage des ressources naturelles.

    L'industrie minière au Québec a pu vivre un âge d'or d'irresponsabilité parce que ses chantiers étaient hors de la vue du monde. Une fois les profits engrangés, on ferme la mine et la compagnie même disparaît dans la nature en laissant en héritage des sites de déchets miniers qui percolent dans les nappes souterraines 24/24 et 7/7.

    Comme le démontre le prof. Normand Mousseau dans son livre LE DÉFI DES RESSOURCES MINIÈRES, Ed. Multimondes 2012, on oublie trop facilement que l'industrie minière au Québec contribue pour 2,3% du PNB du Québec et pour environ 4000 emplois directs.

    Dans une édition du journal LE MONDE en avril 2013, certains pays d'Afrique mènent le même combat que le Québec pour mieux contrôler la richesses de ses ressources naturelles. La constante qu'il faut connaître: les lobbys miniers utilisent le même chantage en Afrique qu'au Québec: on retire nos billes si vous ne répondez pas à nos exigences.

    Un autre facteur à placer bien en vue: à qui appartiennent les minières et qui agitent les menaces au nom des minières ? Les investisseurs sont majoritairement étrangers et agissent au plan international ne faisant pas la différence entre l'Afrique et le Québec. Je cite un extrait de Normand Mousseau qui illustre à quel point le lobby minier agite des catastrophes irréels: " En 2011, les 58 premières sociétés d'exploration inscrites à la Bourse de Toronto ont dépensé deux fois plus d'argent en frais généraux d'administration ( 197 M$) qu'en dépense d'exploration ( 96 M$ ) ." p. 162.

    Souvenons-nous que les salaires mirobolants des gestionnaires sont compris dans les frais généraux d'administration. Leur rôle consiste à faire gonfler la capitalisation boursière pour être acheté à prime par une plus grosse minière.
    Tirer vos conclusions sur le fou rire des minières au Québec et à quel point elles veulent la démission de la Min. Martine Ouellet, via la parti libéral.

  • Dérives du bilinguisme automatique

    19 mai 2013


    Monsieur Jean-Guy Plante, vous avez raison de cibler en priorité les commerçants québécois de souche pour promouvoir dans le respect l'usage du français comme langue commune au Québec.

    Vous écrivez, je cite: " Ces commerçants francophones oublient l’exigence d’exemplarité attachée à leur statut important." Probablement que ces commerçants francophones préfèrent ne pas réfléchir au dossier de la langue. Ils estiment qu'en offrant au public un dépliant bilingue, ils contournent le problème qui dépasse des techniqualités pour rejoindre l'identité sociale et nationale des Québécoises et des Québécois. Cette identité est greffée à une personnalité nationale qui a un nom et une existence. Sommes-nous ici en face d'un "non-sens" entretenu par les Chambres de commerce du Québec ?

    Dans le dossier de la langue au Québec, il faut revenir à des notions avec lesquelles le Dr Camille Laurin a jonglé. Il s'agit d'intégrer dans son analyse la différence entre le "bilinguisme institutionnel" et le "bilinguisme personnel".

    Au sujet du "bilinguisme institutionnel", voici la précieuse mise au point que le Dr Camille Laurin précisait le 2 juillet 1977 dans un discours devant le Canadian Club de Montréal, je cite:

    «Le bilinguisme institutionnel est un impératif économique au Québec.» Voilà un autre mythe. Nous l’avons dit dans le Livre Blanc, certaines personnes -- cadres de sociétés, membres des bureaux de direction, administrateurs de l’État -- doivent savoir l’anglais. Mais affirmer que la population tout entière du Québec doive être bilingue pour des raisons économiques, ce serait affirmer du même coup que, pour gagner sa vie dans ce pays, à n’importe quel poste et dans n’importe quel travail, il faille parler anglais. Heureusement, nous n’en sommes pas arrivés à ce degré d’esclavage culturel.»

