J’ai l’impression de vivre dans une société qui évolue en fonction de deux tendances qui forgent nos acquis. D’un côté, il y a les valeurs nationales et conservatrices qu’on associe à la famille, l’éducation, la langue, le genre de vie, la culture et les investigations. De l’autre, on observe une volonté à revoir ces critères au nom d’une unicité propre au mondialisme. Pour conséquence, l’idée du dépassement de soi servant à soutenir la société civile devient quelque chose d'obsolète.
Reiner Füellmich et Joe Biden expriment bien ces deux orientations. Vous le savez certainement. Reiner Füellmich est un avocat allemand dont le courage et la passion nous permettent de croire que nous avons encore la chance de vivre dans un système de lois et de droits qui peut remettre en question les rouages sanitaires. Pour cause, dans une entrevue du 18 avril, menée par Stéphane Blais, le cofondateur de la Fondation pour la défense des droits et des libertés du peuple (FDDLP) et l’avocat Dominic Desjarlais, Füellmich accuse l’Organisation mondiale de la santé et le virologue Christian Drosten, celui qui est derrière l’usage des tests TAAN (PCR), de «crime contre l’humanité». Parmi les nombreux éléments qu’il désire présenter devant la Justice, il y a la thèse de doctorat de Christian Drosten qui est introuvable et l’achat d’actions boursières de pharmaceutiques par les médias «mainstream». Est-ce que son travail mettra pour autant un terme aux procédures sanitaires qui font ressembler notre espace public à un terrain de jeu pour des terroristes 2.0?
De l’autre côté, il y a Joe Biden. Le traitement des allocutions du nouveau président des États-Unis, qui sont transmises par les grands médias, nous laisse l’impression que les journalistes sabordent l’information. Ainsi, le 15 avril, pendant que Biden accusait la Russie d’être intervenue dans les élections de 2020 à l’avantage de Donald Trump, personne n’a profité du moment pour traiter des tensions entre la Russie et l’Ukraine, un pays invité à joindre l’OTAN. Mais encore, on évite d’affirmer que lorsqu’il occupait la vice-présidence du gouvernement de Barack Obama, Joe Biden a menacé de retirer un prêt de 1 G$ au président de l’Ukraine, si Viktor Shokin, le procureur qui enquêtait sur Burisma Holdings, une entreprise pétrolière, n’était pas congédié? Rien! Pas même une petite élocution concernant Hunter Biden, le fils de Joe. Le 2 décembre 2014, il siégeait dans Burisma Holdings tandis que l’oncle Sam plaçait Nathalie Jaresko au poste de ministre des Finances de l’Ukraine. La même dame qui a œuvré au sein de la firme d’investissement Horizon capital, soutenue par l’USAID, une ONG chapeautée par la CIA et le Pentagone.
Israël
Il y a aussi Israël... Avant de visiter le Proche-Orient, je dois ajouter que, comme pour vous, mes acquis sont liés à mon milieu de vie, dont des parents politisés qui commentaient l’actualité sans se gêner. Ces personnes qui sont certainement la cause de ma difficulté à me prononcer sur les récents conflits palestino-israéliens. C’est comme ça. Dès mon jeune âge, j’ai été témoin de discussions concernant des Juifs. Assez pour que je puisse plus tard constater l’apport de ces derniers à l’art, la philosophie et la science et comprendre que derrière cette volonté à se surpasser, il y a un peuple qui est resté fidèle à ses acquis. Bref, un modèle que j’aurais souhaité m’inspirer pour construire un pays sur le dépassement, plutôt que de trouver des raisons pour expliquer le déclin du Québec.
Aimer ne veut pas dire pour autant qu’on doit accepter la tendance des médias à divaguer. En 2001, des entreprises israéliennes venaient en «aide à l’armée géorgienne» pour la «préparer à une guerre contre la Russie à travers différentes tractations d’armes, d’entraînements d’unités d’infanterie et des conseils sur la sécurité […] d’observations et de renseignements»[1]. Par la suite, en août 2008, ce même pays s’est mêlé du conflit entre la Géorgie et la Russie. Enfin, en avril, Israël échangeait des tirs d’obus avec Gaza et l’Iran, un copain de la Russie. Au-delà de ces interventions, il faut mentionner qu’Israël est un espion redoutable. Assez pour ajouter que si la Russie s’est immiscée lors dans les élections de 2020, comme l’a affirmé Joe Biden, Israël devait certainement en être informé.
