Attention! Les banques vont voler votre argent!
19 mars 2017
Monsieur Nantel, qu'un mot: MAGISTRAL!
Par Delisle, Norman
Jean-François Caron
Normand Rousseau
Bernard Amyot, Avocat, Montréal
Par Peter C. Newman
Par Aurore Lehmann
Jean-François Caron, Doctorant en science politique à l'Université Laval
Option Canada
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Congédiement de François Parenteau
19 mars 2017
Monsieur Nantel, qu'un mot: MAGISTRAL!
19 mars 2017
QS opposition officielle, si la vague orange qui déferla pour le NPD au fédéral se répète au Québec, il pourrait se produire cela. Un scénario avec écroulement du PQ qui favorisera la CAQ et QS avec la CAQ au pouvoir, QS opposition officielle, PLQ deuxième groupe d'opposition repliée sur Montréal et Laval, le PQ avec 5-6 comtés comme la défaite du Bloc lors de la vague orange et Rambo Gauthier élu dans son comté.
Un électrochoc pour un PQ qui devra se réinventer et s'allier à d'autres pour revenir en force en 2022. C'est un scénario extrême mais possible si les citoyens sont tannés du Parti Libéral et refusent de mettre le PQ au pouvoir en 2018.
18 mars 2017
Un de vos meilleures vidéos et articles à ce jour ! Super instructif et merci pour les conseils pour sécuriser les avoirs de la classe moyenne et la classe pauvre. Les Caisses Desjardins et nos institutions nationales comme la Caisse de dépôt, le RRQ, le Fond de solidarité FTQ, Fondaction CSN et le micro-crédit sont des alternatives et des instruments financiers pour éviter le recours aux banques et à la bourse.
Les placements non financiers dans les terres, entreprises privés, métaux précieux, arts, timbres, outils et équipements pour travailler et générer du revenu sont tous intéressants pour limiter sa dépendance au système bancaire actuel.
18 mars 2017
Me Néron, je saisis la portée de vos précisions, qui avancent qu’il n’appartient pas au parlement fédéral de décider arbitrairement les règles à suivre pour mettre un terme au pacte de 1867. J’en conviens, d’autant plus que la loi de clarification, qui existe, fait écho à des critères imprécis, qui la rendent contestable, ce qui peut compliquer une démarche qui serait celle de 1995..
Pour cette raison, à la suite de votre suggestion d’une élection comme celle de 1962, j’ai signalé quelques ajouts pour rendre cette loi obsolète si ce processus plébiscitaire est activé. Des ajouts qui m’apparaissent aussi pertinents dans le cas d’un référendum après entente avec le Canada, ce qui pourrait être précisé dans l’entente, ou d’un référendum contraignant selon l’approche catalane. Pour l’essentiel, ces ajouts consistent à être transparent sur les suites, notamment celle d’instituer l’autorité exclusive des peuples qui procèdent selon ces voies, que j’estime différente de celle de 1995.
Je n’ai pas lu dans vos précisions un rejet de ces ajouts. J’y ai lu seulement qu’ « en toute légitimité, ce sont les règles internationales qui prévalaient à l’époque de la conclusion du pacte qui doivent prévaloir ». Trois points demeurent à préciser.
* * *
1. En 1867, vous avancez que le pouvoir passait par le peuple selon des auteurs, un pouvoir, toutefois, que s’étaient appropriées les royautés. Je ne conteste pas le pouvoir du peuple. Le problème, à l’époque, est plutôt son application. Dans mon texte, je signale qu’il n’y avait pas d’institutions internationales pour l’appliquer et, conséquemment, son application devenait un choix facultatif d’États souverains monarchistes.
De fait, sur la scène internationale, seules des règles entre États souverains, monarchistes pour la majorité, étaient partagées en concordance avec les Traités de Westphalie (1648) paraphés par ces États. Après la Première Guerre mondiale, la Société des Nations fut instituée et statua dans certains cas litigieux de souveraineté. Mais c’est surtout après la Deuxième Guerre mondiale que les Nations Unies, alors créées ont développé des règles concernant la sécession et la succession des pouvoirs.
