Pierre Falardeau avait bien raison....

...nous sommes des colonisés, bien soumis à la philosophie de leurs maîtres.

Tribune libre


Pierre Falardeau avait bien raison, nous sommes des colonisés, bien soumis à la philosophie de leurs maîtres.
En réponse à l’article : « Pour un sommet international annuel des pays sur la voie de l’indépendance. »
Bonjour Monsieur Labrie,
Je ne doute pas de votre sincérité à la cause et de vos bonnes intentions, mais, comme vous le mentionne monsieur Cloutier… vous rêvez en couleur.
Il n’y a actuellement aucune volonté politique de la part de nos politiciens à réaliser l’Indépendance du Québec.
Et, de toute manière, il est trop tard pour les discours, maintenant il faut agir et vite.
Le Canada est fini et détesté à travers le monde, il faut cesser d’avoir peur, même s’il est vrai que les changements font peur. Moi-même j’avoue avoir un peu peur de l’inconnu…
Le Canada va couler, soit on coule avec lui ou soit on se construit une arche.
Une arche qui nous sauvera de la tempête des représailles que subiront bientôt les Anglos-sionistes pour toutes les guerres injustes, l’esclavage et les violations de domicile qu’ils ont faits à travers bien des pays du monde, et ni nous ni personne ne peut rien y faire. Qu’on soit prêt ou non, qu’on le veuille ou non de grands bouleversements économiques et géopolitiques mondiales sont en train de se produire.
On doit cesser d’agir en adolescent rêvasseur, on doit agir en adulte responsable, on doit affronter nos peurs et prendre le destin de notre nation en main!
Je dirais même que c’est une obligation, un devoir!
Nous n’avons plus le choix et notre courage en sera grandement récompensé, on doit faire notre sortie dans le grand monde (à l’international) et en français, car c’est nous, c’est ce que nous sommes. La République française d’Amérique deviendra un des pays les plus appréciés et des plus aimés au monde et pour cela, nous n’avons qu’à être nous-mêmes. Nous n’avons qu’à affirmer nos désirs de liberté, d’égalité, de fraternité et de mettre en application la philosophie française internationale et sa grande diplomatie perdue.
Bien que nous ne soyons pas très populeux, on dit que l’on a souvent besoin d’un plus petit que soit, et c’est bien vrai. Exemple, la Chine la plus grande puissance militaire actuellement, et la plus grande économie mondiale, a besoin de nous, de notre différence par rapport à la philosophie anglo-sioniste.
Effectivement, la Chine n’a pas besoin de pétrole pour le moment, elle peut avoir tout le pétrole qu’elle désire au Moyen-Orient, en Afrique et en Amérique du Sud. Il y en a trop d’exploitation de pétrole actuellement dans le monde et ça fait descendre les prix. Encore plus, ferait chuter les prix davantage, car il y aurait trop d’offres par rapport à la demande.
Comment se fait-il qu’aucun de nos dirigeants de surcroît avec les salaires qu’ils gagnent ne soit apte à décrocher un téléphone et commander du pétrole?
Ils ne sont pas capables, ils préfèrent laisser les oligarchies s’occuper de ça. Et, ils osent dire qu’ils sont les représentants du peuple québécois.
Quoi qu’il en soit, si les marchés boursiers n’étaient pas manipulés par certaines devises et les importations contrôlées par les cartels oligarchiens qui en ont le monopole, de surcroît, si nous n’étions pas surtaxés, surtout sur l’essence, et que de plus, on raffinait ici à Montréal, dans les installations de Shell, en nationalisant non seulement on créerait 500 emplois, mais de plus, l’essence nous coûterait environ 0.50 le litre à la pompe.
Alors, pourquoi s’embarquer dans une aventure pareille, pourquoi polluer le Québec avec l’exploitation du pétrole, qui de surcroît, on le sait, ces compagnies ne payent jamais leurs redevances (combien toutes les minières nous ont versé durant les 20 dernières années?) et non seulement ça ne nous rapportera rien, mais en plus, on devra payer avec nos taxes et impôts leurs installations, routes, etcetera. Nos gouvernements actuels les payent pour nous voler nos ressources naturelles et nous polluer et en plus, ils payent Notre électricité moins cher que nous.
