Peut-être ?
29 août 2011
je dirais non seulement peut ètre,mais certainement.
j'ai reçu 2 claques sur la gueule,une en 1980 et une en 1995.pas prêt pour une troisième.
on cueillera le fruit quand il sera mûr....
C’est un politicien dur qui souhaite, en prime de sa circonscription où le PQ s’est désisté dans cette élection partielle, devenir le co-porte-parole de Québec solidaire
Il avait accusé les politiciens des 30 dernières années de trahison
QUÉBEC SOLIDAIRE
Le PQ dénonce les accusations du nouveau solidaire, mais espère toujours poursuivre les discussions sur la convergence souverainiste
En 1957, une grève illégale en Gaspésie a marqué le mouvement syndical au Québec
Le Ville a utilisé des photos d’employés dans une vidéo promotionnelle
La crise du Sénat a été difficile à vivre pour le Québécois Claude Carignan qui revient sur les événements
Rencontre entre John Kelly et Ralph Goodale
29 août 2011
je dirais non seulement peut ètre,mais certainement.
j'ai reçu 2 claques sur la gueule,une en 1980 et une en 1995.pas prêt pour une troisième.
on cueillera le fruit quand il sera mûr....
29 août 2011
Moi aussi je prêche pour une coalition. Mathématiquement, c'est la solution. En additionnant les votes de Q.S., P.Q. nous battons le PLQ.
J'en profite pour présenter le Plan Jean-Claude St-André qui devrait faire parti de la solution selon moi:
http://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Claude_Saint-André
Campagne à la direction du Parti québécois 2005
Le 22 juillet 2005, il annonce son intention d'entrer dans la course à la chefferie du Parti québécois afin de remplacer l'ancien chef du parti, Bernard Landry. Il devient le sixième candidat officiel le 25 août 2005. Il préconise la gouvernance nationale face à l'État fédéral canadien et rejette l'étapisme comme démarche d'accession à la souveraineté, favorisant une démarche proche des thèses récentes de Jacques Parizeau[1] et de Robert Laplante[2].
Jean-Claude Saint-André lance officiellement sa campagne à la direction du Parti québécois le 2 septembre 2005 à Québec, et le 6 septembre à Montréal.
D'entrée de jeu, en plus de réitérer son appui aux thèses Parizeau-Laplante, il fait deux propositions :
«Il faut revoir la fiscalité. Les gens riches et puissants ne paient pas leur juste part d’impôt. En bout de ligne, ce sont les petits contribuables et les contribuables de la classe moyenne qui crachent le morceau.»
«Je vous propose la gratuité scolaire de la maternelle aux études postdoctorales.»
Le programme proposé par Jean-Claude Saint-André s'enrichit ensuite des éléments suivants :
- abolition du poste de lieutenant-gouverneur au profit du président de l'Assemblée nationale
- abolition des abris fiscaux
- création d'une citoyenneté québécoise juridique
- création d'un organisme de réglementation des télécommunications
- institution d'une maison médiatique nationale — gazette, journal, radio, télévision, Internet, etc.
- support à la création et aux maintien de PME — 80 à 85 % de tous les emplois au Québec à l'heure actuelle
- nationalisation de l'eau et de sa gestion
- réappropriation de la gestion des ressources naturelles par les PME, les sociétés d'état et les coopératives de citoyens
- soutien à la famille — restauration des allocations familiales universelles
La démarche d'accession à la Souveraineté du Québec proposée par Jean-Claude Saint-André est :
- campagne électorale sur l'accession à l'indépendance par des gestes unilatéraux de souveraineté
- élection
- adoption par l'Assemblée nationale d'une constitution provisoire consacrant l'existence du peuple du Québec et son autodétermination, rapatriant les pouvoirs du lieutenant-gouverneur au président de l'Assemblée nationale et créant la citoyenneté québécoise.
- convocation d'une Assemblée constituante et de Forums citoyens
- rédaction de la première constitution du Québec souverain
référendum sur l'adoption de cette première constitution — article 1 : « Le Québec est un pays souverain »
- Déclaration d'indépendance dès l'approbation de la constitution par la population
Source: Programme
Jean-Claude Saint-André souligne les nombreuses fraudes et irrégularités commises par le gouvernement fédéral durant le référendum sur la souveraineté en 1995[3] et invite le mouvement souverainiste à prendre acte que de telles entraves risquent de se reproduire si une démarche semblable est reprise. Lors de la tribune du Parti québécois du 19 octobre 2005 sur «la souveraineté et le leadership », il a aussi rappelé le cas de l'Australie-Occidentale qui n'a pas accédé à son indépendance malgré un résultat favorable à 68% lors d'un référendum sur la question survenu en 1933, échec qu'il impute au respect de « la légalité constitutionnelle britannique ».
