Vivre au noir: le nouvel esclavage

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La catastrophe migratoire va s'intensifier cet été

La dangereuse naïveté du Québec et du Canada en matière d’immigration risque d’importer des États-Unis un problème dont personne ne veut : une population clandestine condamnée à vivre au noir et sujette à des conditions proches de l’esclavage.


TVA Nouvelles constate ces jours-ci le retour de la vague massive d’immigrants irréguliers à notre frontière. Et mon confrère Loic Tassé rappelait cette semaine que 20 583 personnes ont demandé le statut de réfugié. Sur ce nombre, 18 836, soit 92 % d’entre eux, ont opté pour le Québec.


Or, si plus de 9000 de ceux-là voient leur demande acceptée, l’autre moitié trouve le moyen de se fondre dans le territoire (« non cédé aux Iroquois » ajouterait la mairesse de la ville anglo-bilingue de Montréal entre deux éclats de rire) pour se trouver un travail probablement dans l’arrière-scène d’un quelconque commerce pour finalement maîtriser quelques onomatopées d’anglais... et hop ! Voilà l’intégration commencée ! Mais l’intégration s’arrête ici, du moins à Montréal, avec une première magistrate pour qui c’est toujours au Québec à se renier pour entrer dans le moule, notamment à la police de se plier au voile ou au turban.


Exploitation


Il y aurait déjà jusqu’à 120 000 immigrants illégaux au Canada. Vulnérables aux délations, ces clandestins occupent les derniers échelons de la pyramide. Chaque communauté ethnique exploite ses propres ressortissants.


Combien profitent de cette main-d’œuvre docile et presque gratuite qui est une nouvelle forme d’esclavage ?


Électoralisme


Par-dessus cela, le Canada de Justin Trudeau a accueilli 272 000 immigrants officiels en 2017. Ce brasse-camarade démographique rapporte peu de bénéfices pour la culture québécoise. Trudeau, comme Couillard, calcule qu’un immigrant mal intégré ou qui méprise sa culture d’accueil va voter pour le multiculturalisme... ce qui est vrai !


Quant à l’immigration clandestine, elle ne vote pas. Elle travaille dans l’obscurité à enrichir des commerçants profiteurs qui bientôt jureront ne plus pouvoir s’en passer.... Souhaitons que cette population clandestine ne devienne pas endémique comme aux États-Unis de Donald Trump.