Les oligarchies ne sont pas de bons samaritains, lorsqu'ils font quelque chose c'est parce que ça rapporte.
Et, cette vente que Thierry Vandal a faite a ses amis sans aucun référendum, après qu’ils aient découvert qu’il y avait du pétrole? De surcroît, après nous avoir fait payer 8 millions en recherche, c’est illégal! Ils essaient de nous faire croire qu’ils ne le savaient pas en plus, ils nous prennent vraiment pour des idiots.
Ces ressources n’appartiennent ni à monsieur Vandal ni à monsieur Charest, ces ressources m’appartiennent et appartiennent aux Québécois, ça n’est pas leur bien personnel. Ils n’ont aucun droit de les donner à qui que ce soit! J’ai bien dit donner, puisque c’est nous qui avons payé leur acquisition avec notre argent de la Caisse de dépôt.
Ils sont les administrateurs de nos biens et non leurs propriétaires!!
Vous désirez créer de l’emploi et des revenus à l’État, pas de problèmes, les choix sont infinis, comme par exemple avoir une carte de crédit nationale, pourquoi donner notre argent aux grandes banques? Les milliards de profits générés pourraient nous permettre de nous aider à financer l’éducation et la santé tout en réduisant nos taxes et impôts. On pourrait même nationaliser une banque qui pourrait nous générer des millions.
En passant, où vont les millions des Caisses Populaires?
Non seulement, on ne polluerait pas le Québec, mais en plus on ferait beaucoup plus d’argent et on créerait beaucoup plus d’emplois avec ça, qu’avec de fausses promesses de redevances!
Mais, ce genre de solutions, c’est trop simple, ce n’est pas assez compliqué pour nos politiciens qui semblent actuellement, avoir un quotient intellectuel plus bas que la moyenne de la population. Tout est une question de volonté politique.
Pour revenir à la Chine, elle a besoin de nous, non pour du pétrole, mais pour les aider à trouver des solutions, de nouvelles énergies pour régler leurs problèmes de pollutions, ça c’est urgent pour la Chine, et le génie québécois trouvera des solutions.
Pierre Falardeau avait bien raison, nous sommes des colonisés, bien soumis à la philosophie de leurs maîtres. Si les Anglo-sionistes exploitent le pétrole, on doit exploiter le pétrole?
Les Anglo-sionistes font du capitaliste sauvage, ils siphonnent agressivement toutes les ressources que la terre porte en son sein en ne pensant qu’à l’immédiat, comme des enfants irresponsables, sans penser aux conséquences futures, on doit donc le faire aussi?
Soyons nous-mêmes, pensons comme nous-mêmes, lâchons la philosophie anglo-sioniste de nos maîtres de l’occupation, pour faire renaître nos philosophies françaises et amérindiennes du respect et de l’amour de la terre qui nous nourrit chaque jour.
Quoi qu’il en soit, lorsqu’on veut faire quelque chose on arrête de dire qu’on veut le faire et on le fait!
Arrêtons de dire qu’on veut réaliser l’indépendance… réalisons là!
Aux plumes citoyens, la plume est devenue une arme dans cette ère des communications, c’est pour cette raison qu’on nous censure. Et, si le comte de Frontenac avait répondu par la bouche de ses canons à l’invasion anglaise et leur avait infligé toute une raclée, nous, ses descendants, c’est par la bouche de nos mots et de notre diplomatie internationale que nous répondrons à l‘occupation anglaise.
C’est fini le niaisage, le bla-bla-bla, Agissons!
C'est assez, debout citoyens!
Je sais que je prends un risque en écrivant tout ceci, ayant déjà eu plusieurs menaces de mort, etcetera, étant considérée comme une dangereuse séparatissssss, une vraie, mais ai-je vraiment le choix? Je dois bien avoir du courage pour ceux qui n’en ont pas et pour ceux qui préfèrent ne rien voir.
J’aime mon peuple et je ne les laisserai pas faire sans rien dire ni rien faire.