Il faut lire La face cachée du 11 septembre (2004) du journaliste et essayiste Éric Laurent pour comprendre l’ampleur de la situation. Entre autres, il mentionne qu’un appel téléphonique fait au 911, le 11 septembre 2001, a profité à l’arrestation de 5 jeunes qui semblaient se réjouir de l’embrasement des tours jumelles (WTC). Ils furent retrouvés au New Jersey par des policiers, dans une camionnette d’Urban Moving, une entreprise de déménagement. Il s’agissait de «cinq hommes [...] âgés de 22 à 27 ans», dont «plusieurs [...] travaillaient pour le Mossad», un service de renseignement israélien. Pour ce qui est du propriétaire de la compagnie, il a fui vers Israël après avoir été questionné par le FBI. Par la suite, en mars 2002, on apprit qu’«Urban Moving [était] une couverture pour les opérations du Mossad...». Éric Laurent ajoute qu’«avant le 11 septembre, 140 jeunes citoyens israéliens ont été détenus ou arrêtés pour espionnage. Après le 11 septembre, 60 autres [ont également été appréhendés] pour les mêmes motifs». Le journaliste exhibe aussi «un rapport confidentiel confirmant l'existence d'un réseau d'espionnage» composé «d'une centaine d'agents israéliens, certains se présentant comme étudiants aux beaux-arts, d'autres étant liés à des sociétés high-tech israéliennes».
Rien qui soit surprenant, puisque dès 1993, la vigie d’Israël a été grandement facilitée par une entente entre Amdocs et Bill Clinton. Amdocs est une entreprise israélienne de haute technologie. En 2004, elle possédait des contrats avec les «vingt-cinq plus grandes compagnies de téléphone américaines» et pouvait «transférer les conversations de la Maison-Blanche pratiquement en temps réel à Tel-Aviv». Ainsi, presque chaque appel et facturation effectués aux États-Unis ont été traités en Israël par Amdocs. Assez pour que les services secrets militaires de l’époque puissent affirmer qu’Israël serait derrière des «opérations d'espionnage les plus agressives menées par un pays allié». La simple confirmation d’un rapport de 1999, «avertissant que des enregistrements de communications téléphoniques passaient entre des mains étrangères, en particulier Israël», selon l’enquêteur Cari Cameron.
Amdocs fut aussi un bon copain de Bell, l’entreprise de télécommunication qui vient de mettre la main sur la Formule 1. Sans oublier Nortel qui a été présentée comme une opportunité de placement par des journalistes d’affaires, avant l’éclatement de la bulle techno en l’an 2000 qui provoqua sa faillite en 2011. Amdocs est aussi un associé corporatif de Verint, une entreprise israélienne née de Converse Infosys, qui fraye avec les services de renseignements et se spécialiste dans la reconnaissance faciale et vocale. La même entreprise qui a installé des caméras dans le métro de Montréal en 2006, un dossier décortiqué par Benoît Perron (1958-2015) le 21 novembre 2006 (Verint (1/2)). Ajoutons l’accord de cybersécurité qui fut signé entre Hydro-Québec et Israel Electric Corporation (IEC), le 22 mai 2017. Un contrat gardé secret, qui placerait la «société d’État sous le parapluie du National Cyber Security Authority» et les «services de renseignement israéliens»[2]. Enfin, nous retrouvons «Awz Ventures [...] basée au Canada pour l'investissement dans les technologies de cybersécurité, de renseignement et de sécurité physique basées sur l'intelligence artificielle d'Israël, un leader mondial dans ces secteurs» où siège «Stephen Harper», un camarade de «l'Initiative des amis d'Israël [...] Stockwell Day [...], l'ancien directeur de la CIA James Woolsey [...] l'ancien directeur général du MI5 Stella Rimington [...] et des cadres supérieurs d'agences mondiales de sécurité et de renseignement (Mossad, ISA, CIA, FBI, MI5, CSIS)»[3].
