S'il survit au grand écart, à l'âge qu'il a, ça tiendra du miracle.
Car il faut bien voir la réalité en face. Avec vous au volant, nous allons prendre le champ.
Il devrait aussi faire son deuil d'une place de choix dans l'histoire du Québec, car... son chien est mort. C'est triste. Mais c'est comme ça.
Lundi soir dernier, soir d'élections fédérales, le Québec a refusé d'être immobile. Il a fait suer tout le monde, mais il a bougé. Et pas juste un peu.
Je pense que ce dont les Québécois ont le plus besoin, c'est une colonne vertébrale.