Deux poids, deux mesures
24 janvier 2007
D'accord à 100%.
Mais qui pourrait ne pas l'être?
Par Delisle, Norman
Jean-François Caron
Normand Rousseau
Bernard Amyot, Avocat, Montréal
Par Peter C. Newman
Par Aurore Lehmann
Jean-François Caron, Doctorant en science politique à l'Université Laval
Option Canada
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Congédiement de François Parenteau
24 janvier 2007
D'accord à 100%.
Mais qui pourrait ne pas l'être?
24 janvier 2007
Et pis, avec des j'aurais donc dû, on va nulle part....
Thaïs Potvin
23 janvier 2007
Malheureusement, les journaux de Gesca se transmettent plus par le canal du Web. Alors cela devient moins éclairant et on oublie l'exercice de serrer le torchon en un rouleau et de descendre dans la cave.
Je n'oserais pas piétiner mon portable parce que j'y aurais lu du Pratte.
Il n'est qu'une interface protocolaire pour nous passer les messages que l'empire Power veut bien nous passer.
Si vous le détestez, ne consultez point cyberpresse, ni achetez leur torchon, cela permettrais de déprécier leur valeur publicitaire.
Lisez-les plutôt sur Vigile.net.
Et, surtout, déconstruisez les arguments prattiens pour les critiquer point par point et rapportez-nous votre synthèse de critique sur la tribune de Vigile.
21 janvier 2007
M Perry.
Mario Dumont compte t'il déclarer unilatéralement l'autonomie du Québec au sein d'un canada uni advenant l'échec d'un amendement de la constitution canadian?
L'autonomisme n'a rien d'une troisième voie, j'espère que vous le soulignerez en gras à votre prochaine chronique.
21 janvier 2007
Il y a d'autres confédérations ou la citoyenneté _légale_, pas seulement symbolique, est du ressort des États confédérés et non du fédéral. La Suisse est un très bon exemple. Qui immigre dans la République du Canton de Genève devient Suisse seulement en étant naturalisé citoyen du Canton de Genève par el gouvernement de cette République.
On peut dire que l'intégration de l'immigration est un enjeu encore plus grand au Québec, étant donné sa situation, qu'à Genève.
Pourquoi ne pas instituer une citoyenneté légale ? C'est ce qu'il faut pour que la mesure soit sérieuse et porte à conséquence : plus personne ne pourrait se tromper d'adresse en immigrant au Québec !
20 janvier 2007
Les prises de positions de la Gesca lors du dernier référendum ont contribué à ma décision de ne plus acheter leurs journaux et ce depuis 1995. Il est évident que cette entreprise a toujours défendu les intérêts du Canada au détriment des intérêts supérieurs des Québécois. Donc il n'est ps question pour moi d'acheter ces journaux. Je me renseigne en lisant d'autres journaux québécois et européens. Point à la ligne.
Pour ce qui est de la src, assujettie à la cbc, (même président anglophone)et avec l'aide de mes taxes, est devenue l'organe officiel de la propagande fédéraliste canadian je regarde ou écoute le moins possible ses émissions car je sais qu'en fin de ligne, elle défendra toujours l'unité canadian. Dans leurs émissions d'affaires publiques et/ou électorales où la propagande prend le dessus,je change de poste ou de station. Je me renseigne à d'autres postes de radio ou de tv (québécois ou européens). Cette société n'a pour moi aucune crédibilité.
Fernand Lachaine
20 janvier 2007
NE TOUCHEZ PAS À PRATTE, IL M'EST UTILE ET INDISPENSABLE!
Je n’ai jamais été membre d’un gymnase ni d’une salle de conditionnement physique. Je compte sur quelque chose de plus facile, de plus accessible : Je lis la section éditoriale de LaPresse!