2. C’est cette différence que j’ai soulignée en conclusion de mon commentaire, ce qui m’a incité à signaler l’importance des règles démocratiques reconnues dans les pays occidentaux. Si ces règles étaient présentes chez des penseurs et dans des textes lors de la promulgation de l’Acte de l’Amérique du Nord, elles n’avaient pas alors le statut et la portée qu’elles ont maintenant, qui est un statut politique plutôt que découlant d’une approche juridique.
Par contre, lors du référendum de 1995, qui ne portait pas sur l’indépendance, mais sur une révision de l’Acte de l’Amérique du Nord Britannique pouvant conduire à une déclaration d’indépendance, il était dans l’ordre des choses de présumer que le Canada se plierait à ces règles d’autant plus que, pour Jacques Parizeau, négocier cette révision impliquait au préalable, une déclaration unilatérale d’indépendance.
3. Il n’y a pas eu de déclaration et de négociation. Par contre, le Canada, après le Renvoi de la cour suprême et des analyses, adopta la loi de clarification qui lui donna un ascendant sur une reprise du processus de 1995. Un ascendant au demeurant qui s’inspira, ce que j’ai mis en relief, de la façon dont le Conseil privé de Londres procéda quand la Nouvelle-Écosse voulut se retirer de l’entente de 1864. L’argument de base fut la « responsabilité ministérielle », en force dans cette province depuis 1847, rendant impossible son retrait à moins de l’aval des autres parties à l’entente.
Si, en 1867, lors des élections provinciales dans la Province de Québec, le résultat fut l’arrivée au pouvoir du Parti rouge opposé à cette entente, la règle de la « responsabilité ministérielle » intégrée en 1848 au Canada-Uni, qui servit de base à la décision à laquelle fut ajoutée un décompte des élus des deux «races » dans la section-est, se serait appliquée et le retrait du Québec y eut été soumis.
* * *
En l’absence de la loi de clarification, la démarche de Jacques Parizeau, compte tenu du rejet canadien du projet d’entente, aurait débouché sur une négociation de sortie du Canada, dont les points les plus importants étaient le résultat populaire et la déclaration unilatérale. Jacques Parizeau avait très bien préparé les suites en transformant le référendum de 1995 portant sur une révision du Canada en une négociation entre le Canada et le Québec qui, pour s’y présenter, eut fait connaître au peuple québécois et au monde entier, qu’il se déclare un État indépendant du Canada.
La question qui se pose alors est la suivante : une telle déclaration était-elle possible à l’intérieur du Canada-Uni ou à l’intérieur du Bas-Canada ? Dans les deux cas, c’eut été un acte de trahison selon les constitutions de 1791 et de 1840. Aussi celle de 1774. Réalisée au sein du Canada de 1867, c’eut été du même ordre. Par contre, depuis la création des Nations Unies en 1945, une telle déclaration pouvait être considérée autrement, ce que signale le Renvoi.
Ces rappels faits, je reviens aux trois voies que j’ai signalées, toutes étant différentes de celle de 1995 dans la mesure où elles accordent un mandat au gouvernement du Québec de réaliser l’indépendance si tel est l’objet du plébiscite, d’un référendum contraignant ou d’un référendum après entente sur le processus, sa supervision et ses suites dans l’éventualité où, pour chaque voie, les résultats donnent une majorité.
Avec ces voies, la déclaration unilatérale n’en est pas une pour négocier une révision du Canada qui octroierait des pouvoirs au gouvernement du Québec différents de ceux des autres provinces, mais bel et bien un statut d’État indépendant du Canada, qui impliquerait à la fois une sécession du Canada et une succession des pouvoirs, les deux conformément aux règles internationales partagées par les Nations Unies.
En cela, ces voies, parce qu’il s’agit d’indépendance, vont au-delà d’un aval ou d’un désaccord du peuple québécois de 1867, car elles impliquent que le peuple québécois entend instituer son autorité politique exclusive sur le territoire qui est le sien.
