www.parkavenuegazette.com

Un site web francophobe de Montréal traite les québecois de barbares !

On n'est plus en 1760 : Réveillons-nous et dénonçons ce dénigrement racial

Actualité du Québec-dans-le-Canada - Le Québec entravé

À ma grande surprise, le site web anti-francophone de Montréal: www.parkavenuegazette.com récidive encore.
Ce site raciste traite les québecois et montréalais francophones de barbares, et tous les noms inimaginables et dégradants de la langue de Shakespeare.
[ Extrait anglais ]
« When I read that caption in this mornings newspaper I for one was not one bit surprised, because the roots of both the Parti Quebecois and the Bloc Quebecois came from a single source in the province of Quebec. They were those who openly supported and sympathized with Adolf Hitler and Benito Mussolini in World War II.
Besides this, the Roman Catholic Church in Quebec was controlled by many priests that even prayed for a victory for the Axis. Among these were Abbe Lionel-Adolphe Groulx of Vaudreuil, Quebec and a few prominent Quebecois. Also the Mayor of Montreal, one Maximilian Houde who openly preached against conscription on RADIO, and who was arrested under the War Measures Act and interned for the duration of the war was convicted of this Nazi collaboration.
When Gilles Duceppe uses the word NATIONAL CULTURE he actually means KULTUR as in the Nazi theories of Adolf Hitler, and is more than likely based on Mein Kampf than anything else. But as usual Gilles Duceppe tries to pull a fast one by alluding to the Bloc Quebecois platform which erroneously refers to a section -"Quebec's national culture." If Quebec is not a NATION how can it have a NATIONAL CULTURE?
So in point of fact there is no such thing as Quebec's national culture. Having
failed in 2008 to exempt Quebec from the Canadian Multicultural Act with a private members bill C-505 by bloquiste MP for Joliette, QC Pierre Paquette, Gilles Duceppe now attempts to bypass it, by going around it. Nice try Gilles; sorry but no CIGAR! The word 'Interculturalism' that Gilles Duceppe used is a code word for KULTUR, which was vogue during the Nazi ERA in Germany.
Of course as we can see, Gilles Duceppe is very adept in trying to pass off JOUAL or French patois, the colloquial spoken in Quebec as FRENCH, -which it is certainly NOT. And as for Quebecois culture, it is a MIXTURE of Native Indigenous culture and a little bit of French culture; a hold-over from the days of NEW FRANCE IN 1760. Ergo, if we were to go even further, the people who style themselves Quebecois are really METIS/ METISSE, not FRENCH.
PAG Editor has a Question:
How are the Quebecois NOT racist when they are so ashamed of being part Indian that they claim pur laine and openly hate Indigenous people and portray Indigenous in the PQ history books as 'savages'?
PAG Editor has an Observation:
The real barbarians in this land are the Quebecois. They are proven since the Vichy immigration after the Axis defeat in WW II. »

[ Fin de l'extrait ]

