Réponse à Robert Chevalier de Beauchesne

Tribune libre

Je ne vous cacherai pas que je réponds rarement à des interpellations de personnes anonymes. Ceci étant dit, votre propos est intéressant et mérite réflexion, d'autant plus que j'ai accompagné Bruno Vallée, juriste, dans un essai juridique sur la notion de Canadiens français.
Vous trouverez donc l'essentiel de ma pensée, à ce sujet, en lisant les trois textes publiés hier, le 14 juillet, sur le site Notre Histoire. Vous les retrouverez dans la section 3 intitulée « Essai en Droit ».
http://www.notrehistoire.net
Ces documents ont été remis directement, souvent de main à main, à des élites politiques souverainistes, entre autres, M. Jacques Parizeau, ainsi qu'à plusieurs autres politiciens, intellectuels, journalistes, etc... Mais en vain.
Il ne fait point de doute que notre propos dérangeait et remettait en question les fondements même de l'action souverainiste et surtout de la définition de l'identité québécoise. Depuis ce temps, nous assistons à la poursuite d'une dérive identitaire qui nous conduira je ne sais où.
J'espère que la lecture de ces documents saura vous interpeller.
Marie Mance Vallée


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12 commentaires

  • Archives de Vigile Répondre

    21 juillet 2009

    @ Gébé Tremblay (pseudo) alias Zach Gebello
    M. Archambault, personne ici, surtout pas moi, n’oserait vous dire que l’identité à laquelle vous-vous identifiez n’existe pas.
    Si vous y trouvez votre compte, c’est votre liberté la plus fondamentale.
    Par contre, nous nous attendons au même respect de votre part.

    Je ne dis pas que l'identité « canadienne française » à la quelle de manière propagandiste et prosélyte vous tenez à vous identifier, contre le nationalisme québécois, contre le PQ et le Bloc québécois, n'existe pas, n'a pas existé.
    Je dis que je la répudie, la combat, parce que sa promotion, celle que vous faites, sa résurgence, celle que vous mettez activement de l'avant, est canadianisatrice, ne sert que de prétexte pour enfoncer le PQ, diviser nos forces. Tout ce que tentent de provoquer les canadianisateurs.
    Ici, il est question de canadianiser la Québécitude en vertu d'une identité « canadienne française » qui n'est qu'artificielle, récente, qui oblitère l'antérieure française et qui impose le Label canadian dans le but de nous enfermer dans l'impasse canadian.
    Voir :
    Vigile-2009 07 21-Luc Archambault-@ Ghislain Lebel & aux pseudos Robert de Beauchesne, Gébé Tremblay, Zach Gebello-De la canadianisation du nationalisme québécois-Nous sommes le peuple souverain du Québec. Vive le Québec libre !
    Les canadianisateurs ont beau jeu et vous aussi...
    Le peuple souverain du Québec n'a jamais été appelé à trancher la question. Aussi vous avez beau jeu d'en faire une affaire personnelle. Alors qu'il s'agit bel et bien d'une affaire collective politique. Pour les canadianisateurs il importe au plus haut point de miner le ressort identitaire, en le discréditant quand il le peut, et depuis qu'il ne le peut plus en tentant de disqualifier le nationalisme civique. Celui qui s'applique sur son territoire. Celui qui s'applique sur tous les territoires souverains.
    Du reste, votre prosélytisme est bel et bien très loin d'être personnel. Il est impérialiste, partisan, activiste. Vous en faites une pérenne et constante présentation, exposition, publicisation. Cela participe à l'entreprise de déstabilisation de nos troupes et de distraction de l'essentiel à faire... Notre UNION... Cela participe à votre libelle anti-PQ, et anti-Bloc québécois. C'est gros comme un maison... et aussi invalide qu'improductif.
    En attendant que ce peuple fonde un État valide. En attendant que ce peuple existe dans l'État, ne reste que le fait de le dire, de le chanter, cela en pure perte. Il nous faut appeler le peuple souverain du Québec à se nommer dans l'État, comme étant l'Autorité suprême de l'État démocratique valide, et non le contraire, soumis à une Autorité suprême monarchique étatique autocratique usurpatrice. C'est l'État qui émane du peuple souverain sur son territoire national, et non l'inverse. Or aucun État valide n'émane du peuple souverain du Québec. Il doit être appelé ce peuple à invalider tout État qui n'émane pas nommément de lui et qui n'est pas reconnu légitime par l'expression de ses voix.
    Une fois cela nommément exprimé dans l'urne. Plus aucune discussion, division possible. Nous serons le peuple souverain du Québec de langue officielle française et majoritairement d'origine française, Autorité suprême de l'État devenu, puisque l'État lui sera subordonné et non l'inverse, lui, assujetti à des Actes dont il n'a jamais approuvé les termes, pire, des Actes que des pétitions ont répudiées à l'époque même.
    Voilà ce qu'il nous faut faire. Et pour cela il nous faut faire l'UNION de nos forces.