* * *
Sous cet angle, mes compléments invitent à sortir du cadre canadien de 1867, de 1931 et de 1982 sur la base du pouvoir du peuple qui mandate les députés élus à procéder. Dans les trois cas, procéder implique de créer l’État indépendant du Québec et de mettre en branle des actions en conséquence à l’interne, à l’égard du Canada et sur la scène internationale.
Dit autrement, ces voies ne visent pas à négocier une révision du Canada mais à créer l’État du Québec, ce qui va au-delà de l’expression démocratique du peuple québécois de 1867 qui concernait un accord ou non à un projet de fusion des colonies britanniques de l’époque pour instituer une structure coloniale à deux paliers sur un modèle différent de celui déployé aux États-Unis.
Revenir aux règles que vous estimez existantes en 1867, mais bafouées par la Grande-Bretagne et les promoteurs de la section-ouest du Canada-Uni du projet de confédération, consisterait à chercher une nouvelle formule pour créer l’Acte de l’Amérique du Nord Britannique et, à défaut d’entente, de revenir aux formules antérieures. Dans cette perspective, la cible ne serait pas l’indépendance du Québec mais un mieux-être au sein du Canada. À tout dire, cette avenue m’apparaît en contradiction avec la création du pays du Québec.
18 mars 2017
Article intéressant et pertinant dans le débat souverainiste contre globaliste :
http://impertinence.over-blog.com/2016/03/souverainistes-et-mondialistes-le-nouveau-clivage-politique-francais.html
Lisée ne semble pas de son côté comprendre cela mais il est peut-être au service du globalisme sous le couvert d'une souveraineté dans une union à l'européenne.
Je pense que le camp souverainiste souffre d'une profonde division entre le courant bleu conservateur (nation, patrie, indépendance, intégration des immigrants à la nation, patrimoine historique et culturel) versus le courant rouge libéral (pro-mondialisation, dilution de la pleine souveraineté, multiculturaliste, libre-échange, idéologie politiquement correcte et censure de la libre pensée.
Le PQ est né d'une aile libérale rebelle parce que souverainiste-associationniste dirigé par René Lévesque et que les idées furent rejetés par le PLQ de l'époque mais ce courant était libéral et s'est associé avec le RIN et le RN qui était vraiment indépendantiste et n'était pas libéral mais composé de sociaux-démocrate et de conservateurs.
La gauche nationaliste et des travailleurs cherche un mouvement pour canaliser son idéologie alors qu'elle n'a plus tellement sa place ni au PQ ni à Québec Solidaire. Le Bloc, Le Parti indépendantiste et le nouveau parti de Rambo Gauthier pourraient aller chercher les votes de ce courant de pensée.
18 mars 2017
Si vraiment la liberté d'expression est respectée sur Vigile, je mets au défi Richard Le Hir de ne pas censurer mon commentaire et le publier, même s'il va totalement à l'encontre de l'attitude de Vigile avec Jean-François Lisée et le Parti Québécois :
Je suis pro Le Pen, Trump, Poutine, Lisée et Hivon (ma politicienne préférée dans le monde). Penses-tu deux secondes que je m'arrête à ce niaisage-là ? Bein non. Je ferais probablement la même chose que Lisée à sa place pour ne pas être stigmatisé avec son parti, puis, en étant écœuré bein raide de me faire blaster par des purs et durs que je ne suis jamais assez pour eux, ce serait mon genre de leur montrer la porte ! Alors, je le comprends à 100 % ! Je sais ce que je veux et c'est avec le PQ que je vais l'avoir et je crois beaucoup en l'équipe actuelle du PQ. À 54 ans, j'ai acquis suffisamment de sagesse, de maturité et de discernement pour ne pas m'arrêter à ce genre de niaisage qui nous divisent et fait élire la Mafia libérale, qui elle se gave de ce niaisage, pour nous convaincre de nos petits scénarios qui nous font sentir en vie, de nos petites valeurs (qui en deviennent narcissiques) et nos idéologies qui deviennent tellement grandes que pour les défendre, je me fais hara-kiri ! C'est ça qui se passe et c'est ça la vérité !