    Je crois qu'il est urgent que les députés du Gouvernement de Pauline Marois assimilent et s'imprègnent de cette distinction majeure dans le dossier de la langue au Québec. Les occasions d'utilisation du "bilinguisme personnel" et du multilinguisme personnel dans la sphère publique du Québec peuvent être nombreuses tout en accordant la priorité au français. Mais, l'utilisation du "bilinguisme institutionnel" doit être proscrit comme politique d'État et un récurage des "accommodements" doit être fait pour éviter les dérives qui ont foisonné durant les gouvernements successifs de Jean Charest dans la plus grande indifférence aussi appelée tolérance.

    Il faut que des Québécois comme vous et moi, plus conscients des enjeux culturels et linguistiques, attirent l'attention du public sur des pratiques de bilinguisme "automatique" non fondées comme celles du commerce Germain Larivière qui devraient comprendre les méfaits d'une publicité négative.

    Ce texte sera posté au président de Germain Larivière, le p'tit cousin de Ste-Rosalie, QC.

  • La décision immédiate de la Cour suprême d’ouvrir une enquête confirme la gravité de la situation

    10 avril 2013


    La Constitution avec un grand C est la loi fondamentale d'un État.

    Appliqué au corps humain, dire d'une personne qu'elle possède une "faible constitution", c'est ouvrir tout un chapitre sur une faible santé que personne envie.

    Plus des faits sont révélés, plus la Constitution du Canada de 1982 est une "faible constitution", en mauvaise santé. Le fait du rapatriement de force par Pierre Trudeau, le fait des magouilles du Juge Bora Laskin révélées par Frédéric Bastien dans son livre LA BATAILLE DE LONDRES, l'humiliation imposée au Québec en revoyant l'air battu de René Lévesque, notre Premier Ministre, vraiment la Constitution du Canada est née prématurée et présente une "faible constitution".

    C'est sans compter l'excellent travaille de sape accompli par le PM actuel, Stephen Harper. Comme disait Lucien Bouchard, le projet d'un pays est trop central et important qu'il faut être inclusif. Monsieur Harper n'est pas inclusif.

    Tous les politiciens du Québec devraient s'unir dans une conférence à huis clos pour commencer afin de faire le point sur la situation fragile de la loi fondatrice du Canada, Sans vouloir la catastrophe pour notre voisin le Canada, le Québec peut jouer son rôle d'éclaireur et effacer l'ardoise salie par le rapatriement unilatéral de 1982. C'est un job mal fait qu'il faut reprendre à zéro.

    Dans ce sens, puisqu'il est faux de dire que le référendum de 1995 a été perdu parce qu'il a été volé par toutes les malversations documentées du pouvoir centrale, je crois qu'il est urgent pour le Gouvernement du Québec de prendre l'initiative de rétablir un fait et de déclarer solennellement: LE RÉFÉRENDUM DE 1995 EST NUL ET DOIT ÊTRE REPRIS UN JOUR.

  • Une minière de Toronto, IAMGOLD, menace le Québec.

    23 mars 2013


    La Presse d'aujourd'hui en page A31, publie un article de Michel A. RATHIER "Le courage (du Gouvernement du Québec) n'est pas dans l'obstination". Voici le commentaire que je lui adresse.

    Votre appel au courage du Gouvernement du Québec dans le dossier de la réforme de la Loi québécoise sur les mines semble, pour vous, synonyme de «pragmatisme économique». Si on réunit votre conclusion à votre introduction, le pragmatisme dont vous parlez est celui d’un, je vous cite: «environnement d’affaires ou la transparence, la prévisibilité et la stabilité» sont au rendez-vous.

    Comme il est plutôt rare qu’on se trouve en situation de «concurrence parfaite», il est très rare d’assembler en permanence les trois caractéristiques de «transparence, prévisibilité et stabilité». Le «pragmatisme économique» que vous demandez d’appliquer à l’industrie minière de la part du Gouvernement du Québec correspond-il à une demande raisonnable ou irréaliste ?

    Au deux-tiers de votre article, vous énumérez deux facteurs: a) la crise des capitaux synonyme de levées de fonds, et b) la hausse des coûts de mise en valeur des minières que la banque ABN-Amro estime à 65%. Malheureusement, vous ne précisez pas sur quelle période s’est effectuée cette hausse de 65% ce qui nous aurait éclairé.