[ Version française grossière selon Google traduction ]
« Quand j'ai lu cette légende dans ce journal le matin pour ma part, n'était pas un peu surpris, car les racines à la fois du Parti québécois et le Bloc québécois est venu d'une seule source dans la province de Québec. Ils étaient ceux qui ont ouvertement soutenu et sympathisé avec Adolf Hitler et Benito Mussolini en la Seconde Guerre mondiale.
Outre cela, l'Église catholique romaine au Québec était contrôlée par de nombreux prêtres ont prié pour que même une victoire de l'Axe. Parmi ceux-ci l'abbé Lionel Groulx-Adolphe de Vaudreuil, au Québec et un Québécois quelques éminents. Aussi le maire de Montréal, une Houde Maximilien qui a ouvertement prêché contre la conscription à la radio et qui a été arrêté en vertu de la Loi sur les mesures de guerre et internés pendant la durée de la guerre a été reconnu coupable de cette collaboration nazie.
Lorsque Gilles Duceppe utilise le mot culture nationale, il signifie en réalité KULTUR comme dans les théories nazies d'Adolf Hitler, et il est plus que probable repose sur Mein Kampf qu'autre chose. Mais comme d'habitude, Gilles Duceppe tente de passer une vite en faisant allusion à la plate-forme du Bloc québécois qui se réfère à tort à une section - ". Culture nationale du Québec» Si le Québec n'est pas une nation comment peut-elle avoir une culture nationale?
Donc en réalité il n'y a rien de tel que la culture nationale du Québec. Ayant échoué en 2008 à soustraire le Québec de la Loi sur le multiculturalisme canadien avec un des membres privés du projet de loi C-505 par la bloquiste député de Joliette, QC Pierre Paquette, Gilles Duceppe tente maintenant de le contourner, en allant autour d'elle. Bien essayé Gilles, désolé mais aucun cigare! «Interculturalisme» Le mot que Gilles Duceppe utilisé est un mot de code pour Kultur, qui a été vogue à l'époque nazie en Allemagne.
Bien sûr, comme nous pouvons le voir, Gilles Duceppe est très habile en essayant de faire passer le joual ou de patois français, la langue familière parlée au Québec en tant FRANÇAIS, et dont il est certainement pas. Et comme pour la culture québécoise, il est un mélange de culture indigène autochtone et un peu de culture française; un hold-dessus de l'époque de la NOUVELLE-FRANCE EN 1760. Ergo, si nous devions aller encore plus loin, les gens qui se disent québécois sont vraiment METIS / METISSE, pas FRANÇAISE.
Editeur PAG a une question:
Comment les Québécois n'est pas raciste quand ils ont tellement honte d'être indien partie qui ils prétendent PUR laine et ouvertement la haine des gens indigènes et autochtones dans dépeindre les livres d'histoire PQ comme des «sauvages»?
Editeur PAG a une observation:
Les barbares réel dans ce pays sont les Québécois. Elles sont éprouvées depuis l'immigration de Vichy après la défaite de l'Axe dans la Seconde Guerre mondiale. »

[ Fin extrait français ]
Qu'en pensez-vous..? Peut-on tolérer de tels écrits ici au Québec... se faire traiter de race seconde, de barbares, de sauvages, d'inférieurs... OUF..!
Le mal de coeur me prend..! Pourquoi le gouvernement tolère un tel site... Cela sert-il les libéraux..? Pourquoi la police n'intervient pas..? Tant de questions restant sans réponse... Attendons-nous que des extrémistes qui lisent ces écrits frabcophobes passent à l'action..? Je crois qu'il faut éliminer, irradier, détruire et interdire de tel site web extrémiste ici au Québec, chez nous dans notre cours... incroyable et intolérable !

Lisez bien ceci:

Phrase prise sur ce site web: The Layton-Duceppe Pact of 1939? or . . . the Hitler-Stalin Pact to exterminate English in Quebec LLW 2011?(-ed.


On dit qu'il y a pacte Layton-Duceppe et on compare ce pacte à celui de Stalin-Hitler en 1939.. pour éliminer les anglophones de Montréal...!!! Y'a une limite, vous ne pensez pas..?
Et allez lire cette page: http://www.parkavenuegazette.com/Marois_Tellis.htm
An Appeal to all Canadians, Americans and Irish People in Particular
throughout the world including 700,000 of us settled 75 miles from Montreal in Vermont: Support us when visiting Quebec please by shopping only at business that serve in English voluntarily. This Public Service notice presented by Mile-End Irish Citizens' Committee, part of the new movement of irish Citizens' Committees of Quebec. We are tired of irish capitulationists leading the Irish of Quebec and Canada as a whole. We are part of the new Irish movement promoting the Canadian Irish Leadership Conference.

Voir aussi: http://www.parkavenuegazette.com/Renaud.htm
We are now growing much faster and urge everyone to support the BOYCOTT of the racist anti-English Book Cartel headed-up by Renaud-Bray & Archambault-Paragraphe Book Store chains. This BAN is also supported by all the french freemasons in Quebec. This riff-raff is rampant like termites in the Montreal City Permit Department; -as well as the Superior Court of Quebec. 


Promenez vous sur ce site.. les cheveux vous dressiront sur la tête à chaque page... Je me répète, peut-on tolérer un pareil site en ligne, un site haineux et raciste envers les québecois.. et ce dans tous les sens du terme..?
Ce site me révolte carrément..!
Michel Dion (iiibooo sur Twitter)


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17 commentaires

  • Archives de Vigile Répondre

    19 mai 2012

    Il faut absolument faire appliquer la loi 101, et leur demander d'imprimer dans les deux langues, ou au moins la partie française qui doit être visible. C'est sûr, ça va demander plus de ressources pour imprimer, mais lorsqu'on veut un service, on paye pour. Ils sont parfaitement capable de le faire, les anglophones ont trouvé les ressources nécessaires pour construire le premier méga-hôpital du Québec, hôpital qui va opérer en anglais, alors qu'ils représentent à peine 15% de la population montréalaise. Ça donne une bonne idée du pourcentage du 1% plus riche qu'on retrouve dans leur communauté. En plus ça mousserait cette publication pour son divertissement humoristique, les québecois pourraient être plus à même de se bidonner des extravagances qu'on y colporte. À ce propos, il devrait être indiqué à quelque part sur leurs imprimés s'ils respectent bien toutes les lois québecoises ou si ce ne sont que quelques hippies ou squatteurs égarés.