Gilles Dionne
17 mars 2017
Me Néron,
Dans votre commentaire au prof. Claude Bariteau, qui paraît couramment dans Vigile, vous écrivez à la fin :
«Il n’appartient pas aujourd’hui au parlement fédéral, dominé
par les descendants des vainqueurs, de décider arbitraire-
ment les règles qui qui devraient être suivies pour mettre un
terme à ce pacte qui a été si souvent violé.
En toute légitimité, ce sont les règles internationales qui pré-
valaient à l’époque de la conclusion du pacte qui doivent pré-
valoir.» (C'est moi qui souligne)
Dans votre présente chronique, vous y allez vers la fin avec ces lignes que je trouve fortes mais qui me laissent néanmoins sur ma faim, qui gagneraient à être explicitées.
«...pendant un siècle et demi, les Canadiens français ont eu amplement le temps de se ressaisir et de modifier leur conduite, mais ils n’ont jamais pris les moyens pour exiger la reconnaissance de la légitimité qui leur revenait en tant que peuple fondateur du Canada. On peut bien faire des reproches à ceux qui ne cherchent qu’à dominer, mais on pourrait en faire tout autant à ceux qui se montrent trop empressés à sacrifier tout ce que le droit, la tradition et l’histoire leur ont légué.» (Mon soulignement)
L'intérêt de ce que vous écrivez je le vois principalement dans la possibilité de fonder bien différemment le discours politique en faveur de l'indépendance, en refusant, par exemple, de sacrifier ce que l«e droit, la tradition et l'histoire» nous a légués.
Au risque de simplifier, je vois dans l'approche de votre collègue Bariteau une approche qui prend pour point de départ que la constitution de 1867, même injuste, a été adoptée dans les règles, et que pour en sortir, il faut recourir à certaines règles qui, je saute les nuances, nous obligent à nous entendre avec le Canada, selon le Renvoi à la Cour suprême et la loi de la Clarté. Cette approche conduit d'une façon ou de l'autre à un référendum qui ne pourrait pas se tenir sans que le Canada y pèse de son influence, l'encadre ou l'entérine minimalement. Le processus devrait aussi se conformer à une instance qui dirait le droit international en la matière, compte tenu de ce que l'on peut tirer du droit international, dépendant de qui le dit. Un concept valise jusqu'à un certain point puisqu'on y trouve de tout, la Crimée comme le Kosovo.
De votre coté, votre approche est différente en ce qu'elle ne reconnaît pas la légitimité de la Constitution de 1867 (et des Constitutions antérieures, si l'on veut les inclure). Vous appuyant sur le Common Law (et vous ajoutez le «droit des gens» et «le droit naturel» dans votre commentaire à Bariteau), votre argument serait que la Constitution canadienne est un fraude. Voire quasiment un complot, pour mettre en application le Rapport Durham (nous dégriffer et nous édenter), tout en la présentant comme un pacte qui reconnaissait les droits des vainqueurs et des vaincus, devant les audiences de Canadiens-français qu'il fallait convaincre. Il s'agirait donc d'un contrat visant à duper les vaincus par la duplicité. N'est-ce-pas ?
Votre approche est nouvelle en ce qu'elle donne une place prépondérante à l'esprit du Common Law et renvoie aussi à d'autres «droits» plus traditionnels de l'époque (?).
Selon votre approche, le discours politique en faveur de l'indépendance devrait reprendre d'une certaine façon l'approche audacieuse de Brown en réclamant, cette fois, la justice pour LE peuple fondateur du Canada. Autrement dit, au lieu de convaincre nos compatriotes de la désidérabilité de l'indépendance, faire de bon droit et sans passion le procès des injustices commises à notre égard par le Canada. La stratégie pourrait leur demander de réparer les torts causés, à eux de proposer, ce qui pourrait conduire à terme de nous concéder la pleine liberté politique. Autrement dit, cessons de nous plaindre, la balle est dans leur camp.
