Un monument au fascisme
22 octobre 2010
L’histoire se répète. Nonobstant la croyance populaire, sous le joug du Féministan, les arrestations arbitraires, effectuées sans mandat et sans motif apparent sont le lot quotidien des pères de famille persécutés par tout l'attirail juridique de l'État dès qu'une conjointe en manifeste le désir. Il lui suffit de composer le 911 pour que la machine s'emballe et rien ne pourra plus l'enrayer dans sa course folle. Et les juges fripons de la cour du Québec participent à la poursuite du délire institutionnel en refusant de mettre un terme à ces parodies de justice où les preuves reposent sur de simples paroles jamais vérifiées et les accusés traités en personne coupable d’office au point de devoir se conformer à des sentences avant jugement. Les journalistes sont également complices en refusant d'aborder ce côté sombre de la justice au service d'une idéologie, le féminisme d'état. Pour leur part, les Allemands avaient retenu le National-Socialisme.