De toute manière, qu’ils ne s’avisent pas de toucher à un seul de mes cheveux, qu’il ne m’arrive pas aucun accident, aucun cancer, aucun suicide, ni aucun problème de santé, d’ordre financier ou d’ordre juridique, car mes nouveaux amis des droits de l’homme à l’international, en Chine, en Iran et en Russie, entre autres, savent qui ils sont et ils veilleront à ce que justice soit faite avec l’aide des organisations des droits de l’homme et à ce qu’il ne leur reste même plus une tasse pour prendre le thé.
J’ai le droit de m’exprimer en tant que citoyenne, j’ai le droit à la liberté d’expression et le droit d’avoir un point de vue politique personnel dans une démocratie!
Si ce n'est pas le cas, nous vivons alors sous une dictature, et l'ONU ne lésine pas avec les dictateurs, comme Moubarack, Ben Ali, etc. Tous leurs biens sont saisis à travers le monde.
Article numéro 1 de la plate-forme du Parti Jeanne du Lys
La Souveraineté autonomiste
La « Souveraineté autonomiste » que je propose serait une souveraineté plus autonome requérant une élection décisionnelle (référendaire) menant à une autonomie complète du Québec et permettant de négocier avec le monde entier.
Après avoir été vice-présidente nationale pour l’ADQ en 2007, déçu, j’ai démissionné en 2008. Puis, j’ai navigué dans les milieux souverainistes. Ce qui me guidait en premier lieu c’était l’économie, le mieux-être et bien entendu la protection de notre langue et de notre culture.
Ma démarche m’a conduite à ceci…
La « souveraineté-association » du PQ étant une souveraineté « de confédération » requérant un référendum et menant à une autonomie réduite à négocier exclusivement avec Ottawa.
Tandis que la « Souveraineté autonomiste » que je propose serait une souveraineté plus autonome requérant une élection décisionnelle (référendaire) menant à une autonomie complète du Québec et permettant de négocier avec le monde entier.
J’ai rencontré à travers le mouvement souverainiste monsieur René Marcel Sauvé.
J. René Marcel Sauvé, géographe spécialisé en géopolitique et en polémologie, a fait ses études de base à l’institut de géographie de l’Université de Montréal. En même temps, il entreprit dans l’armée canadienne une carrière de 28 ans qui le conduisit en Europe, en Afrique occidentale et au Moyen-Orient. Poursuivant études et carrière, il s’inscrivit au département d’histoire de l’Université de Londres et fit des études au Collège Métropolitain de Saint-Albans. Il fréquenta aussi l’Université de Vienne et le Geschwitzer Scholl Institut Für Politische Wissenschaft à Munich. Il est l’auteur de Géopolitique et avenir du Québec et Québec, carrefour des empires et de nombreux articles.
Qui suggère ce qui suit que je joindrais à ma Souveraineté autonomiste si monsieur Sauvé m’y autorise, bien sûr.
Souveraineté autonomiste :
VOUS VOTEZ POUR LE PARTI X, CETTE FOIS, C’EST PARCE QUE VOUS AVEZ PRIS CONSCIENCE ET DÉCIDÉ CE QUI SUIT :
1. Vous reconnaissez le Québec comme votre foyer national.
2. Vous reconnaissez le Québec comme votre État.
3. Vous ne reconnaissez plus Ottawa comme ayant autorité sur le Québec.
4. Vous autorisez le gouvernement du Québec à récupérer tous les pouvoirs d’État d’Ottawa et à agir comme tel.
5. Vous invitez sans ambages Ottawa à quitter le Québec.
6. Vous appuyez la démarche à venir du gouvernement de Québec de récupérer toutes les taxes, impôts et fiscalité d’Ottawa.
7. Vous appuyez la démarche à venir du gouvernement de Québec à exercer pleine autorité sur toutes les communications dans le territoire du Québec, comprenant chemins de fer, transports maritimes, routes, espace aérien, communications écrites et électroniques.
8. Vous autorisez le gouvernement du Québec à négocier d’État à État avec les autres provinces et les États américains, de même avec Ottawa, Washington et autres.
Article numéro 2 de la plate-forme du Parti Jeanne du Lys :
1. Abolition de la loi sur les Indiens au Québec ainsi qu’au Labrador.
2. Reconnaissance et mise en application des droits des Premières Nations.
Vive la République française d’Amérique!
Sylvie R. Tremblay