Quoi de mieux que les première lignes d’un Prat’Z ou d’un Dubuc pour faire monter mon rythme cardiaque, faire travailler mes muscles dès mon réveil en les crispant d’une saine colère. Je peux même prendre mon café et fumer une cigarette en même temps… Je commence par le titre : J’ai la mâchoire qui se serre; les veines de mon cou deviennent saillantes, ce qui est un signe que mes trapèzes se gonflent comme pour expédier la table par la fenêtre. ( C’est aussi un bon exercice de contrôle de soi : je réprime cette force qui se déchaîne, je respire lentement et je redeviens ZEN.)
Puis c’est au tour de mes poings de se refermer. J’attaque le corps du texte ( Tiens, je suis dû pour me couper les ongles, ils s’incarnent dans mes paumes…) ( C’est comme du Ti-Boxing, je frappe dans le vide au rythme primitif des idioties et des sophismes préfabriqués.)
Une fois ma lecture terminée, je constate que la hausse évidente de ma température corporelle n’a pas fait augmenter celle de la maison. C’est au tour de mes jambes de travailler. Je roule donc le torchon le plus compact possible ( ce qui achève de faire travailler mes avants bras par un mouvement de torsion qui me donne l’impression de tordre des cous sans colonne vertébrale.) puis je descends à la cave, au trot. ( 16 marches aller-retour, ça commence bien une journée). J’ouvre la porte de mon vieux poêle à bois, forgé par les ancêtres au siècle dernier, j’y introduit la bûche compacte et j’y mets le feu. Une lumière voluptueuse illumine à présent la pièce obscure : je dois admettre, non sans rougir, que je trouve à présent ces âneries Gescatiennes très éclairantes et que des points de vue différents, même malhonnêtes, nous permettent parfois de trouver la lumière…
C’est pourquoi je proteste contre un éventuel boycott de GESCA : je paraphraserai ce vieux proverbe chinois pour mieux vous faire comprendre : « Qui lit LaPresse se réchauffe deux fois… » mais sans effort… Tiens un nouveau slogan pour rejoindre une clientèle de grosses femmes obèses et lucides : « Gardez la forme : Lisez LaPresse » ou encore : « La Presse, le plus aérobique des quotidiens épais d’Amérique. » J’espère que DesMarais va me donner un pourcentage de ses ventes s’il choisit mes slogans…
Frédéric Labrie
19 janvier 2007
« Un peuple cesse d'exister en tant que tel quand on l'ampute de son passé. Tout le drame de la colonisation peut être intercepté à la lumière de cette évidence anthropologique. «En nous réchauffant au double rayonnement de notre passé et des choses présentes qui constituent une image transposée, écrit Simone Weil, nous pouvons trouver la force de nous préparer un avenir. Il y va du destin de l'espèce humaine. La perte du passé, c'est la chute dans la servitude coloniale.»»
Jean-Claude Guillebaud, La force de conviction, Seuil, 2005.
Dommage que l'on ai pas de tels penseurs parmis nos dirigeants.
19 janvier 2007
La moitié du lectorat de Gesca est souverainiste. Il faudrait être conséquent et arrêté de nourrir cette machine à propagande fédéraliste à même des fonds souverainistes. Le pouvoir et l information ne font qu un: L infofédéralisme. À nous de réaliser que Gesca est un acteur politique et un adversaire acharné de la cause et d agir en conséquence. Nous avons le "devoir" de ne pas acheter La Presse. Consacré plutot cet arcgent à vous payer l internet, un levier puissant à mettre au service de notre cause (Me Pierre Cloutier).
17 janvier 2007
Merci de m'avoir répondu ! Je suis rassuré quant à vos intentions. Je pense que tous les souverainistes humanistes doivent réussir malgré leurs divergences à rester unis. On a le même idéal et je pense que c'est cela le plus important !
A bientôt Pierre Durand
17 janvier 2007
Oui, en effet, vous avez raison : le programme a été complètement balayé, enterré, renié, répudié!!! Aucun autre mot ne peut décrire le comportement de Boisclair. De toute façon, si Pratte le dit!!!!