    Je crois que le dossier de la réforme des taux de redevances et d’impôts des minières se situe dans le b) ci-dessus. Il serait nécessaire de ventiler les différents coûts mesurés dans le 65% et dans quelle proportion interviennent les redevances et les impôts.

    Puisque vous écrivez que les points a) et b) ci-dessus menacent, je cite: « l’envergure et la survie de la filière minérale que le Québec aura mis plus de 50 ans à bâtir et développer», vous touchez-là un volet historique très instructif. Ce rétro-regard sur un demi siècle de l’histoire des mines au Québec me fait voir le fantôme d’une loi québécoise sur les mines archaïque et obsolète dont les minières ont abusé sans vergogne. Ce que les citoyens ne voient pas ne les dérangent pas. (R. Desjardins)

    L’esprit et la lettre de cette Loi archaïque étaient imprégnés du «free mining» issu du XIXe siècle et de l’appropriation d’immenses territoires par «claims miniers», disponibles en dernier sur internet. Il est bien évident que cet âge d’or des minières au Québec a certainement permis des rendements élevés, dépourvus complètement de conscience sociale et environnementale.

    J’espère que vous réalisez que cette époque «inconsciente» autant chez les minières, les actionnaires, les mineurs et la population en générale ne peut pas servir de gabarit pour établir les nouvelles balises, actualisées aux besoins du XXIe siècle. En pensant aux mineurs d’autrefois oeuvrant en Abitibi, il me revient à l’esprit quelques photos d’immigrants de fraîche date de l’Europe de l’Est n’ayant pas le choix. Par votre article, envoyez-vous le message que nous n’avons pas le choix ?

    Vous présentez d’autres chiffres qu’il serait instructif de ventiler pour le bénéfice des Québécois. Je pense au 8 G$ qui sur 300 G$ PIB total du Qc représente 2,67%. Combien des 750 M$ sont de véritables RER, retombées économiques régionales ? Les 52 000 emplois «permanents» sont-ils tous des emplois directs, ou incluent les indirects et les induits ?

    Dans le un milliard $ versé aux trésors publics, combien au fisc du Québec, combien de déductions fiscales sont accordées aux minières, lesquelles déductions fiscales sont payées par les Québécois ? Votre pragmatisme économique est-il conciliable avec un pragmatisme sociale de 2013 ?

    Parmi les minières en danger par un changement du paradigme actuel, si on applique un nouveau taux de redevances sur le matériel brut extrait et si on introduit un taux d’impôt sur les sur-profits, combien de minières seront-elles acculées à la fermeture et combien d’emplois directement visés ?

    Le diable est dans les détails. Saurez-vous informer le public de ces détails ? On n’a pas abordé les méfaits de la comptabilité créative et des ventes entre filiales des paradis fiscaux. Cordialement.

  • IL CHANTE MON PAYS

    9 mars 2013


    Il est heureux que ce chanteur du métro de Montréal chante le Québec et sa culture en interprétant les chansons de Leclerc, Vigneault, Ferland et les autres.

    Cette douceur vous rend la vie plus belle en français à Montréal en 2013. Pour combien de temps et cela se produit-il souvent ?

    Quant à l'immigration de 55 000 personnes entrant chaque année au Québec, vous posez les questions: « pourquoi ne pas en diminuer le nombre ? Pourquoi ne pas réfléchir collectivement à ce sujet ? » J'aimerais bien que les responsable de cette immigration répondent à vos questions. Personnellement, je ne connais pas ces réponses.

    Revenons à Montréal que plusieurs qualifient de "ville bilingue". L'ex-ministre Louise Beaudoin, interviewée aujourd'hui par Michel Lacombe à l'émission radio "Faut pas croire tout ce qu'on dit", a répété cette affirmation sans levée l'ambiguité qu'elle suscite.

    Elle a dit, je cite: "surtout à Montréal, on est en train de baisser les bras". Quelle absence de conviction pour parler mollement comme elle le fait de ce dossier majeur pour la pérennité de la culture québécoise à Montréal. Jean-François Lisée en janvier 2013 sur les ondes de CJAD n'a pas fait mieux.