  • Archives de Vigile Répondre

    11 janvier 2012

    « When I read that caption in this mornings newspaper I for one was not one bit surprised, because the roots of both the Parti Quebecois and the Bloc Quebecois came from a single source in the province of Quebec. They were those who openly supported and sympathized with Adolf Hitler and Benito Mussolini in World War II.
    En bon français, cela s’appelle une assertion (c’est le même mot en anglais vu qu’une bonne partie du vocabulaire anglo-saxon est d’origine française). On présente un fait comme vrai et comme justificatif suffisant à lui-même. Le procédé n’est pas nouveau qui sert à dégrader l’homme et lui coller des étiquettes sans fondements (le présent brûlot, écrit à la mitraillette plus qu’à la pointe de la plume, en est un excellent exemple). L’usage dégrade évidemment bien plus celui qui l’énonce que celui qui est visé. En général, les seules visées peuvent en rire : point de sources, point de fond et une forme sujette à la nausée. Mais revenons donc au propos, aussi futile soit il. Futile, il l’est dans la mesure où il vise uniquement verser de la haine. Il n’est pourtant pas faux – si l’on s’intéresse un tant soit peu à l’Histoire ; celle des livres et des universitaires ;pas celle de quelques fielleux révisionnistes – d’accroire qu’effectivement Hitler s’est appuyé sur les synergies locales pour diviser ses ennemis. Il l’a fait en Europe orientale en engageant des troupes pour combattre ce que les Nazis appelaient « partisans » (Polonais, Juifs, Tsiganes, Soviétiques…). La majorité des Einsatzgruppen, par exemple étaient composés d’auxiliaires plein de haine, de rancœur (des Cosaques par exemple). Le Reich a fait de même en Autriche, en Norvège, dans les Balkans, en Hollande, en Belgique, en France même. Ne pouvant tout annexer ou transformer en protectorat (pauvre Bohème-Moravie !), le Reich s’est appuyé sur 1. Des extrémistes locaux dévoués aux idées de « national-socialisme » et 2. Des indépendantistes de tout bord, nationaliste (et souverainiste ; un détail qui avait sans doute échappé à Hitler). J’en sais quelque chose : je suis Breton. Et Hitler comptait sur les nationalistes Bretons pour élever un « Etat » national celte indépendant de la France et soumis à son allié allemand prêt à en reconnaître l’existence sur la scène internationale (non, la guerre, ce n’est ni tout noir, ni tout blanc ; les relations diplomatiques existaient encore). Les Italiens ont bien essayé de faire de même, notamment en Grèce. Mais ils n’ont jamais été capables de mener efficacement quelque action que ce soit en cette mesure. L’isolement diplomatique de l’Axe pousse ce dernier à, je l’ai dit, jouer sur les synergies nationalistes. Sous couvert de « défendre les peuples supérieurs » opprimés par des gouvernements tyranniques (« le roi d’Angleterre était ici visé, entre autre), l’Allemagne nazie a bien tenté de tressé des liens avec d’autre nations où le « ver nationaliste » rongeait son frein. Affirmer que les Québécois soutenaient Hitler (et Mussolini) est absurde. Le bon sens serait, en pareille occurrence, de reconnaître que les premiers soutiens du nazisme hors Allemagne étaient des partis politiques aux idées très proches. S’il y a eut des francophones pour adhérer à l’idée de « révolution nationaliste » du nazisme ; cela n’embrasse pas pour autant leur « déni de l’humanité ». L’Angleterre a possédé un tel parti (certes minoritaire), les USA de même (bien plus important). Et je ne citerai même pas le Vatican qui voyait dans l’Allemagne le « providentiel défenseur contre le menace d’un communisme athée et destructeur ». Bref, si l’on cherche le plus grand soutien qu’ait reçu Hitler, il faut le chercher dans les banques. Les banques allemandes étant vides dans les années 30 (crise oblige), ce sont les Usa qui ont le plus financé l’industrialisation du pays. En renflouant les banques allemandes, elles ont permis au banquiers allemands de soutenir les SA et les SS dans leur lutte contre un régime communiste dans la jeune (trop jeune) république de Weimar, en proie aux doutes. Parler donc de soutien québécois au nazisme est non seulement un raccourci, mais aussi d’une absurdité aussi évidente que la mauvaise foi ou l’inculture qui permettent e l’émettre. Au début de la guerre, lorsque l’Allemagne n’a pas envahi la Pologne, le danger semble être le communisme. Pas le nazisme. C’est trop facile de juger à posteriori. Il y a du sang québécois sur les plages de Normandie qui témoignent de la bêtise de ces propos.