Parmi ses appuis mentionnons notamment Yves Michaud[4] et Robert Laplante.
Le 15 novembre 2005, il perd finalement l'élection et termine en 6e position avec 951 votes (0,9% des voix) alors que André Boisclair est élu avec une majorité de 53,68%.
29 août 2011
Depuis des lunes, bien des gens réclament des états généraux. Mme Marois et le PQ s'y opposaient.
Mme Marois vient d'inviter Gérald Larose et le Conseil sur la souveraineté de mettre sur pied de tels états généraux.
Alors, ce sera un forum où tout le monde pourra faire valoir ses idées. Il s'agit juste d'y participer. Ou allons-nous refuser de le faire parce qu'enfin le PQ a accepté de se rallier?
29 août 2011
Pour visualiser la statue consulter le lien suivant:
http://bilan.usherbrooke.ca/bilan/pages/photos/1523.html
Soldat Sanspareil
2ème bataillon du régiment de la Sarre
Vive le Roy!
http://www.regimentdelasarre.ca
http://www.youtube.com/user/SoldatSanspareil
http://www.tagtele.com/profil/Sanspareil
http://www.ameriquebec.net/actualites/2009/08/03-rapatriement-des-armoiries-royales-de-france.qc
François Mitterrand
Un peuple qui n'enseigne pas son histoire est un peuple qui perd son identité
29 août 2011
Madame St-Onge,
vous vous trompez! La pétition, c'est Amir Khadir, Québec solidaire. Le PQ, c'est le retour des Nordiques, du pain et des jeux.
Comment ne pouvez-vous pas voir ça?
28 août 2011
À Mr Tétreault,
Lorsque j’avance que Johnson père «lança le chantier Manic-5… et bien, cela suppose que l’on se rappelle que ce chantier fut lancé par Daniel Johnson lorsqu’il fut nommé ministre des Ressources hydrauliques le 30 avril 1958 dans le gouvernement Duplessis, poste qu'il conservera dans le gouvernement Sauvé et le gouvernement Barrette, jusqu'à la défaite de l'Union nationale en 1960…
http://www.assnat.qc.ca/fr/deputes/johnson-(pere)-daniel-3725/biographie.html
http://www.fdworld.net/Manic5/CentralesM5.shtml Barrage Daniel Johnson; construction ; 1959-1971
Il serait donc inexact d’affirmer que la construction de ce plus gros barrage à voûtes multiple au monde s’est terminé en 1964, le tout, sous le Gouvernement libéral de Jean Lesage
Mais je ne vous blâme pas que vous vous en rappeliez plus… car s’il y a une chose que l’on doit se rappeler de cette époque… c’est qu’un black out total fut exercé par les libéraux envers tous ce qui c’est fait de bon au Canada français avant leurs arrivés au pouvoir en 1960… et que la période 66-70 sous le gouvernement de l’Union National ne ralentit en rien cette mise en valeur de l’État québécois.
Par contre, je serai désolé de ne pas suivre votre conseil «de laisser reposer les morts en paix». À ce titre, il faudrait taire les atrocités commises par les Hitler, Staline et Colborne de ce monde. Il faudrait également taire les saloperies exécuté sous Trudeau. Bref, ce serait la fin de l’étude historique.
Donc, pour revenir à ce lugubre personnage que fut Godin… ce qu’il fit de différent par rapport à ses successeurs au postes de ministre de l’immigration et des communautés culturelles, c’est qu’il ne se cachait même pas pour affirmer haut et fort qu’il était multiculturaliste… et que son «nationalisme» n’était qu’un piège à con électoraliste… Le tout, avec la bénédiction de son chef René Lévesque, qui reçu d’ailleurs sa fameuse médaille maçonnique la même journée que lui en Mai 85…
Comment alors se prétendre nationaliste, de se vanter de sauver le Québec et sa spécificité culturelle, puis de singer le multiculturalisme comme le fit Trudeau (en dévaluant le statut des deux peuples fondateurs, dont évidemment le canadien-français) ???