    Pourtant, il serait tellement plus clair d'apporter une distinction au départ, soit celle de la grande différence entre un bilinguisme personnel et un bilinguisme institutionnel. Dans un discours prononcé le 2 juillet 1977, le Dr Camille Laurin devant le Canadian Club a associé l'esclavage culturel au bilinguisme institutionnel. J'estime que cette équation est encore éminemment d'actualité dans le dossier du renforcement du français à Montréal en 2013, soit plus 35 ans plus tard.

    Je suis abasourdi par l'improvisation et le manque de conviction de nos politiciens dans le dossier du français à Montréal en 2013. La Ministre De Courcy ne doit pas être la seule à porter avec fierté le dossier de la langue nationale du Québec.

  • Yann Martel, parcours typique d,un Canadien français en Amérique

    28 février 2013


    L'anglicisation des francophones en Amérique du Nord, incluant le Québec, est séculaire. Pour le volet hors Québec, vous en faites une excellente description par le phénomène de l'émigration.

    Je vous cite: « C’est comme cela que le Québec perd ses citoyens francophones depuis des années, des décennies, des siècles. Les Québécois ont traversé en Nouvelle-Angleterre et se sont anglicisés. Ils ont émigré dans le mid-west américain et se sont anglicisés. Ils ont émigré dans les Prairies canadiennes et se sont anglicisés. Ils ont émigré en Ontario (Welland, Hearst, Windsor, Toronto, Ottawa) et se sont anglicisés. Chaque fois. Toutes les fois.»

    Et pendant ce temps à Montréal PQ, le Ministre Lisée, ex-libre penseur, fait la promotion du bilinguisme "institutionnel" dans le métro. Il s'est bien gardé de faire la différence entre le bilinguisme personnel très répandu à Montréal, et, le bilinguisme institutionnel. Comme si les Québécois bilingues de Montréal n'existaient pas, comme si ces Québécois étaient dépourvus de courtoisie à l'endroit d'un interlocuteur ne pouvant pas s'exprimer en français.

    Un autre Montréalais fait la promotion du manger mou dans le dossier de la promotion du français à Montréal. Il s'agit de l'éditorialiste du Devoir Bernard Descôteaux qui s'adresse aujourd'hui aux inspecteurs de l'Office québécois de la langue française. Son texte est d'une banalité à pleurer. Après les trois-quarts de son texte, il se sanctionne lui-même en écrivant, je cite: « Il faut prendre garde toutefois à ne pas donner plus d'importance qu'il ne le faut à cet incident. » Pourquoi avoir noirci du papier avec un vide désolant ?

    Le dossier de la promotion du français au Québec et principalement à Montréal où la société anglophone y est concentrée, appuyée par tous les allophones issus de l'immigration, ce dossier doit être traité avec passion, sinon avec conviction. Vous faites une honorable démonstration de votre titre "La mauvaise cible".

    Il faut identifier les bonnes cibles dont la première est celle de retrouver chez les francophones de Montréal la fierté de leur langue et de leur culture. Cette seule cible d'un enrichissement de notre fierté en tant que parlant français est immense et de longue haleine. J'écris bientôt à Monsieur Descôteaux pour développer ce chapitre de la fierté de parler français.

  • Vigile, un outil de première main

    20 février 2013


    Comme l'écrit le vigilien Jean-Pierre Bélisle, un grand merci est offert à Robert Laplante de prendre le flambeau de la vice-présidence des Amis de vigile.

    Dans le contexte du dossier du renforcement du français au Québec et particulièrement dans le grand Montréal, je lis actuellement des écrits du Dr. Camille Laurin. Mon intuition me dit que la problématique du français au Québec n'a pas beaucoup évolué depuis les années 70.

    Le Dr Laurin a prononcé un discours le 2 juillet 1977 à Montréal devant le Canadian Club. Pour le plaisir des vigiliens qui sont attentifs aux dérives du Ministre Jean-François Lisée dans le dossier du français à Montréal, je présente l'extrait suivant qui est l'avant-dernier paragraphe de ce magistral discours.