J’espère qu’on sent le sarcasme ici…
Je vous rappelle ses paroles exactes : « Au-delà de l’analyse fine du texte, il y a des réalités politiques. Et moi, je suis un fiduciaire, comme chef de parti, de l’atteinte de ses objectifs. Les grands objectifs l’emporteront sur l’analyse fine. »
Quel est l’objectif du chapitre 1? Réaliser la souveraineté politique du Québec.
Tant que Boisclair garde cet objectif, on peut difficilement parler de « destruction d’itinéraire ». Et c’est tout ce que je lui demande : faire en sorte que le PQ réalise la souveraineté du Québec.
Jacques Parizeau, avec sa candeur habituelle, avait eu ce cri du cœur : le programme est plein de conneries. Bien sûr, M. Parizeau n’est plus un élu et son avis ne peut être opposé aux décisions des militants. Mais je vois dans ce geste de Boisclair une manœuvre justement pour tenter d’éviter le coin et la peinture. Si effectivement le nouveau programme contient des conneries (ce qui semble confirmé par Parizeau en qui j’ai très confiance), le rôle du chef est de nous éviter ces écueils et je lui en sais gré.
Je lui sais gré également de ne pas étaler sa stratégie au grand jour plus que nécessaire.
Bref, je trouve votre argumentaire de mauvaise foi et ce, doublement. De un, vous exagérez grandement la portée des paroles de Boisclair (prioriser les grands objectifs = balayer du revers de la main). De deux, vous vous servez des arguments de nos adversaires naturels pour appuyer vos dires.
Depuis quand Pratte et Pelletier sont-ils de bonne foi quand ils parlent de notre projet et nos chefs? Vigile et ses chroniqueurs démolissent ces deux individus et leurs arguments systématiquement SAUF quand ces derniers parlent de Boisclair. Tout à coup, ils deviennent pertinents. Vous m’excuserez de voir dans ce comportement les pleurs du bébé gâté que vous m’attribuiez plus tôt.
Le problème n’est pas de critiquer Boisclair. Le droit à la critique est un des fondements de la démocratie. Le problème est que nous jouons le jeu de nos adversaires en nous divisant constamment.
Alain Rivet
Québec
16 janvier 2007
Racisme la suite….
Concernant les ‘accommodements raisonnables’, après une longue liste d’articles de journaux, de reportages télévisés, d’opinions négatives dans les différentes tribunes, s’ajoutent des opinions de mêmes acabits de certains politiciens et de cette fameuse enquête sur le racisme au Québec les fruits de ces démarches n’ont pas tardées à se manifester. Une école musulmane vient d’être vandalisée à dans l’arrondissement St-Laurent !
Devant ce crime haineux, on aurait pensé que Radio-Canada retire de l’antenne un autre reportage, cette fois-ci sur la communauté stique. Mais il n’en est rien. Ce sont pourtant des professionnels de la communication, plus que quiconque ces gens connaissent l’influence des médias face à l’opinion public ! C’est à se demander si nos médias mettent intentionnellement de l’huile sur le feu !
On comprend aussi pourquoi l’Opus Dei s’infiltre dans nos médias. Le public est si facilement maniable. Le zèle des médias est étonnants et contrastes avec l’attention donné envers les scandales passées et présent de l’Église qui sont 100 fois plus graves qui n’ont pourtant aucunes communes mesures avec ‘l’accommodement raisonnable’. Pour l’instant il est nécessaire de laisser les choses se calmer, on pourrait y revenir plus tard…
En Janvier 2007 on apprend que l’hôpital catholique de Humboldt en Saskatchewan a refusé a une femme la ligature des trompes jugé contraire à la morale catholique après qu’un prêtre eut illégalement accès aux dossiers médicaux qui sont sensés être confidentiel. Cette tentative d’imposer le catholicisme viole la démocratie. Combien ya t-il eut de reportages sur ce sujet au Québec?
Personne ne suit Archives de Vigile. Soyez le premier!