Et lorsque vous affirmez; «En ce qui concerne la venue au Québec et à Montréal du Général de Gaule lors de l’Expo 1967, qui invita sans succès Johnson à rien de moins que de déclarer l’indépendance du Québec avec l’appui de la France, alors que celui-ci refusa la perche du rendez-vous historique que lui tendait De Gaule»… et bien, j’aimerais bien que vous me référeriez vos sources… car à l’évidence, elles diverges des miennes qui m’informes que le Général fut invité à l’initiative de Johnson et qu’ils avaient concluent des ententes commerciales et politiques qu’ils gardaient dans leurs poches advenant l’échec des négociations constitutionnelle qui elles, étaient déjà en cours entre les émissaires provinciaux québécois et fédéraux. Le décès tragique (ce sont les mots de radio-canada) nous empêchera à jamais de savoir jusqu’où auraient aboutis ces accords… Sans même parler de la situation politique et social qui s’est d’ailleurs dégradé en France à la même époque…
Donc, revenez-moi donc avec vos thèses après avoir prit connaissance de ça…
http://www.evolutionquebec.com/site/nom/levesque.html
http://archives.radio-canada.ca/emissions/504/
Tant qu’à votre point de vue qui dirait que ; «c’est le droit du sol qui prévaut et non celui du sang : quiconque habite le Québec ou a décidé de s’y établir et d’y vivre en permanence a après avoir reçu la citoyenneté (il y a des conditions pour cela dans tous les pays du monde) aura le statut de citoyen québécois quel que soit son origine ethnique.»
Et bien, voyez donc ce que ça donne en d’autres lieux… «plus avancés» que le notre en matière de «droit du sol»…
http://fr.gloria.tv/?media=132442
Amicalement,
Sylvain Marcoux
28 août 2011
Québec, 28 août 2011
Madame,
Premièrement, je vous serais gré de nous faire grâce de l'appropriation indu que vous faites d'un évènement citoyen que fût la pétition de 250 000 signatures demandant la démission de Jean Charest et qui fût déposé à l'Assemblée nationale non pas par un député du Pq, mais plutôt par le seul député de Québec Solidaire.
Deuxièmement,si le Pq est dans la dèche, il n'a que lui à blâmer. Comment demander à la population de intéresser à un parti qui a tout fait sauf ce pour lequel il existe. Et cela est sans compter les erreurs que furent les fusions municipales ou les mises à la retraite massives auxquelles Pauline Marois est étroitement associée.
Mais ce qui est en train de tuer le Pq, c'est son incapacité d'être à l'écoute de la population. Plus que 16% d'appui devrait suffire pour initier une remise en question dans n'importe quel parti. Hélas non, au Pq on a choisi de continuer avec les mêmes individus qui sont à l'origine du désastre y compris la cheffe Pauline Marois dont le style de gouvernance autocratique est des plus néfaste.
Finalement, voulez-vous bien m'expliquer pourquoi le Pq s'est mis le nez dans le dossier de l'amphithéâtre de Québec?
Le Pq fait tout sauf ce pour lequel il existe, c'est-à-dire l'indépendance. Et si d'aucuns n'ont plus d'oreille pour l'écouter, c'est qu'il y a des raisons. Je vous en pri donc. Cessez de croire que le Pq est le seul a avoir raison et que les 84% d'électeurs qui dorénavant le rejette ont tort.
28 août 2011
Madame,
D’abords, j’aimerais préciser que jamais je n’ai remis en doutes votre sincérité et votre bonne foi. À la lumière des autres commentaires écrit par les multiples intervenants, je n’ai pas non plus observé ce genre de doute à votre égard.
Par contre, à plusieurs reprise, et presque continuellement, en ce qui concerne cette imposture péquiste pseudo-souverainiste, et bien, de nombreux arguments, preuve historique à l’appui, sont venu étayer ce discours avançant que le parti québécois fut dès le jour de sa fondation noyauté par des imposteurs et des hypocrites tant qu’à leurs véritables intentions de réaliser la souveraineté du Québec.
Malheureusement, ce même cancer pseudo-souverainiste atteint encore aujourd’hui le corpus péquiste.
Ce discours là aussi, dont je m’en fais le porte-voix, semble parfois n’être que «prêche dans le désert». Vu votre certaine sincérité, je suis persuadé que vous me donnerez raison pour ces dires.