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16 commentaires

  • Archives de Vigile Répondre

    14 février 2013

    Le programme d’assassinats d’Obama et l’État policier , par Joseph Kishore
    Le « livre blanc » de l’administration Obama sur l’assassinat de citoyens américains,
    ainsi que les actions commises sur la base des arguments que ce document avance, sont une sérieuse mise en garde pour la classe ouvrière aux États-Unis et à travers le monde. Les droits démocratiques de la population sont en grave danger. La classe dirigeante américaine, qui baigne dans l’illégalité et la violence, se dirige tout droit vers la dictature.
    http://french.irib.ir/info/international/item/242617-le-programme-d’assassinats-d’obama-et-l’état-policier-,-par-joseph-kishore

  • Archives de Vigile Répondre

    13 février 2013

    L’UE finance des patrouilles sur l’Internet ?
    À l’approche des élections européennes de 2014, un article du Telegraph britannique du 3 février dernier, et qui n’a été repris, par aucun média français, révèle que le Parlement européen envisagerait de financer, à hauteur de 2 à 3 millions d’euros, des agents ou «trolls», afin de contrecarrer tout ce que des eurocritiques pourraient écrire, sur l’Internet, (sites, Twitter, Facebook, etc.).
    http://french.irib.ir/info/international/item/242473-l’union-européenne-va-t-elle-financer-des-patrouilles-sur-l’internet

  • Archives de Vigile Répondre

    10 février 2013

    Monsieur Richard, vous avez de bonnes idées et je suis d’accord avec plusieurs d’entre elles. Mais, comme je vous l’ai déjà mentionné, dès l’impression d’un premier billet de banque la GRC va débarquer chez vous, tout saisir vos équipements et vous enfermer en prison. Comme je vous l’ai déjà mentionné, vous n’êtes pas conscient à qui on a affaire.
    Vous ne me croyez pas, faites-le, imprimer une monnaie québécoise, pourquoi ne le faites vous pas? Rien ne vous empêche d’aller voir un imprimeur et d’imprimer un premier modèle que vous pourriez présenter sur votre site Web et commencer à offrir aux Québécois. Ça vous ramènerait à la réalité.
    De plus, on en revient à des dirigeants, les gens ne troqueront pas leur monnaie pour votre monnaie québécoise sans savoir qui est derrière tout ça, qui dirige? Quelles seront les règles financières, etc. Avez-vous une charte, des lois qui définissent l’utilisation de votre monnaie. Qui aura la responsabilité de l’impression, quel système implanterez-vous afin d’empêcher, les fraudeurs et les imprimeurs d'imprimer des dollars à volonté pour leurs dépenses personnelles?
    Ça prend des lois, donc, des dirigeants, donc, des élus.
    Vous me parliez dans un précédent commentaire des arguments que vous évoqueriez en cour de justice. Que vos arguments soient justes ou pas, on voit que vous n’avez aucune expérience de notre cour de justice qui est tout sauf juste. Dans nos cours de justice ce n’est pas le juste qui remporte c’est l’injuste. Si vos arguments sont justes, soyez assuré que vous perdrez.
    Prévoyez au minimum 15 à 20 ans de poursuites et au minimum un million pour vous défendre. Et même si par miracle vous gagniez après 20 ans, ils feront appel et refuseront de vous dédommager. Vous en aurez pour un autre 10 ans.
    Notre justice actuelle n’a rien à voir avec la justice, tout est une question d’argent, de pot de vin, de pression de certains lobbies, etc. Ils vont vous épuiser psychologiquement et financièrement jusqu’à ce que vous laissiez tomber. À moins que vous ayez de bons moyens financiers et que vous soyez personnellement avocat, ne perdez pas votre temps, non seulement vous n’aurez aucune justice, mais ils vont vous laver complètement.
    Vous dites : « … tout mon commentaire précédent va dans le sens qu’à partir de ces constats, il me semble plus productif de se concentrer sur l’essentiel plutôt que de tomber dans le piège de l’électoralisme comme seule voie possible pour l’action… »
    Donc, vous ne désirez pas de l’électoralisme, alors vous proposer quoi la dictature? Pourquoi ça serait vous et vos amis qui vous occuperiez d’imprimer la monnaie? Pourquoi pas moi ou quelqu’un d’autre? Qui décidera, qui sera l’imprimeur?
    Vous ne voulez pas être élu, vous voulez vous imposer sans que le peuple n’ait un mot à dire? Qu’est-ce qui vous laisse croire que le peuple veut que ça soit vous qui soyez responsable de tout ça? Avez-vous eu un mandat quelconque de qui que ce soit?
    Vous dites : « … Considérant cette optique, des soulèvements populaires de masse comme ceux dont vous me dîtes de ne pas m’inquiéter quant à leur venue prochaine (les soulèvements) sont selon moi plutôt propices à précipiter l’occurrence d’un scénario de prise de contrôle militaire comparable à Octobre 70. Il ne faut pas oublier qu’en 70, l’excuse (fabriquée, j’en conviens) d’un “soulèvement appréhendé” fut utilisée pour justifier l’utilisation de l’appareil militaire… »
    Monsieur Richard, en 70 c’était des manifestations, et des militants politiques qui voulaient offrir aux Québécois la possibilité de l’indépendance. Une vraie révolution, un soulèvement c’est lorsqu’il y a des millions de gens dans la rue. Lorsqu’il y aura des millions de gens dans la rue, les gouvernements et les oligarchies vont prendre leur trou. Si deux millions de Québécois descendaient dans la rue qu’est-ce que pourrait faire l’armée canadienne avec ses 65 000 hommes??