J'apprécierais vos commentaires à cet égard.
GV
17 mars 2017
Voilà qui remet les pendules à l'heure. A force de torturer les sens des mots, on finit par ne plus trop savoir ce qu'on dit au juste. Encore cette semaine, le Téléjournal nous parlait de "populisme" à tout venant, dès lors qu'on évoquait une personnalité "menaçante".
J'apprécie au plus haut point, par ailleurs, la seconde partie du texte, qui nous situe quant au débat sur l'accueil des immigrants au Québec. Mais non, nous ne sommes pas xénophobes. Mais nous avons quand même une identité !
16 mars 2017
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La piasse consiste en des "0" et des "1" dans les ordinateurs des banquiers, qui se tranfère des ''montants'' d'une à l"autre:
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_ Money Laundering Through CHIPS and SWIFT
by J. Orlin Grabbe
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Despite the recent hype given to electronic banking and electronic cash, most of the monetary system in the U.S. has been electronic since 1970. That's when the New York Clearing House began operation of the CHIPS system.
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[...]
_ If Bank of Montreal in Canada sells deutschemarks to Hong Kong Shanghai in London for dollars, Bank of Montreal will turn over to Hong Kong Shanghai a deutschemark deposit at some bank in Germany, while Hong Kong Shanghai will turn over to Bank of Montreal a dollar deposit at a bank in New York. The confirmation of the trade details, and payment instructions to the banks in Germany and New York, will be sent out over the SWIFT messaging system.
Meanwhile, Bank of Montreal will have a bank account in Germany in which it holds deutschemarks, while Hong Kong Shanghai will have an account in New York at which it holds dollars. These foreign bank accounts may be held at foreign branches of the same bank, or in an account with a "correspondent" bank. The accounts that banks hold with each other for settling international payments are variously called correspondent accounts, nostro accounts, or "due from accounts". These are equivalent to current accounts (checking accounts) .
For example, Bank Danamon in Jakarta, Indonesia, holds--as nostro accounts--account number 36061913 at Citibank, New York, account number 93- 097-0046-2 at HongKong Chinese Bank in Hong Kong, and account number 95-042-05-B at Union Bank of Switzerland in Zurich. Through these accounts payments may be made or received in, respectively, U.S. dollars, Hong Kong dollars, or Swiss francs. International payment instructions will be sent to the banks involved via SWIFT. Payments made or received at the Citibank account will be cleared through the CHIPS system.
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https://www.memresearch.org/grabbe/mlchips.htm
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De ces ''montants'' circulants électroniques sont imprimés plus on moins de dollars, que l'on veut éliminer pour en venir à une monnaie entièrement électronique, et dont en une population mondiale entièrement contrôlable.
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_ Économie 101: La piasse est créée à partir de rien. i.e. OUT OF THIN AIR:
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_ ''Money CREATED OUT OF THIN AIR.'':
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_ Dennis Kucinich: Federal Reserve No More "Federal" Than Federal Express.
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_ https://www.youtube.com/watch?v=1pVV4n2lKHk
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_ Les banques CRÉÉNT les bulles et les crèvent pour faire descendre et monter la valeur des parts. ELLES CRÉENT ces BULLES DE TOUTES PIÈCES. (C.f. William Engdhal).
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_ Les TROIS principaux supports de la narco-pétropiasse (argent électronique, c.f. ORLIN GRABBE) sont le blanchiment d'argent des cartels de drogue, le pétrole, et la vente d'armes:
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_ ARMES (NATO): $26 Milliards pour le mois de Mars:
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_ Newsbud Exclusive Report- A Distillation DOD Spending Spree for February 2017
March 13, 2017 / Christian Sorensen
DOD Spent $26,544,044,000+ on 169 Individual Contracts in February 2017 The Pentagon issues a jumbled list of contracts every business day around 5:00PM local time.
https://www.newsbud.com/
16 mars 2017
Désolé d'interrompre vos savantes réflexions pour un bulletin pas vraiment spécial.