Ils transforment notre comportement
J’aime les Juifs. En même temps, je reconnais qu’ils sont derrière des sociétés de technologies numériques qui transforment nos acquis et influencent l’opinion publique. Parmi les exemples, nous retrouvons l’Anti-defamation league (ADL) qui a été fondé en 1913 pour combattre l’antisémitisme, avant d’intégrer d’autres groupes, dits racisés et religieux. Au sein de ces derniers, il y a le Centre de prévention à la radicalisation menant à la violence (CPRMV), un semblant d'organe de propagande islamique qui fut présenté dans Le guide de la haine au Québec de Culture et Société (NOMOS).
Il y a aussi les campagnes de pleurnichages identitaires et genrés qu’on nous sert au quotidien, pour nous répéter que les Québécois exercent un racisme systémique. Pas du bien bon monde qui se relève les manches pour la collectivité, mais des personnes dont le refus du réel frôle la psychose. Il faut le répéter à chaque occasion: les Canadiens français sont victimes de ce racisme systémique depuis l’invasion britannique de 1760, et personne parmi les nombrils chasseurs de têtes semble avoir les acquis pour aborder le dossier avec objectivité. Au niveau de l’éducation, des pédagogues se censurent pour éviter de provoquer des crises d’hystérie chez des étudiants. Des politiciens confondent l’exercice du pouvoir avec la promotion de délires identitaires, genrés et sanitaires. Ajoutons que cela répond aux pressions d’une gauche qui désire revoir l’humanité en fonction d’une pensée unique s’harmonisant au mondialisme.
De belles paroles pour cacher une réappropriation du maccartisme républicain des années 50 qui a profité à la censure de nombreux artistes, journalistes, écrivains et intellectuels, en les associant à des communistes. C’est devenu lourd de sens au point d’avoir l’impression d’être plongé dans une série d’Hollywood, genre Au-delà du mouton, servant à façonner les idées. Radio! Télévision! Publicité! Journaux! Tous sont au travail pour mépriser, interdire, censurer et vomir sur le Québec et ses acquis nationaux.
La présentation par Benoît Perron de Verint, en 2006, a été suivie par des accusations d’antisémitisme. La conférence d’Éric Laurent qui devait se tenir au Salon du livre de Montréal de 2004 a été annulée suite aux pressions de membres de la communauté juive. De son côté, la vidéo Entrevue avec l’avocat allemand Reiner Füellmich a connu un sort plutôt étrange. Pas de muselage avoué affiché à l’écran. Seulement une image gelée, comme si Youtube avait trouvé le moyen de ne pas être accusé de censurer un homme de loi. Plus récemment, en avril dernier, Alexandre Leduc, le député de Québec solidaire (QS), a décidé que les indésirables étaient celles et ceux qui allaient manifester le premier mai contre les mesures sanitaires. Pour le Collectif antiraciste décolonial de QS, le quasi-alter ego du CPRMV, ses membres ont appuyé le racisme congénital de Amir Attaran de l’Université d’Ottawa et intégré Paul Saint-Pierre Plamondon et Pascal Bérubé, du Parti Québécois (PQ), a la «fachosphère». Enfin, pour le mouvement Liberté Oppression réunissant en son aile la député Catherine Dorion de QS et Boufeldja Benabdallah, du Centre culturel islamique de Québec, ce sont les médias, plus particulièrement, même si ce n’est pas clairement mentionné, ceux qui défendent les acquis nationaux du Québec sous le parapluie de Québecor, fleuron québécois des télécommunications que Bell, le vieux copain de Amdocs, aimerait voir disparaître.
Argent, guerre, religion et imposture
Lorsque nous devenons le produit de pressions qu’on exerce contre nous, on se condamne à servir un ordre nouveau qui tend à organiser le monde en fonction de l’autre. De là, nous devons apprendre à nous taire, à abdiquer à un traitement de l’information honteux, à l’implosion d’une culture sans substance, à un déclin de l’enseignement, à l’anglicisation, à remettre en question la notion de nation et celle du droit d’opinion, au nom du mondialisme.