    Si deux millions de Québécois décidaient d’arrêter de payer leurs impôts et taxes, qu’est-ce qu’ils pourraient faire? Rien, ils n’auraient plus de salaire ni d’argent pour payer leur armée, ni même pour mettre de l’essence dans leurs véhicules…
    C’est d’ailleurs ce que les états-uniens devraient faire, cessez de payer leurs taxes, ainsi il n’y aurait plus de guerre et de drone… les anglosionistes ont contourné leur propre embargo contre l’Iran pour acheter de celle-ci pour 11 milliards d’essences l’an passé pour faire rouler leur véhicule en Afghanistan. Plus de taxe, plus de milliards, plus de guerre.
    Comme on le dit l’argent, c’est le nerf de la guerre.
    Vous dites : « … Dans un scénario impliquant l’armée chinoise, advenant la possibilité logistique d’une telle opération du maintien de la paix (300 000 soldats, ça fait beaucoup de monde à loger et à nourrir d’un coup) comme celle que vous avez suggéré, pour ma part je ne peux m’empêcher de percevoir un tel geste comme étant à peu de choses près une invasion militaire du Québec par la Chine, interprétation que ne manquera pas de faire également les gouvernements canadien et américain actuels, et qui risque selon moi de déboucher sur la guerre annoncée entre la Chine et les États-Unis, avec le Québec comme champs de bataille “officiel”… »
    Monsieur Richard, entre deux maux, je choisis le moindre… je préfèrerais une invasion chinoise communiste qu’une invasion d’extrémistes religieux salafistes, de wahhabites, qui violent, égorgent, qui trafiquent les organes et qui vends les êtres humains comme des esclaves. Ou encore qu’une invasion des oligarchies impérialistes de l’apartheid qui nous réduirait à l’esclavage, l’éducation et les soins de santé pour les peuples n’existeraient plus, comme ce qui est en train de s’implanter actuellement en Grèce et un peu partout en Europe. De plus, je ne crois pas que la Chine est des idées hégémoniques et impérialistes, car ils auraient profité de la chute du régime de Russie à l’époque pour les envahir.
    Alors, je ne crois pas qu’ils aient des visées de conquête du Québec, au contraire, je crois qu’ils aiment notre culture et qu’ils nous respectent. Concernant le nombre de soldats envoyer par l’ONU pour le maintien de la paix et des droits de l’homme ainsi que la logistique militaire, si c’était le cas, je ne suis pas Général d’armée, je fais totalement confiance à monsieur René Marcel Sauvé pour élaborer une stratégie là-dessus. Alors, discutez-en avec lui.
    À propos du Québec comme champ de bataille US/Chine… monsieur Richard, si les Étasuniens veulent à attaquer la Chine, ils vont attaquer la Chine et si la Chine veut attaquer les États-Unis, ils vont attaquer les États-Unis!! D’un côté comme de l’autre pourquoi dépenseraient-ils des milliards pour frapper le Québec alors que cela n’effectuerait ni l’un ni l’autre. Si vous faisiez allusion aux 300 000 soldats Chinois qui seraient affectés au maintien de la paix par l’ONU, pensant ainsi qu’ils seraient en manque de main-d’œuvre… pour votre information la Chine possède la plus grande armée au monde. Le nombre de soldats chinois, femmes seulement possède plus d’individus que la population des États-Unis au complet.