  • Archives de Vigile Répondre

    21 juillet 2009

    @ Gébé Tremblay (pseudo) alias Zach Gebello
    J'ose croire que nous ne vous prévalez pas de cette définition pour affirmer que les Québécois d'origine française sont des autochtones, des aborigènes.
    « Par communautés, peuples et nations autochtones, il faut entendre ceux qui, liés par une continuité historique avec les sociétés antérieures à l’invasion et avec les sociétés précoloniales qui se sont développées sur leurs territoires, se jugent distincts des autres éléments des sociétés qui dominent à présent sur leurs territoires ou parties de ces territoires. »
    « il faut entendre ceux qui, liés par une continuité historique avec les sociétés antérieures à l’invasion... »
    L'arrivée des Français était aussi une « invasion » qui trouvaient des nations autochtones « précoloniales »... La Nouvelle-France était une colonie française.
    Cela doublé à la définition française recoupant celle décrite par M. Gaston Boivin, on ne peut dire que l'ascendance des Québécois d'origine française se trouve là où ils sont nés. Elle est venue de France.
    @ M. Gaston Boivin
    Cela dit, oui, pour les Britanniques arrivant ici, ils pouvaient ici trouver des autochtones, en l'occurrence entre autres, nous, d'origines françaises, mais nous ne l'étions pas nous, pour nous, au regard des autochtones que nous avons trouvés ici avant la colonisation de leurs territoires. Les Premières nations, seuls vrais aborigènes autochtones d'Amérique du Nord.
    Non pas des Amérindien, ( Indien d'Amérique ) Ce ne sont pas des Indiens, point, d'Amérique ou pas, comme me le disait Max Gros Louis. Ce sont à la rigueur des Asiatiques du Nord, passés par le détroit de Behring...
    Nous ne sommes pas nés de la cuisse de Jupiter, comme le laisse entendre la définition grecque que vous citez. Nos parents étaient d'origine française, nous avions des parents...
    « Un autochtone est un un enfant né spontanément de la terre, sans parents. »
    Nos parents étaient d'origine française. Nous ne sommes pas des autochtones, des premiers arrivants.
    Mais cela ne nous empêche pas d'être selon le reste de la définition à laquelle nous ne pouvons correspondre... « des éléments non dominants de la société et [...] déterminés à conserver, développer et transmettre aux générations futures les territoires de leurs ancêtres et leur identité ethnique qui constituent la base de la continuité de leur existence en tant que peuple, conformément à leurs propres modèles culturels, à leurs institutions sociales et à leurs systèmes juridiques »... sauf que ce n'est pas en tant qu'autochtone, de concert avec les vrais autochtones des Premières nations, que nous voulons nous donner un État valide et légitime de l'expression de nos voix libres et souveraines, mais bien parce que nous sommes tout simplement un peuple démocratique et souverain, seul capable de nommément fonder un État démocratique valide, ce que n'est pas l'État du Canada.