Et pendant que les chiens jappent, des drames imprévisibles modifient nos acquis et notre comportement. Depuis les 20 dernières années, les attaques du 11 septembre 2001 contre le WTC et la gestion sanitaire de la COVID ont limité les droits et libertés des citoyens et imposent des mesures de sécurité contraignantes. Pour conséquence, aujourd’hui, nous subissons les effets de ces restrictions sur notre comportement. Je pense ici à l’empathie qui disparaît, pendant qu’on place à l’ombre de l’information les personnes qui se mettent au service de la population civile. Ajoutons qu’en 2001, les attaques contre le WTC ont détruit près de 3000 dossiers d’investigations concernant Wall Street. Autant de causes qui n’ont pas eu d’écho, au grand bonheur de criminels en cravate qui pouvaient être confrontés à la Securities and Exchange Commission (SEC). Avec la COVID, le GAFAM s’enrichit. Parallèlement, nous vivons une croissance de fraudes qui passe par les réseaux informatiques, pendant que la totalité des pays occidentaux agit comme des complices en n'offrant aucune solution pour mettre un terme à ces vols et extorsions. Il faut aussi arrêter de croire que les Juifs sont tous des exemples à suivre. En avril 2001, un membre de la mafia du Moyen-Orient, qui utilisait de l’équipement de Converse Infosys (Verint), a été accusé de trafic de cocaïne et d’Extasy. Le 31 juillet 2006, le fondateur de Converse Infosys, Kobi Alexander, a été inculpé de complot et de multiples fraudes par le Département de la justice des États-Unis.
Mais encore, lorsque j’ai regardé Entrevue avec l’avocat allemand Reiner Füellmich, je me suis mis à croire qu’une guerre pourrait faire en sorte que l’homme de loi ne puisse interroger, devant la Justice, des organismes dits scientifiques, des politiciens et des médias qui se réunissent autour des mesures sanitaires. Suis-je la victime d’un délire? Le conflit palestino-israélien qui a marqué l’actualité est moins une histoire d’obus, de missiles, de bombes et de morts que d’acquis. Alors que la Palestine vit un effritement de ces derniers depuis plusieurs décennies, Israël résiste aux intrusions au nom de ses racines, sa religion et des prophéties qui annoncent la venue du Messie. Il faut le répéter. Cette venue est conditionnelle à la reconstruction du temple de Salomon où se retrouve la mosquée al-Aqsa depuis près de 13 siècles. Ajoutons qu’il faut aussi une guerre pour que le Messie puisse occuper le trône du roi des Juifs. Cela implique qu’un accord de paix entre Gaza et Israël va à l’encontre de cet avènement messianique.
Alors que les médias évitent le dossier, comme s’il fuyait la religion, depuis avril dernier les mêmes institutions s’efforcent de communiquer l’idée que les «complotistes» forment une secte dangereuse. Est-ce un passage obligé pour nous faire croire que les chrétiens seraient des potentielles menaces à la sécurité nationale? Après qu’on ait lié les acquis occidentaux au racisme, à la violence et à un comportement d’idiots qui sont contre les mesures sanitaires, il faut cette fois ajouter les déviances du christianisme qui permet de placer les chrétiens sur la liste des personnes à censurer, attaquer et mépriser. En fait, c’est comme s’ils devaient balayer tout ce qui nuit à un mondialisme messianique répondant essentiellement au judaïsme, en discréditant les fervents du Christ.
Comprenons que ces derniers associent le Messie des Juifs à l’imposteur qui s’assoit dans le Temple de Dieu. Mais encore, il faut éviter que ces mêmes indésirables puissent nous rappeler que ce qui a causé la chute d’Israël et de Roboam, le fils héritier de Salomon, relève du jugement de Dieu en réponse à sa pratique du culte d’Astarté, la déesse phénicienne de l’amour et de la guerre liée aux «dieux précipités». Une appellation joviale des anges précipités (démons).
Est-ce un cheval qui coure ou Himmler qui revient?