    Besides this, the Roman Catholic Church in Quebec was controlled by many priests that even prayed for a victory for the Axis. Among these were Abbe Lionel-Adolphe Groulx of Vaudreuil, Quebec and a few prominent Quebecois. Also the Mayor of Montreal, one Maximilian Houde who openly preached against conscription on RADIO, and who was arrested under the War Measures Act and interned for the duration of the war was convicted of this Nazi collaboration.
    Je prends une fois un grand plaisir à souligner ce jugement à l’emporte pièce fait par une personne qui semble évidemment manqué d’objectivité. L’Eglise catholique est à blâmer dans son ensemble pour son soutien à l’Allemagne. Mais ce soutien venait de France, d’Angleterre, des USA et de bien d’autres pays (malgré le traité de Versailles) tant une Allemagne réarmée semblait seule en mesure de tenir face à l’ogre communiste. Le traité de Münich (1938) dénonçant la politique impérialiste en Europe de la part des nazis est contre balancé par le rempart que peut sembler l’Allemagne face à une nation (l’URSS) qui ne vise à rien de moins qu’à « la révolution internationale ». Les accointances ne sont donc pas que québécoises, que catholiques : elles sont culturelles. Dans les journaux de l’époque, quel que soit le pays, le Juif est pointé du doigt par un monde occidental en crise (bref, « ils sont les profiteurs ») et les Communistes sont pointés du doigt comme des démons (bref, « ils sont l’ennemi contre qui il faut se prémunir, tous ensemble, peuples du monde occidental). Certes, je résume. Mais bien moins que l’auteur de ce stupide et parcellaire pamphlet. Se contenter de deux ou trois noms et d’une condamnation en justice pour juger un peuple dans son ensemble, c’est exactement faire comme les nazis.
    When Gilles Duceppe uses the word NATIONAL CULTURE he actually means KULTUR as in the Nazi theories of Adolf Hitler, and is more than likely based on Mein Kampf than anything else. But as usual Gilles Duceppe tries to pull a fast one by alluding to the Bloc Quebecois platform which erroneously refers to a section -"Quebec’s national culture." If Quebec is not a NATION how can it have a NATIONAL CULTURE ?
    Dire que « culture nationale » c’est la même chose que « Kultur », c’est d’une évidence si bête que je me demande même comment quelqu’un pourrait lire plus avant une démonstration aussi stérile. Tant qu’à faire des traduction, Nazionalkultur eût été plus juste. Cela dit, ce n’est pas parce qu’on traduit un mot en Allemand qu’on est un nazi. L’auteur utilise une fois encore un procédé aussi bas que vide de sens : le stéréotype. Sinon Goethe, Schiller et Kant sont des nazis, hein ? Manquerait plus que l’auteur nous dise que si on est ordonné, productif, discipliné et qu’on aime la marche, alors on est un nazi ! Mais quelle bêtise ! quel manque de culture ! D’ailleurs, appuyer son propos en émettant la possibilité (et non la certitude, notons-le) que c’est un bouquin, parangon nationaliste jusqu’à la nausée, qui fait le nazi prouve bien l’immensité de l’ignorance de l’auteur. Résumer la pensée d’Hitler de 1942 à celle du militant/activiste de 1923 est d’une affligeante suffisance.
    Pour en revenir au propos, le Québec a une culture nationale dans la mesure où son terreau fut un colonialisme français, francophone, catholique de culture continentale (et non une culture anglo-saxonne, anglophone, protestante et insulaire). L’abandon des 60 ou 70 000 colons français par la France en 1763 ne suffit pas à « englober » et « absorber » deux mille années de particularisme français qui se portent dans la langue, dans les traditions, dans les coutumes, dans la gouvernance, l’abnégation, la prodigalité et la solidarité de la minorité francophone. Spoliée, humiliée, placée au second rang de la citoyenneté (ou plutôt de l’assujétion puisque les Anglais n’étaient pas les citoyens d’une nation