Tant qu’à votre hypothèse qui affirmerais que de «s’attaquer aux positions du Parti Québécois ne serait pas trop preneur» puisqu’il serait le «pouvoir établi»… Dois-je vous rappeler que le Parti Québécois constitue un parti d’opposition depuis avril 2003 et que son «grand frère» bloquiste vient pratiquement d’être rayé de la députation suite à la dernière élection fédérale ?
Je terminerai mon bref exposé en vous réitérant la confiance que je porte envers votre «bonne foi»… de même qu'envers tout les véritables indépendantiste qui militent encore à la base de ce parti et qui y «croient» . Mais de grâce, tâcher de vous ouvrir les yeux, ou du moins, enlever vos œillères en prenant la peine de prendre la mesure juste du discours péquiste depuis 43 ans de même que d’analyser quelle fut leurs véritables réalisations en matières d’émancipation nationale.
(P.S. Je ne prends même pas la peine de spécifier que je suis un moi-même un «véritables » indépendantistes… puisque l’on est soit indépendantiste, ou l’on ne l’est pas…)
Sylvain Marcoux
28 août 2011
Comme toujours, mais en fonction de ses exigences, variables selon les conditions appropriées à chaque étape de la lutte (avancées et reculs), comme le démontrent les grands stratèges des combats victorieux de l'histoire.
Qu'en est-il aujourd'hui?
Réponse: ce copie-coller d'un texte que j'ai envoyé, hier, au Devoir.
J’ai écrit, depuis 1967 jusqu’à maintenant, moult textes, dont plusieurs publiés dans Le Devoir, que René Lévesque en fondant successivement le Mouvement Souveraineté-Association et le Parti québécois avait été le fossoyeur de la lutte pour l’indépendance du Québec.
Forte de cette certitude, je me suis farouchement opposée à la dissolution du Rassemblement pour l’Indépendance Nationale (RIN), proposée par les Pierre Bourgault et autres membres de son exécutif. Pressés d’arriver au Pouvoir, avec la conviction sincère, je ne veux pas en douter, que celui-ci les mènerait plus rapidement et plus sûrement à l’atteinte de l’objectif, ils ne voyaient pas les conséquences néfastes du recul fondamental impliqué par la proposition de Lévesque : la substitution de la revendication de la liberté nationale à celle de l’égalité avec le Canada, le dominateur séculaire.
Le mouvement (sous toutes ses formes) de la lutte pour l’indépendance du Québec ne s’est jamais relevé de ce recul.
Voilà pourquoi le Parti québécois est aujourd’hui acculé à sauver les meubles, suite au travail de destruction des quelques forces politiques, économiques, sociales et culturelles du Québec, entrepris et mené avec acharnement et efficacité par le Parti libéral, au Québec, sous la chefferie de Jean Charest, délégué par Ottawa pour l’accomplissement de cette besogne.
Pas plus aujourd’hui qu’hier, le PQ ne peut réaliser l’indépendance puisqu’il n’est pas indépendantiste, mais il peut être une fois de plus, c’est dans sa nature, le seul bon gouvernement du Québec, tant que notre État sera soumis à celui du Canada.
Par conséquent, j’appuie le discours et l’action des Intellectuels pour la souveraineté (IPSO), dirigé par Gilbert Paquette, qui soutient la nécessité de l’existence d’un mouvement d’éducation et de mobilisation populaire en faveur de l’indépendance, sans pour autant vilipender le Parti québécois, susceptible d’exercer le pouvoir de manière à maintenir et même à renforcer l’existence de notre nation jusqu’au jour de sa conquête de l’indépendance.
Bref, bien que mon indépendantisme m’empêche d’être péquiste, je crois à l’absolue nécessité, à l’heure actuelle, d’une lutte convergente menée par les indépendantistes et les péquistes, sans autres nécessités de partage de leur force respective que celle de s’épauler contre les rapaces qui sont plus déterminés que jamais à prendre possession de notre être et de nos biens, d’autant plus résolus qu’ils peuvent espérer profiter de nos divisions.
Andrée Ferretti.