Après plus de 14 mois de COVID, certains croient en des liens entre la pandémie et le Cheval blanc de l’Apocalypse 6 qui précède une guerre, une famine et une peste. La raison est simple. Son chevalier porte une couronne qu’ils lient au virus couronné (coronavirus). Sans vouloir encourager leur association, je dois ajouter que le même chevalier transporte un arc. Nous en retrouvons un dans le logo du Forum économique mondial (FEM), du plus influent groupe technocratique et économique de la planète qui rallie autant des politiciens que des journalistes. Ce dernier croise trois lettres «O». Cette quinzième lettre (15) est associée au numéro 6 (15=1+5) par les amateurs de kabbale et de numérologie, ce qui donne le chiffre 666.
Ce nombre est rattaché à une marque pour acheter et vendre, en remplacement de l’argent liquide qui sera imposé par l’imposteur qui prendra la tête d’une gouvernance mondiale post-COVID. Est-ce un hasard, un jeu ou une façon de souligner les intentions du FEM? En mars 2020, on a prétexté la COVID pour interdire l’usage de la monnaie papier dans de nombreux commerces, dont la SAQ, à un moment de notre histoire où nous avons la capacité de lier la gestion des transactions numériques planétaires, présentée il y a près de 2000 ans, à une technologie de pointe. Cela veut-il dire que des entreprises électro-technologiques seraient impliquées dans ce scénario? Klaus Schwab, le fondateur du FEM, personnifie le mieux cette remise en question des acquis nationaux qui en découle. Schwab est un ingénieur et économiste qui s’intéresse au transhumanisme et aux nouvelles technologies. Il est aussi l’auteur de ces deux livres: La quatrième révolution industrielle (2017) et Covid-19: La grande réinitialisation (2020). Le premier fut lu et commenté par le premier ministre François Legault en juillet 2017 alors que le deuxième inspire Joe Biden, Boris Johnson et Justin Trudeau.
Pendant que notre monde se fracture au nom d’une unicité servant à faire taire les rares héritiers des acquis occidentaux, ces trois Bufos nous préparent la transformation de l'inné. Le 3 mai, Isabelle de Conscience du peuple a traité du programme Horizons[4]. du gouvernement canadien. Notre bon pays se colle au transhumanisme, à l’utilisation d’implants biométriques, à la création de chimères et la manipulation de l’ADN humain cautionnée par l’idée d’un être augmenté.
Êtes-vous prêts à applaudir le progrès technologique? Vous savez, mes acquis font aussi en sorte que j’ai tendance à ne pas faire la différence entre des oligarques et les personnes qui tentent de s’édifier socialement en tenant la main de Heinrich Himmler (1900-1945), le chef des SS et organisateur du Troisième Reich, pour nous rappeler l’importance d’interdire aux non-vaccinés l’accès aux restaurants, aux salles de cinémas, de théâtres et de spectacles. Ces personnes qui se plaisent à ajouter que si Israël le fait, c’est bon pour nous, en oubliant de préciser que ces mesures furent imposées aux juifs par les nazis. À l’époque, on utilisait l’étoile jaune pour les marquer. Aujourd’hui, on fait apparaître un code-barre RN sur l’écran de téléphones dits intelligents.
On ne cesse d’apprendre. Il y a quelques années, j’ai su que durant la Deuxième Guerre mondiale, des connaissances de ma famille hébergeaient des Juifs en Suisse, malgré les visites occasionnelles de soldats allemands. Aujourd’hui on espère qu’un avocat pourra rejouer le procès de Nuremberg et que et la FDDLP sera là, comme un gardien de la Justice. En d’autres mots, lorsque nos acquis sont devenus des accessoires d’accompagnement de la bêtise, on ne peut que trouver normal de se relever les manches pour agir avant qu’il soit trop tard. En espionnant des groupes et individus qui veulent que nous disparaissions? C’est une des fonctions inévitables des pays souverains qui désirent s’émanciper à l’abri des menaces.
Références
- ^ PESANT André, Le Monde cette semaine, CIBL FM, le 17 août 2008. L’animateur s’inspire du texte War in Georgia: Israeli connexion extrait du site internet www.ynetnews.com.
- ^ https://vigile.quebec/articles/relations-publiques
- ^ Isabelle, Des «gros joueurs», de très gros joueurs implantés au Canada, Conscience du peuple, le 17 mai 2021. Extrait d’un texte de la Société Radio Canada.
- ^ Isabelle, Voici le document que j’ai analysé, Conscience du peuple, le 3 mai 2021.
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