démocratique, mais des sujets d’une nation monarchique (le terme de nation e t valable dans les deux cas ; leur émergence remontant à la fin du XVe siècle, lorsque France et Angleterre portaient en leur frontière (mouvantes) les germes de la nation moderne. Comment donc oser plaider pour un Canada souverain sans en reconnaître les doubles racines européennes et la racine amérindienne ? C’est la encore un raccourci plus intolérant que le proto-nationalisme que l’auteur cherche à coller aux québécois. Le Canada n’est pas une nation née ex nihilo ; la paix nationale, la concorde, l’entente et l’empathie ne sont pas des vertus innées. Cela s’apprend à l’école et à la maison, notamment. J’ignore si l’auteur a eu la chance de profiter ne serait-ce que de l’une ou l’autre de ces cellules qui créent de l’humain (et pas de l’imbécile).
    So in point of fact there is no such thing as Quebec’s national culture. Having failed in 2008 to exempt Quebec from the Canadian Multicultural Act with a private members bill C-505 by bloquiste MP for Joliette, QC Pierre Paquette, Gilles Duceppe now attempts to bypass it, by going around it. Nice try Gilles ; sorry but no CIGAR ! The word ’Interculturalism’ that Gilles Duceppe used is a code word for KULTUR, which was vogue during the Nazi ERA in Germany.
    Une fois encore, quelles sont les sources ? J’aimerais bien savoir où l’auteur va chercher de telles absurdités ! L’interculturalisme est une philosophie basée sur l’échange. Ce n’est pas en mettant tous els Québécois dans le même sac que quelques esprits chagrins, nationalistes enragés du Québec, militants violents et autres bornés en tout genre, que l’auteur va trouver une quelconque concorde. Le terme n’a, de plus, rien à voir avec Hitler qui prônait (vociférait même ; voilà un point commun entre la petite moustache du chancelier allemand et la plume de notre auteur) la culture unique : le Kulturkampf, ferment d’un pangermanisme qui unirait les germanophones de souche aryenne. Rien à voir donc – mais alors rien de rien – avec le multiculturalisme. Pas besoin d’avoir fait de longues études ou d’avoir ouvert tous les livres du monde pour savoir cela.
    Of course as we can see, Gilles Duceppe is very adept in trying to pass off JOUAL or French patois, the colloquial spoken in Quebec as FRENCH, -which it is certainly NOT. And as for Quebecois culture, it is a MIXTURE of Native Indigenous culture and a little bit of French culture ; a hold-over from the days of NEW FRANCE IN 1760. Ergo, if we were to go even further, the people who style themselves Quebecois are really METIS/ METISSE, not FRENCH.
    Alors là, on touché le fond. Parler d’Hitler tout le long du texte pour en affubler quelques québécois tout en reprenant sa dialectique pompeuse et sa rhétorique bancale, c’est pathétique, mais risible. Là, dans ce paragraphe, il s’agit de racisme primaire. Traiter les francophones du Canada de métis dans le sens utilisé ici est une forme de racisme !
    Prenons les choses comme elles viennent donc : l’auteur parle d’abord de la langue et ensuite de l’origine ethnique.
    Concernant la langue, le français est né de la encontre du latin (langue latine, évidemment) et du franc (langue germanique). Pour résumer une longue et fastidieuse histoire, au fil des siècles, elle s’est mâtinée d’idiomes empruntés à des patois locaux et à des langues étrangères pour devenir le français moderne. Lorsque les colons de France débarquaient au Canada avec leurs patois locaux (Bretons, Normands, Basques, Picards, etc.), le seul moyen de communication entre toutes ces personnes était le français « sans patois ». Force est donc de reconnaître (et je suis moi-même Français et Breton) que si un espace géographique fut le premier structuré par une langue française unifiée, ce fut bien la Nouvelle-France. Moi qui vis en Bretagne, il faudra attendre le début du XXe siècle pour que les Bretons parlent français ! Ouvrons une parenthèse sur la langue anglaise qui est le véhicule de la pensée approximative de l’auteur. Sait-il seulement que l’anglais a suivi exactement et scrupuleusement le même cheminement que le français (sait-il d’ailleurs que l’Angleterre fut un temps française… un temps suffisamment long