  • Archives de Vigile Répondre

    18 juillet 2009

    La définition des peuples autochtones qui figure ci-après - tirée de l'étude effectuée par M. José Martínez Cobo Rapporteur spécial des Nations Unies - est souvent citée :
    "Par communautés, peuples et nations autochtones, il faut entendre ceux qui, liés par une continuité historique avec les sociétés antérieures à l'invasion et avec les sociétés précoloniales qui se sont développées sur leurs territoires, se jugent distincts des autres éléments des sociétés qui dominent à présent sur leurs territoires ou parties de ces territoires. Ce sont à présent des éléments non dominants de la société et ils sont déterminés à conserver, développer et transmettre aux générations futures les territoires de leurs ancêtres et leur identité ethnique qui constituent la base de la continuité de leur existence en tant que peuple, conformément à leurs propres modèles culturels, à leurs institutions sociales et à leurs systèmes juridiques."
    http://www.un.org/esa/socdev/unpfii/pfii/dpi2309fr.htm

  • Archives de Vigile Répondre

    18 juillet 2009

    Chère Hélène,
    J'ai une formation d'enseignante, mais de la vieille école, certains diraient d'une mère supérieure, alors vous ne pouvez savoir tout le plaisir que vous me faites en vous exprimant comme vous l'avez fait.
    Relayez, relayez chère Hélène. Il y a toutes sortes de manière de militer.
    À tous les matins, il faut être capable de se regarder dans le miroir sans avoir honte.
    Encore merci!
    Marie Mance Vallée

  • Archives de Vigile Répondre

    18 juillet 2009

    En effet, l'identité québécoise n'existe pas. Il s'agit plutôt de notre identité d'esclaves, qui a été reprise pas inconscience ou par incompétence sans doute, autrement, nous pourrions facilement penser que nous avons été victimes d'une imposture sans nom.
    Georges III, roi d'Angleterre, avait la responsabilité au moment de la Proclamation royale de 1763, de choisir le nom de la province dans laquelle les conquis devraient vivre dorénavant.
    Il choisit dans un premier temps, l'expression « Province of Canada », pour ensuite se raviser et décréter que ce serait « Province of Quebec ».
    Que s'est-il passé? Nous supposons qu'il fallait enlever de la psyché canadienne française l'idée du Canada. Autrement dit, dépersonnaliser, si vous voulez, le conquis pour mieux le soumettre. Et depuis 1867, croyant que nous étions bien dodus et prêts à rôtir, ils ont entrepris le travail à rebours, en tentant de nous replacer de gré ou de force dans ce Canada qu'ils nous ont usurpé.
    Source : Me Christian Néron
    Et depuis, ils nous ont usurpé non seulement le nom de notre pays, mais aussi le castor, la feuille d'érable, notre hymne national. Et avec la complicité des nôtres, notre Histoire, notre Culture et bientôt notre langue.
    Marie Mance Vallée

