Tut, tut, j'ai été traité de tous les noms sur ce forum : traître, enragé, espion à la solde de la GRC, mysogyne, macho, goujat etc..

Vous ne trouvez-vous pas que la coupe est déjà pas mal pleine?

Quand J.C. Pomerleau traite les indépendantistes d'idéalistes du Grand Soir vous ne trouvez pas cela un peu méprisant pour tous ceux et celles qui ont combattu depuis tant d'années pour cette noble cause?

Dire que Gaétan Dostie a des intérêts très immédiats à supporter Pauline Marois, est-ce si insultant que cela?

Je ne pense pas que vous ayiez des leçons d'éthique à donner à personne, cher B-G, car vous ne ratez jamais une occasion de me taper desssus. Il suffit de lire vos textes.

Quant aux femmes qui seraient disparues de ce forum, il faudrait nuancer un peu. Certaines d'entre elles, comme Nicole Hébert, Pierrette Saint-Onge et Andrée Feretti, des fans de Pauline Marois, se font plus discrètes, mais il y en a beaucoup d'autres qui s'expriment et elles ne sont pas toutes des fans de Mme Marois.

Facile de voir la paille dans l'oeil du voisin et de ne pas voir la poutre dans le sien.

Pierre Cloutier

Un français de France désolé de ce que devient le Québec et surtout Montréal.

André Gignac 17/11/11

Je crois plutôt que les lecteurs de Vigile voteront davantage pour ON ou QS, mais bon, nous sommes dans la spéculation.

Chose certaine, QS et ON n'ont pas banni Vigile. Aviez-vous oublié que le PQ empêchait les députés de donner à Vigile.net?

Sur quelle planète vivez-vous, bon sang!

En passant, les femmes n'ont pas été exclues, mais elles se sont plutôt noyées dans un féminisme vieillot.

Je viens de vous faire parvenir un montant d'argent afin que la photo de ce con de ministre disparaisse le plus vite possible de l'actualité politique lorsqe j'arrive sur votre site ha! ha!

André Gignac 17/11/11

D'abord pour dire que Bernard Frappier a bien fait de publier le point de vue de Gaëtan Dostie.

La censure subtile (ou pas subtile), les femmes éliminées, la ligne éditoriale anti-Marois qui s'exprime brutalement sur la page Actualité, pour moi, ce sont des faits…que j'endure.

Vous aurez remarqué que je suis très rarement sur la page Actualité et que, parfois, pas toujours, mes textes étaient plus pertinents que certains textes qui y étaient.

Mon dernier texte "courte lettre à Pierre Foglia pour le taquiner" n'a pas été publié. C'est un commentaire à son texte sur les coyotes. Il aurait dû l'être. Mais je n'en ferai pas un drame.

Frappier peut toujours changer d'idée et le publier, ça me ferait plaisir.

Voici ma conclusion qui s'adresse à Pierre Foglia:

"Est-ce que ça vous dérange de travailler pour un journal qui s’oppose systématiquement au projet d’indépendance en semant la zizanie et en cherchant à déstabiliser Pauline Marois : c’est la spécialité de votre confrère journaliste libéral Denis Lessard, j’imagine que vous le savez mais ce n’est pas ce qui vous préoccupe en observant les coyotes pendant vos randonnées cyclistes pépères dans le comté de Franklin, au Vermont."

C'est aussi le projet de Vigile de déstabiliser Pauline Marois: c'est le même projet que La Presse, CROP et le libéral Denis Lessard. C'est sans doute le genre de remarque qui déplaît au webmestre.

Quant à moi, je suis publié (550 textes) et quand ce n'est pas ma première version qui est publiée, c'est ma deuxième ou ma troisième ou ma quatrième version (qui est meilleure que ma première, je suis tenace) qui est publiée. Bernard Frappier me pousse à une meilleure articulation et à la nuance. Merci monsieur le webmestre d'agir comme un éditeur exigeant.

Ce que vous ne faites malheureusement pas pour Pierre Cloutier dont vous publiez n'importe quoi depuis des mois et qui est la cause "des femmes éliminées".

Son dernier commentaire me fournit un bon exemple. Il constitue une attaque personnelle contre Dostie qui vise à le blesser. Il n'aurait pas dû être publié si on appliquait à Cloutier les mêmes critères qu'on applique aux autres. C'est comme si on me disait: "Toi, Barberis, tu défends Dostie parce qu'il a été ton éditeur." Ça n'a pas rapport.

Ce qui est certain toutefois, c'est qu'on ne disposera pas du point de vue de Gaëtan Dostie par une attaque mesquine ad hominem.

Robert Barberis-Gervais, 17 novembre 2011

p.s. Je fais remarquer que mon commentaire a été rédigé jeudi matin à 11h45. A ce moment-là, il n'y avait que deux messages, ceux de Pomerleau et Cloutier. Je suis d'accord avec eux pour dire que Vigile reste un espace indispensable de liberté.

Je trouve particulièrement méprisant et insultant de traiter les gens qui ne sont pas d'accord avec la fumisterie de la gouvernance provinciale déguisée en prétendue gouvernance "souverainiste" pour endormir les naïfs, "d'idéalistes du Grand Soir".

Le seul véritable changement est celui de l'indépendance de la patrie et il est urgent de le réaliser et de la réaliser.

Le reste c'est de la petite politique provinciale partisane et personnellement je ne joue pas dans ces eaux-là. Je n'ai pas d'autres intérêts$ que l'indépendance de ma patrie et je n'accepte pas qu'on se fasse insulter de la sorte par les électoralistes provinciaux purs et durs qui ont des intérêts très immédiats à défendre, y compris leur petite soif de pouvoir, le petit pouvoir pouvoir provincial de merde.

On a assez donné à ces gens-là. Allez oups, disparaissez.

Pierre Cloutier

Pierre Cloutier

http://www.ivanhoecambridge.com/fr-CA/quinoussommes/performance/rapportactivites/index.aspx

Jacques Dallaire

On ne peut qu'être d'accord avec la constatation qui suit et qui va dans le sens de ce que vous dites:

"Through its own actions, the ruling class is demonstrating to millions of people that the state is not a neutral arbiter. It is their state, staffed by their political representatives. The interests and needs of the majority of the population have absolutely no effect on the course of government policy."

http://www.wsws.org/articles/2011/nov2011/pers-n17.shtml

Ce n'est pas aujourd'hui et à mon âge que je vous abandonnerai, ainsi que Vigile.

Je vous enverrai ma petite contribution en décembre avant la fermeture des livres pour l'année 2011.

La liberté de parole a un prix.