Ce qui aurait pu se produire et ne se produira pas
10 février 2008
Même si nous pouvions être d'accord avec le programme du PI,nous croyons qu'il est plus urgent, et probablement plus efficace,de créer un groupe de pression en dehors des partis politiques,pouvant inciter Mme Marois, (et les dirigeants des autres partis politiques) à modifier sa philosophie dans plusieurs domaines, notamment dans l'apprentissage de l'anglais, qui est à ce que je sache, la langue de l'oppression exercée par les «Anglo-saxons» sur notre peuple et sur le monde.Ainsi, puisque, aussi bien le MNQ que les sociétés nationales, SSJB et SNQ, n'exercent quelque pression sur Mme Marois, et sur tout autre parti politique,considérant que notre langue est le vrai motif pour lequel nous voulons nous donner un pays indépendant de langue «française» et de la culture qui lui est inhérente,considérant que Mme Marois et notre parti oeuvrent à l'anglicisation de notre peuple par la promotion de l'anglais en voulant «obliger» tous les jeunes du Québec à apprendre cette langue, ce qui contrevient à l'ouverture sur les autres cultures, considérant qu'il serait plus important d'inviter nos jeunes à posséder au moins deux langues étrangères en plus de leur langue maternelle parmi les langues les plus parlées dans le monde,(Anglais-Arabe-Chinois-Russe-Espagnol-Italien-Japonnais) sans qu'aucune ne soit obligatoire,
considérant que notre langue est en grand danger actuellement, tant au Québec, qu'au Canada,nous suggérons de créer un organisme associatif ayant pour mission de promouvoir notre langue au Québec, au Canada et dans le monde, dans tous les domaines de la vie des peuples, et laissons aux partis indépendantistes le loisir de faire la promotion de l'indépendance du Québec de langue française en les incitant «fortement» à tenir compte de la volonté de notre peuple de conserver sa langue et sa culture «françaises», pour le plus grand des langues parlées, et pour la liberté des peuples ne voulant pas accepter de vivre sous la domination «Anglo-saxonne» et de la pensée capitaliste, véhiculée par l'ouverture des marchés, ce qui inclus le marché culturel,outil impérialiste «étatsunien» utilisé pour assurer la domination des peuples de langue anglaise sur le monde.Refusons d'asseoir la défense et la promotion de notre langue sur les partis politiques et sur les «Politiques» qui ne cherchent qu'à entrer à l'Assemblée nationale pour y défendre leurs intérêts, comme dans le cas de ceux qui recherchent à faire modifer «notre mode de scrutin» pour »envahir» ce lieu saint, au mépris de la démocratie et de la stabilité de notre «État».L'intérêt linguistique des Québécois doit subordonner celui des partis politiques. Conserver notre langue «française» et la culture qui lui est inhérente sont les deux éléments les plus importants pour notre peuple
«minoritaire» au Canada, et encore plus en Amérique, «majoritaire» au Québec. Pour combien de temps encore si nous n'agissons pas?Jacques Bergeron, Ahuntsic, Montréal