28 août 2011
La semillante Lagarde ne connait rien en economie...elle etait avocate. Elle est encore plus pro-banque que la plupart des autres ministres des finances de la CEE. Quand elle etait ministre des finances le message etait "Pas de negociation sur les obligations d'etat, pas d'echelonnement, etc.". Elle n'etait de toute facon que la porteuse d'eau des fonctionnaires du ministere des finances et elle passait son temps a brosser les chaussures de Sarkozy. Quand on connait les engagements des banques francaises ET allemandes sur les obligations d'etat des PIGS on peut comprendre qu'elle doit suer de peur ( Socgen+BNP+CA, plus les swaps +...= probablement au alentour de 400 milliards d'euros). Les stress tests sur les banques de la zone Euro ont
ete une joyeuse plaisanterie et SocGen a un leverage de 50 pour 1 pire que Lehman Brothers...
Le message qu'elle delivre a ete fourni par le nouvel economiste en chef du FMI (Blanchard) amene dans les bagages de DSK.
Et quand elle declare que la France n'aura aucun de traitement de faveur du FMI je n'en crois pas un mot. Sarko n,a pas fait des pieds et des mains juste pour lui faire plaisir..
pas de clavier francais ce qui explique l'absence d'accent...
28 août 2011
D’abord merci, M. Cloutier, pour votre intervention. Je réalise que nous partageons ce fait que la démocratie à laquelle nos institutions nous lient est sous contrôle d’oligarchies. Sans avoir lu en détail les références que vous m’avez suggérées je demeure toujours convaincu de la nécessité d’élections de personnes que des électeurs et électrices mandateront pour faire la promotion de leurs attentes dans le cadre normal d’un Parlement ou Assemblée nationale. Ma réflexion est davantage à l’étape de la non pertinence des partis politiques qui donnent prises aux oligarchies et leur permettent de reprendre le contrôle du pouvoir. Encore là je demeure, toutefois, prudent puisque des expériences assez particulières se vivent dans certains pays de l’Amérique Latine qui donnent à réfléchir. Je pense tout particulièrement au Venezuela et à la Bolivie où les partis politiques existent, mais dont les dirigeants actuellement au pouvoir ont réalisé une constituante pour écrire et faire voter une constitution qui est le reflet de ce qu’ils sont. En second lieu, la présence constitutionnelle dans la vie et la gestion des affaires publiques, des regroupements sociaux et ethniques assure un contrôle qui devient difficile pour les oligarchies de contourner. En troisième lieu, l’inscription dans la constitution que 10% des électeurs et électrices (le cas pour le Venezuela) peuvent exiger la tenue d’un référendum pour destituer un président, un maire ou toute personne ayant une charge publique. Finalement je vous dirai que les dispositifs mis en place pour réduire au plus haut niveau la manipulation des listes électorales et les mécanismes de votation et de comptage sont des plus modernes et ne laissent pas beaucoup d’espace aux fraudeurs traditionnels. Je me permets de vous donner le lien où vous pourrez prendre connaissance, dans sa version française, de la constitution du Venezuela.
http://etienne.chouard.free.fr/Europe/ConstitutionVenezuela.pdf
28 août 2011
Quand le nombre du collectif augmente, sa force augmente.
Quand nous arrivons dans une rencontre - virtuelle ou non - avec la ferme intention de convaincre les autres de sa façon de voir, ça génère de la division.
En fait, il faut commencer avec les bons coups pour ensuite déterminer quels autres bons coups peuvent être faits dans l'état actuel de la société. Ainsi, chacun propose, quelles actions sont les meilleures, et discute de ce qu'il attend de tous.
Ensuite est regardé quelle action est la plus avantageuse pour tous.
Ici, en ce qui nous concerne, toute forme de consultation populaire dont le résultat est la quantité de votes reçus pour, peu importe la proposition, est devenue en soi une chose que la population ne désire pas. Donc, sur laquelle il n'y aura pas d'appuis massifs. Donc, un potentiel de défaite la plus cuisante pour tout le Québec, et ce dans toute son histoire.
Pourquoi?
Parce que les bons coups de notre société remontent à la Révolution tranquille et depuis ça brette avec quelles est la meilleure consultation populaire. La population veut maintenant, même les indépendantistes purs et durs, que le bien commun, le leur, soit assuré.
Ce qui n'est plus le cas aujourd'hui avec Charest, Legault. C'est pourquoi les Québécois ne veulent plus rien savoir d'une quelconque gogosse qui repose sur un calcul de vote acquis.
Nier cette réalité équivaut aujourd'hui à vouloir se suicider.
Personne ne suit Archives de Vigile. Soyez le premier!