    « Certains disent: «Le bilinguisme institutionnel est un impératif économique au Québec.» Voilà un autre mythe. Nous l’avons dit dans le Livre Blanc, certaines personnes -- cadres de sociétés, membres des bureaux de direction, administrateurs de l’État -- doivent savoir l’anglais. Mais affirmer que la population tout entière du Québec doive être bilingue pour des raisons économiques, ce serait affirmer du même coup que, pour gagner sa vie dans ce pays, à n’importe quel poste et dans n’importe quel travail, il faille parler l’anglais. Heureusement, nous n’en sommes pas arrivés à ce degré d’esclavage culturel. »

    Monsieur Lisée est-il conscient qu'il pousse la collectivité québécoise dans le sens d'un « esclavage culturel » ? Qui a sonné Monsieur Lisée pour qu'il s'aplatisse ainsi devant la communauté anglophone ?

    Je respecte la communauté anglophone car je peux communiquer avec elle dans sa langue écrite et parlé. Mais, je ne m'aplatirai pas devant des demandes non fondées et dans le cas présent, la remarque du Ministre Lisée envers la STM était-elle une réponse à une demande formelle de la communauté anglophone ? Si le Ministre Lisée est allé au devant des coups comme on dit, il ne possède pas la motivation requise pour être Ministre dans le cabinet de Madame Marois et défendre minimalement les intérêts du Québec.

  • Introduction

    17 février 2013


    ll sera très intéressant de lire votre livre sur Charles Sirois, actuel président du Conseil d'administration de la banque CIBC. Dans un texte magistral de vulgarisation des problèmes mondiaux de l'économie, il faut lire la chronique dans Le Devoir du 14 février 2013 de Gérard Bérubé, titre: "Déni fiscal".

    Je retiens de votre introduction présentée sur vigile ce paragraphe: « Pourtant, tous ces secteurs sont alimentés par les mêmes circuits d’argent où l’on retrouve souvent les mêmes protagonistes, dont les moindres ne sont certainement pas les banques. Or quand on retrouve Charles Sirois à la présidence du conseil d’administration de la CIBC, l’une des plus grandes banques canadiennes, et qu’on sait qu’il s’est déjà prononcé publiquement en faveur de l’utilisation de filiales étrangères dans des paradis fiscaux, une pratique qui demeure légale même si elle est régulièrement dénoncée par les plus hautes instances internationales , on comprend que sa conscience ne s’embarrasse pas de principes et que l’argent prime pour lui avant tout. »

    C'est le recours aux paradis fiscaux qui pose un immense problème à l'économie mondiale en permettant aux gros joueurs de jouer selon d'autres règles que les petits joueurs. C'est l'argent, comprendre les profits, qui prime sur tout. Aucune morale ne s'applique pour ces gros joueurs: la concurrence est déloyale, les abris fiscaux pullulent, les fausses pertes sont accréditées par le fisc donnant droit à un étalement dans le temps pour réduire les profits, les manipulations des états financiers ont libre cours. On pourrait aussi parler des stratégies de la dépréciation des monnaies en concurrence les unes contre les autres, les fausses déclarations de réserves de pétrole par les producteurs pour soutenir artificiellement leur économie nationale qui souvent sont le bien de quelques fortunes archi-milliardaires dans le monde.

    Et pendant ce temps, nos politiciens manipulés par plus futés qu'eux, brandissent les exigences des organismes internationaux comme la Banque mondiale, le FMI et tous les organismes de l'ONU qui orchestrent les rigueurs du crédit aux pays tricheurs. Sacrefaisse: tout le monde presque est tricheur ?!?

    Pour ceux qui n'ont pas eu de valentin le 14 dernier, faites-vous en un en lisant la chronique dans LE DEVOIR à la page B 1 par Gérard Bérubé, intitulée: "Déni fiscal".

    C'est grâce aux nombreux textes éveilleurs et documentés de Richard Le Hir et aux chroniques de Gérard Bérubé et autres intellectuels honnêtes que certains citoyens peuvent comprendre des mécanismes pas si compliqués dans le fond à partir du moment où on utilise la loupe de la fraude. Un sergent-détective disait qu'il serait facile de prendre les voleurs si on pouvait penser comme eux.

    Continuons de nous instruire et de tirer nos conclusions.

  • 15 Février 1839 : La Pendaison

    15 février 2013


    Ce 15 février 2013 marque le 174e anniversaire de la pendaison des Patriotes du Québec au Pied-du-Courant, angle des rues Notre-Dame et De Lorimier à Montréal.