pour que certaines pages du vénérable dictionnaire d’Oxford présentent parfois plus de 40 % de mots d’origine française ? Mais non, je suppose que l’auteur n’a pas plus ouvert un dictionnaire qu’un livre sur son ami Hitler qu’il cite à tout vent). A une différence près : les colons anglais d’Amérique étaient nombreux et se regroupaient selon leurs origines (pour la plupart, hein, pas tous). Si fait que de nombreux patois et/accents anglais ont survécu comme en Europe. Les francophones d’Amérique, plus solidaires et plus proches en raison de leur nombre et de la solidarité née de l’envahissement de leur « pays » ont parlé le français unifié (d’Ancien Régime) avant que les anglophones d’Amérique ne rationalisent l’usage de leur langue.
    Concernant le brassage ethnique, les Français et les Anglais ont agi de la même façon en Europe et aux Amériques. Dans les deux cas, les deux peuples sont nés de métissages : celte, latin, germanique et scandinave pour les deux nations. D’ailleurs, si les barons français n’avaient pas refuser (arguant d’une pseudo loi salique) à Isabelle de France, fille de Philippe le Bel et épouse d’Edouard d’Angleterre, de voir son fils hériter du royaume de France, les deux pays auraient dû être un seul depuis cinq siècles (ça nous aurait épargné à tous bien des guerres et cela nous aurait épargné, aujourd’hui, la fantaisiste bêtise de cet auteur). En revanche, il est vrai que les colons français se sont plus aisément mélangé aux peuples environnants, européens comme amérindiens. On pourrait y déceler un caractère propre aux continentaux, au regard des origines insulaires des Anglo-saxons. Eh bien, quand les Anglais restaient sur leur île à se marier entre eux, la France a toujours été un carrefour entre les peuples. Génétiquement, le métissage est la forme la plus saine et la plus aboutie de l’évolution humaine. Il suffit de jeter un œil sur les familles royales d’Europe jusqu’à la fin du siècle dernier pour se rendre compte que les unions matrimoniales en vase clos conduisent à de jolis spécimens (un clin d’œil à Charles Quint, tiens !). Bref, nous sommes tous des métis… Même les Français, même les Anglais et, à plus forte raison, tous les Canadiens (à moins d’être un de ces Wasp consanguins débiles et intolérants qui affiche son arbre généalogique remontant jusqu’à ce qu’une pomme tombe du jardin d’Eden).
    Bref, si les francophones du Québec peuvent légitimement affirmer être ou se sentir Français, c’est sans doute à cause des Anglais qui n’ont pas fait grand-chose pour essayer de les intégrer à une nation canadienne multiculturelle (le premier gouverneur britannique a pourtant eu la jugeote d’accepter le français comme langue de communication ; mais le geste était plus politique et sécuritaire qu’un réel « cadeau » fait aux colons français, systématiquement dépossédés des meilleures terres). Le Canada a une chance énorme d’avoir cette double culture. C’est juste dommage que le pays et ses habitants soient trop « jeunes » au regard de l’Histoire pour réaliser l’énorme opportunité que cela représente (c’est au mieux vu comme un défi ; et le propos est valable des deux côtés de la langue !). Alors peut-être que mon propre propos est suffisant ou que certains pourraient le juger condescendant, mais on ne m’ôtera pas de l’esprit que vu depuis le Vieux Continent, la réussite de l’union entre deux nations qui se sont fait la guerre pendant mille ans est plutôt une bonne chose. C’est simplement dommage qu’on entende que les extrêmes s’exprimer. C’est comme un match de foot (ok, un match de hockey !) : il y a des dizaines de milliers de supporters, mais on en remarque que la centaine de crétins avinés et bagarreurs qui crient des injures… Alors, comme toujours, les esprits superficiels s’indignent et affirment que tous les supporters sont des imbéciles. Heureusement que la vérité est autre et que le Canada est un pays peuplé de gens accueillants, ouverts d’esprits, riche de traditions diverses, universalistes.
    Je suis triste pour les anglophones : les gens qui liront les mots acides et primaires de cet auteur sans instruction et sans éducation auront l’impression que tous les anglophones sont comme lui.
    C’est dommage.
    NC