  • Gaston Boivin Répondre

    18 juillet 2009

    Monsieur Archambault, je ne veux pas ici discuter du bien-fondé ou non des propos que vous avancez à madame Vallée, mais plutôt de ceux que vous tenez à monsieur Gébé Tremblay relativement au terme autocthone: Dans Wiktionnaire, voici ce qu'on en dit en référant au dictionnaire de l'Académie française, huitième édition(1932-35)( certaines modifications ayant pu être faites par après):
    Étymologiquement, "du grec "Autokhthonos"(d'"Autos" (de soi-même) et de Khthon( la terre))."
    Autocthone y étant défini comme: "1) Une personne dont les ancêtres sont originaires du sol où elle habite, par opposition à colon, étranger, immigré. 2) (Spécialement)(Amérique)Une personne appartenant à une des races qui occupaient déjà le sol américain avant l'arrivée des Européens."
    À ce qui précède, la "Note" suivante, qui n'est sans importance et signification, est ajoutée:
    "Après avoir longtemps appelé "Indiens" les peuples appartenant aux ethnies qui occupaient déjà le sol américain avant l'arrivée des Européens, on s'est mis à utiliser couramment le terme "Autochtone" au milieu du XXe siècle. Le mot "Indien", en effet, était considéré comme à éviter, étant né de la méprise des Européens, qui, en mettant le pied en Amérique, croyaient être en Inde."
    "Toutefois, à strictement parler, le mot autochtone désigne simplement une personne née là où elle habite. Il s'oppose non seulement à Conquérant ou Colon au sens historique mais aussi à Étranger et Visiteur. Ainsi lorsque les Européens sont arrivés dans la vallée du Saint-Laurent, ils pouvaient dire effectivement qu'ils y avaient rencontré des autochtones, car ils étaient des visiteurs. Mais les Hurons ramenés par Jacques Cartier en France pouvaient tout aussi très bien appeler autochtones les Français qu'ils ont rencontrés à Versailles. Aujourd'hui, après plus d'une dizaine de génération, on pourait dire que les Canadiens-français installés au Québec sont également des autochtones par rapport aux touristes et aux visiteurs *( et par rapport aux conquérants anglais lorsque ces derniers sont arrivés chez-nous). Il faut dire que ce sens général d'autochtone est inusité( voire inconnu ) au Québec en raison du sens spécifique d'Amérindien que ce mot a pris dans l'usage.Le mot Amérindien, qui, contrairement à Indien et à Autochtone n'est grevé d'aucune ambiguité, a également été crée crée au milieu du XXe siècle pour distinguer les "Indiens d'Amérique" des "Indiens de l'Inde". Il demeure couramment utilisé aujourd'hui mais surtout lorsqu'on traîte de ces peuples du point de vue culturel et historique......."
    Pour terminer mon propos, tel que le rapporte Wikipédia, je voudrais citer cette très belle définition que donne la mythologie grecque de ce terme "autochtone":
    "Un autochtone est un un enfant né spontanément de la terre, sans parents."
    * = ajouté par l'auteur de ce commentaire et ne faisant pas partie du texte cité.

  • Archives de Vigile Répondre

    18 juillet 2009

    M. Archambault, personne ici, surtout pas moi, n'oserait vous dire que l'identité à laquelle vous-vous identifiez n'existe pas.
    Si vous y trouvez votre compte, c'est votre liberté la plus fondamentale.
    Parcontre, nous nous attendons au même respect de votre part.

  • Archives de Vigile Répondre

    17 juillet 2009

    @ Gébé Tremblay ( pseudo ) alias Zach Gebello
    N'existe pas une telle chose que des Autochtones français... du moins pas dans la langue française.
    Autochtone ( Antidote ) :
    Relatif aux personnes dont les ancêtres sont originaires du pays où elles se trouvent. Peuple autochtone.

    [Spécialement] [Québec] Relatif aux Amérindiens. Communauté, groupe, population autochtone. Revendications autochtones.

    [GÉOLOGIE] Qui n’a pas subi de déplacement latéral. Un terrain autochtone.

    La majorité des Québécois(es) sont d'ascendance française, même métissée. Aussi, comme moi, ils et elles peuvent dire que leurs ancêtres « ne sont pas originaires du pays où nous nous trouvons ».
    Mais oui, les Québécois devraient toutes et tous signer cette requête en vertu justement de leur ascendance française. Ce qui n'en fait justement pas des autochtones.
    Nous sommes autochtones seulement pour les Anglais arrivés ici après nous. Puisque pour eux, nous sommes là avant eux. Mais cela est faux de notre point de vue à moins que l'Histoire du monde commence à notre arrivée ici. Comme le monde commence bien avant, nous ne pouvons être des autochtones français, c'est un non-sens à sa face même...
    @ Marie Mance Vallée
    Nous ne sommes pas l'un des peuples fondateurs de l'État du Canada. Pour l'être, il aurait fallu que nous ayons été nommément consultés à cet égard. Ce qui n'a pas été le cas et qui n'est toujours pas le cas. L'État du Canada et les termes de sa Constitution et sa Constitution elle-même n'ont jamais obtenu le OUI de nos voix libres et souveraines qui nous ferait être co-fondateur d'un État légitime et valide auquel nous appartiendrions.
    Tenter, via le statut d'autochtone reconnu par telle invalide Constitution, de nous faire reconnaître comme capable de faire valoir des droits sur un territoire donné, comme autant de Réserves autochtones, n'est pas souhaitable. Telle Constitution est invalide et illégitime sur le territoire national du Québec. POINT. Il nous faut plutôt appeler le peuple à invalider la légalité illégitime de tout État qui ne se serait pas nommément soumis, sur notre territoire national à nos l'expression de nos voix.