    Il y a quatre ans, Jean-Louis Pérez-Martel nous rappelait cet important fait d'histoire, moment triste et lourd de sens pour le projet du Pays du Québec.

    Je viens de lire le commentaire "béat" d'une personne sur le site de radio-canada qui se sent très libre comme Québécoise dans le Canada et que l'indépendance du Québec mettrait en péril notre confort matériel actuel. Mettre en ballant le "confort matériel" à la "liberté d'un peuple" montre une déficience de conscience et de valeurs. On doit admettre que l'analyse de cette dame est représentative d'une tendance lourde de nature "sauve qui peut".

    Je rends hommage à Jean-Louis Pérez-Martel de nous avoir rappelé sur le site de vigile.net le 16 février 2009, il y a quatre ans, le souvenir précieux de nos patriotes de la révolte de 1837 et 1838, et plus particulièrement le souvenir des douze pendus au Pied-du-Courant de février 1839.

    Monsieur Pérez-Martel a établi un parallèle entre le Québec et l'Andalousie et apporté un supplément de réflexion avec la citation suivante: « J’ai vu rendre cette terre aux aventuriers de la politique, aux arrivistes qui font d’elle le socle de sa crétine vanité et le support de son intérêt mesquin. Ceux qui font de la politique une profession exclusive et excluante (comme une propriété) ont l’habitude de parler des conflits entre des idées et des réalités. La différence entre eux et nous est celle-ci : pour eux, les réalités d’un pays sont les intérêts créés ; pour nous, les réalités d’un pays sont les souffrances créées par ces intérêts. »* Blas Infante Pérez ( Père de la Patrie andalouse, assassiné par les fascistes espagnols en 1936 ). » Jean-Louis Pérez

    « Vive le Québec libre de caciques, de tricheurs de la politique, de traîtres et de pilleurs des ressources fiscales et naturelles. » J.-L. Pérez-Martel

    Cette finale parlant des pilleurs des ressources fiscales et naturelles doit nous inciter à ouvrir l'oeil et dénoncer tout pillage de la richesse collective du Québec en commençant par notre comportement honnête et exemplaire. Le Québec est un pays riche et il serait facile de payer nos dettes collectives en arrêtant tout gaspillage et tout pillage.

    Que vive la mémoire de nos patriotes du Québec des luttes de 1837 et 1838. Encore en 2013 au Québec, plusieurs luttes doivent se faire pour le plus grand bien commun, contre les souffrances créées par les intérêts des pilleurs de nos ressources fiscales et naturelles.

  • Français : Mener les bons combats

    6 février 2013


    @ Francis Déry

    Merci pour votre témoignage d'ex-torontois. Personne aime être traité de fou, ni à cause du français, ni à cause de l'anglais, ni a Toronto, ni à Montréal.

    Compte tenu du bilinguisme "personnel" des québécois, surtout à Montréal, je crois qu'il est presque garanti et évident qu'un unilingue anglais peut se faire servir en anglais assez rapidement. Si cela est déficient actuellement, je ferais une campagne pour valoriser le bilinguisme personnel, sans faire appel au bilinguisme "institutionnel".

    Dans le cas de la sortie de Jean-François LISÉE, cet homme ne semble pas réaliser qu'il n'est plus journaliste ou libre-penseur. Il est ministre du Gouvernement du Québec et il doit assimiler des données telles que PEUPLE DU QUÉBEC, SOCIÉTÉ DU QUÉBEC. C'est surtout la notion au Québec, et particulièrement à Montréal, la notion de "français langue vivante", et "français, langue normale de communication dans la sphère publique".

    J'ajoute un thème que je développerais auprès des immigrants installés au Québec: que les immigrants se fassent un devoir et un honneur de toujours parler français entre eux dès qu'ils sortent de leur maison. Est-ce une proposition révolutionnaire car je ne l'ai jamais vu à ce jour au Québec. Il est peut-être temps d'y arriver. Qu'en pensez-vous Monsieur le ministre Lisée ?

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  • Vigile
  • La Presse canadienne
  • Le Droit
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  • http://lesaffaires.com
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  • Le Québécois www.lequebecois.org/

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