  • Serge Jean Répondre

    2 décembre 2011

    Ils ont mal. Seraient-ils jaloux enragés de notre peuple encore relativement intact. Personnellement j'éprouve une fierté augmentée, à savoir que nous pourrions être un peuple métissé, mais pas avec n'importe quoi car les Indiens d'Amérique c'est tellement plus ennoblissant qu'une racaille de voleurs anglo-saxonne et leurs artillerie colonisée commettante tout azimut.

  • Archives de Vigile Répondre

    8 novembre 2011

    J'ai adressé la suivante à ces gens:
    Despicable.
    You only look at one branch of the entire forest.
    By the way, i'm also native... french, British, Irish... and Scottish... (Yes... i'm a fucked up mix)
    I'm Canadian, but mostly "Québécois", has i see that not many people respect their country and speak both official languages.
    Now, who are you to hate us so much?
    By your words, you are closer to Hitler than we are...
    Have you only met mean and stupid people in your life?
    Do you know where you live?
    Do you know who you are?
    Do you believe in yourself?
    If the answer is yes...
    Despicable is my last word.
    Regards,
    (sic)
    La liberté d'expression, c'est bon pour tout le monde.
    Le respect d'autrui aussi...
    Il est évident que ces gens sont insécure...
    Sommes-nous une si grande menace?
    À quels cons furent-ils confrontés?
    Tant de questions...

  • Archives de Vigile Répondre

    6 novembre 2011


    Le cinglé en entrevue à Dutrisac. In english svp!
    http://www.985fm.ca/audioplayer.php?mp3=85876

  • Stéphane Russell Répondre

    5 novembre 2011

    Laissons donc se site grossir en popularité. De nos jours, les guerres se gagnent et se perdent dans les médias. Tout est question de perception médiatique. L'unité canadienne a la quote dans le monde et on nous perçoit comme les méchants, quand ce n'est pas qu'on nous perçoit comme "quelques arpents de neige" (en référence à Voltaire).
    J'en suis venu à comprendre que lorsque M. Sarkozy a qualifié le mouvement indépendantiste de sectaire, il faisait écho de propos tenus aussi par Frank Roosevelt au sujet du général de Gaule. En effet, ce dernier préférait voir une France socialiste et souveraine que de voir une France livrée sans défense au libre-marché international.
    Ceci nous éclaire sur le fait que ce n'est pas seulement le Canada qui veut garder le Québec fédéré, mais tout un mouvement international avec lui. Partout, ce mouvement contrôle les médias et garde l'opinion publique en sa faveur. Qui s'oppose à lui sera toujours dépeint comme un terroriste ou un nazi, Il les livrent aux caprices de la Bête, à tous ces gens avides de scandales médiatiques et de reportages sanguinaires, puis il s'en lave les mains, comme un Ponce-Pilate.
    C'est pourquoi il faut laisser ce site web raciste se gangréner au maximum. Nous devons gagner l'opinion internationale à notre cause. Prudence et diligeance sont de mises, tout ça est beaucoup plus grave et gros que nous le croyons.

  • Jean-François-le-Québécois Répondre

    5 novembre 2011

    «When Gilles Duceppe uses the word NATIONAL CULTURE he actually means KULTUR as in the Nazi theories of Adolf Hitler, and is more than likely based on Mein Kampf than anything else...».
    Mais qui sont ces sinistres imbéciles, et quelles espèces de drogues hallucinogènes consomment-ils pour inventer de telles monstruosités???
    Et, nous serions tous des métis, et la culture québécoise, surtout une sorte de dérivé de la culture autochtone?
    Qu'ils ne fassent que timidement avancer cette idée à quelqu'un comme Max Gros-Louis ou Conrad Sioui, juste pour voir leur réactions!
    Bon, là, on n'a plus affaire à quelqu'un qui fait juste des blagues de mauvais goût sur les French Pea Soups. C'est de l'incitation à la haine raciale!
    Quelqu'un sur Vigile, a-t-il contacté un avocat à ce sujet?

  • Archives de Vigile Répondre

    5 novembre 2011

    Je comprends très bien l'anglais, et en lisant le texte original, j'ai eu la nausée. Si j'écrivais la même chose sur les Juifs ou les noirs, j'irais directement en prison.
    Mais le pire, imaginez les milliers de personnes à travers le monde qui cherche "Quebec" dans Google et qui tombent là-dessus et qu'ils se font une idée du Québec avec ça!
    Pensez-y!