  • Archives de Vigile Répondre

    17 juillet 2009

    Madame Marie Mance Vallée,
    Permettez-moi de vous remercier pour la création de ces précieux documents.Quelle somme de travail ! D'un intérêt extraordinaire pour moi.
    68 pages photocopiées que je vais lire et relire afin de m'imprégner de mon histoire encore davantage, qu'elle me sorte par les pores de la peau ! Je vais les faire connaître ces pages... Je déplore toujours que Vigile soit si peu connu. J'en parle et j'en parle. Merci.
    L'intendant Hocquart de la Nouvelle-France disait en parlant de nous :
    "Ils sont naturellement indociles"...J'adore !
    Il existe un tas de synonymes à indocile : entêté, indiscipliné, désobéissant, insubordonné, rebelle, rétif, récalcitrant, révolté, insoumis...
    Mais il y a aussi : fermé, passif, inerte. Avons-nous laissé tomber tous les autres ?

  • Archives de Vigile Répondre

    17 juillet 2009

    Il faudra bien un jour, et avant qu'il ne soit trop tard pour les authentiques fondateurs de ce pays et de l'Amérique du Nord, changer notre discours. Sortir de notre prison québécoise et de ses lieux communs. Vérifier et s'intéresser à d'autres alternatives. À moins que les « de souche » se soient résignés à devenir une communauté culturelle au même titre que les autres communautés. D'assister joyeusement et dans l'enthousiasme à son propre génocide culturel.
    Nous voyons bien dans le moment que le mouvement souverainiste a atteint son niveau d'incompétence. Qu'il est face au mur de la nation civique multiculturelle-interculturelle-ouverte-tolérante, et bientôt bilingue officiellement, avant l'anglicisation définitive. D'ailleurs, nous n'avons pas de leçons à recevoir de qui que ce soit au sujet de l'intégration des immigrants. Depuis fort longtemps, nous les avons toujours intégrés et ils s'intégraient pour la plupart.
    M. Tremblay vous aurez compris que cette requête est une alternative. J'ai publié ces documents sur Notre Histoire justement afin de susciter la réflexion.

    Des années de combat et de militantisme finissent par user. Je ne puis maintenant discuter des heures et des heures afin de convaincre.
    Appropriez-vous ces idées; faites-les, vôtres. C'est le but de ma démarche.
    Est-il trop tard??? Je ne sais pas. Mais ce que je sais cependant, c'est que nous sommes en danger plus que jamais depuis la conquête en raison de la mondialisation.
    En attendant un chef charismatique et avec de nouvelles idées, nous pouvons au moins réfléchir et voir ce qu'il y aurait lieu de faire.
    Marie Mance Vallée

  • Archives de Vigile Répondre

    17 juillet 2009

    Il faudrait que tous les Autochtones français du Québec (Canadien français ou Québécois de souche) la signent cette requête !

  • Ouhgo (Hugues) St-Pierre Répondre

    16 juillet 2009

    Madame MMV,
    Il est établi depuis le début de Vigile.net que des citoyens pas du tout anonymes, s'identifiant en bonne et due forme au site, peuvent choisir de signer leur corresponsance d'un pseudonyme pour ne pas étendre à toute leur famille la responsabilité de leur propos.
    Nonobstant votre dédain pour ce procédé séculaire et tout à fait respectable, souffrez, Madame, que nous nous prévalions de la liberté que nous offre le site de publier quand même sous vos lettres les répliques pertinentes que nous rédigerons de la manière la plus respectueuse possible.