Ce soir à 24/60 Radio-Canada, sur le panel Anne-Marie Dussault s'entretient avec Josée Legault et Alain Dubuc.
Alain Dubuc de Gesca La Presse, fidèle à son habitude partisane libérale s'est comporté de façon abjecte en prenant la défense des ministres Lessard et Coiteux balayant toutes les critiques et les nombreuses dénonciations amplement méritées de la population qui exigent la démission des deux paisibles ministres trop occupés au restaurant ou autre pendant qu'il y avait péril à la demeure.
Aux dernières nouvelles, le sous-contractant déneigeur de l'autoroute 13 est un donateur à la caisse libérale.
16 mars 2017
Merci monsieur Lachance pour cette générosité. Vos tableaux sont fort utiles pour l'analyse de la situation, en particulier celui sur le taux de natalité au Québec.
Monsieur Carmichael, c'est la voix citoyenne qui doit se faire entendre, les politiciens ont perdu notre confiance.
16 mars 2017
« Pascal Lamy : «Je suis inquiet car l’euro pourrait ne pas résister !!» »
Charles Sannat 16 mars 2017
Mes chères impertinentes, mes chers impertinents,
Lamy est un ex-grand mamamouchi du libre-échangisme et vous avez la vidéo de sa dernière intervention tout en bas de cet article.
Pascal Lamy est l’ancien directeur général de l’OMC, l’Organisation mondiale du commerce. À la base, c’était un socialiste bon teint, ayant traîné ses guêtres de gauche dans les sillages de la « mittérandie ».
Comme tous les mondialistes et les globalistes, le rejet de cette mondialisation par les peuples les inquiète au plus haut point.
Pour eux, on est parti pour des années de chaos et de conflits, avec une augmentation du terrorisme, des problèmes immenses en Afrique, de gros problèmes de territoires, etc.
Si vous osez exprimer ne serait-ce qu’une seule idée un peu gaullienne sur la France, son indépendance, si vous osez avoir une vision pour votre nation, vous êtes immédiatement qualifié de fasciste, de nazi et d’extrémiste.
Il faut faire peur. Il faut faire peur car si l’on ne fait pas assez peur, alors les gens, les citoyens, parfaitement uni dans leur diversité, voteront contre cette mondialisation absurde, contre cet euro qui nous fait tous mourir à petit feu et contre cette Europe des multinationales que nous avions d’ailleurs rejetée lors du référendum.
Tremblez donc si vous ne votez pas comme il se doit, c’est-à-dire contre vos intérêts propres.
Et disons-le, notre intérêt est de faire travailler les gens d’ici, pas d’enrichir les Chinois de Chine aussi sympathiques soient-ils !
Et il cite Antonio Gramsci
« Le vieux monde se meurt, le nouveau monde tarde à apparaître et dans ce clair-obscur surgissent les monstres… »
Pour Lamy, la mondialisation a permis de sortir 700 millions de personnes de la pauvreté… c’est vrai !
Sauf que cette diminution de la pauvreté là-bas s’est accompagnée d’une augmentation de la pauvreté ici.
En clair, nous avons vécu le plus grand transfert de richesses de l’histoire du monde… Et de ce transfert de richesse, vous avez été les victimes.
Pourquoi pas « donner », mais donner et prendre sont deux concepts légèrement différents !
Lamy aligne les « poncifs » sur « la mondialisation c’est bieeeen »…
La mondialisation sans contre-pouvoir n’est pas bonne.
Ce qui s’installe c’est le totalitarisme marchand et la dilution de toutes les nations dans un maelström mondialiste et un « gloubi-boulga » mondialiste.
Nous en avons, une fois de plus la preuve, avec une mauvaise foi économique sans limite, mais pour la première fois depuis 40 ans, la peur a changé de camp.
Les mondialistes tremblent, et c’est une bonne nouvelle.
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu. Préparez-vous !
https://www.insolentiae.com/pascal-lamy-je-suis-inquiet-car-leuro-pourrait-ne-pas-resister-ledito-de-charles-sannat/
Personne ne suit Archives de Vigile. Soyez le premier!