  • Ouhgo (Hugues) St-Pierre Répondre

    5 novembre 2011

    Il y a 2 ans, je publiais ici "Affronter Me Brent Tyler":

    "...si nous nous en sentons le courage, nous devons faire le nombre derrière Bourgeois quand il fait appel à notre solidarité : RRQ, MSQ, 28 octobre, 12 hres, 83 rue Saint-Paul O. Montréal. C’est le bureau de Me Brent Tyler, ce faux francophile qui se frotte aujourd’hui les mains dans cette lutte à finir contre le français. Mais il est coriace. Nous l’avions affronté au restaurant Bill Wong du boul. Décarie aux côtés de Galganov et autres racistes. Un des hommes du RRQ s’était fait rouler au sol par un fier-à-bras. Ce n’est plus de la philosophie ! Voilà peut-être un argument pour amener à la manif les piliers d’arénas qui ne s’intéressent pas à la « guerre » que nous livre Ottawa parce qu’ils la croient trop mononc !"
    Il y est fait mention de cet affrontement antérieur, au resto Bill Wong du boulevard Décarie. De plus, à la manif devant le bureau de Brent Tyler, un participant juché sur le bord de la fenêtre s'était fait lever les pieds à la vitesse de l'éclair par un policier vigilant...
    C'est dire que les volontaires pour "parader" chez ces racistes doivent être préparés à la guerre (pas une marche dans le parc). De vrais patriotes contre l'Empire.

  • Archives de Vigile Répondre

    4 novembre 2011

    Le RRQ pourrait mener une belle action patriotique en allant manifester devant la résidence du principal instigateur du site parkavenuegazette, le Colonel James Angus Brown.
    Les autorités politiques et judiciaires n'ont jusqu'a maintenant rien fait et ne feront rien. Je ne préconise pas la violence mais simplement une action pour leur faire savoir directement qu'ils ne pourront pas indéfiniment nous mépriser de la sorte.

  • Pablo Lugo Herrera Répondre

    4 novembre 2011

    Je ne suis pas surpris. Tant que nous n'avons pas un pays, nous allons recevoir des rapports Durham comme celui-ci! Agissons!Avec Herpes et Charest, nous n'aurons pas de cadeaux.

  • Ouhgo (Hugues) St-Pierre Répondre

    4 novembre 2011

    Oui, ils avaient appelé à la pendaison de Pauline Marois.
    Plainte avait été portée... par l'Assemblée nationale(?)... Devrait être assez facile de relever la suite de cette affaire.

  • Archives de Vigile Répondre

    4 novembre 2011

    Veuillez me pardonner ma distraction. Le lien dont je souhaiterais partager avec vous et que j’ai omis d’inclure dans mon intervention précédente est le : http://www.media-awareness.ca/francais/ressources/educatif/documents_accompagnement/haine_et_legislation.cfm

  • Archives de Vigile Répondre

    4 novembre 2011

    Laissons ses imbéciles dire leur connerie et couler leur propre botinne en béton. Il ont fait une manifestation l'ans dernier il n'était qu'une cinquantaine de moron dans la rue cette journée là et avait plus l'air d'une bande de parano.

  • Archives de Vigile Répondre

    4 novembre 2011


    Lorsque du tout petit monde s'énerve et s'échauffe, c'est
    parce que quelque chose d'important s'en vient et qui leur
    échappe. Ils ont le don d'irriter mais ne vont généralement pas loin. Cependant, nous avons raison de vouloir les mettre à leur place,avec une économie maximale de moyens ce qui veut dire sans trop s'en faire.
    Autrement, nous risquons de faire leur jeu.
    JRMS

  • Archives de Vigile Répondre

    4 novembre 2011

    Vous trouverez sur ce lien un document d'accompagnement portant sur la propagande haineuse et la législation en vertu du Code criminel et de la Charte canadienne des droits et libertés. Je ne suis pas certain à 100% mais je crois que les éditeurs de ce site ont déjà fait l'objet de plaintes dans le passé.

  • Archives de Vigile Répondre

    4 novembre 2011

    Ce texte gagnerait à être mieux traduit car dans sa forme actuelle, il est pratiquement inintelligible.
    Une fois traduit, je suggérerais d'en envoyer une copie à tous nos élus, aussi bien à Ottawa qu'à Québec.