    Et concernant les frais d’une telle protection plusieurs négociations en vue du post protection peuvent êtres envisagées.
    Par exemple, ou pourrait au Québec au lieu d’exploiter le gaz de schiste et le pétrole, protéger notre grande richesse d’or bleu, l’eau, afin quelle demeure le plus pure possible, la nationaliser au profit du peuple, et donner priorité à la Chine avant les autres pays concernant leurs besoins en eau potable, rembourser de cette manière les frais jusqu’à ce que notre dette soit remboursée.
    Il faut être créatif et visionnaire pour diriger des États. Dans moins de 20 ans monsieur Richard, le pétrole ne vaudra plus grand-chose et l’eau potable sera la ressource naturelle la plus en demande et la plus chère.
    Et, en tant que métis autochtone Française et autochtone Amérindienne, je réclame tous les territoires du Nord, incluant la Baie d’Hudson. Ça m’appartient, ça nous appartient.
    Ça sera à l’ONU et aux organisations internationales des droits de l’homme de trancher.
    Mais, je peux déjà vous dire que concernant nos revendications, j’ai déjà l’appui, de plusieurs pays arabes, de l’Iran, de plusieurs pays d’Amérique du Sud, de la Russie, du Japon, de la Corée du Nord, de la Chine et probablement aussi de l’Inde.
    Comment je pourrais le savoir, vous demanderez-vous? Par simple déduction, ils n’appuieront pas de revendications anglo-sionistes canadian et étasuniennes, leurs pires ennemis à tous. Puisque c’est soit l’un ou soit l’autre, ils vont alors appuyer nos revendications à nous.
    Vous dites : « … quant au scénario que je propose, il n’offre aucune garantie concernant un potentiel risque d’invasion militaire, si ce n’est que je tente de définir la voie d’émancipation la plus pacifique possible, histoire de rendre le plus difficile possible toute interprétation de la situation comme étant “un soulèvement appréhendé”. »
    Monsieur Richard, si vous croyez sincèrement que vous allez aller vous promener au Québec pour empêcher les gaz de schiste ou la police de faire des arrestations ou n’importe d’où sur la planète avec une fleur au bout du fusil et faire régner la paix dans le monde, vous êtes soit un peu naïf ou bien jeune encore…
    Si on veut la paix et le respect, on doit préparer la guerre.
    Avec un Italien on parle italien, avec les oiseaux on parle le langage des oiseaux, avec les chiens on parle en chien c’est le seul langage qu’ils comprennent.
    Et soyez assuré, que si jamais la Chine était mandatée par l’ONU, elle n’aurait probablement même pas besoin d’envoyer ces 300 000 soldats. Elle n’aurait qu’à envoyer un communiqué aux Canadians anglo-sionistes d’évacuer immédiatement le territoire du Québec, sinon elle enverrait ses casques bleus rétablir les droits de l’homme et la démocratie au Québec, et ceux qui ont les baguettes en l’air pour s’attaquer aux droits des femmes et mettre en prison des enfants, feraient dans leur froc, ils s’agenouilleraient devant de vrais hommes!!!
    Quoi qu’il en soit, ce fut un plaisir pour moi d'échanger avec vous, et je tiens à vous remercier pour votre apport au débat. Vous avez de bonnes idées, continuer ce que vous faites, tous, continuons à faire ce que l’on fait, et, un moment donné ça créera une synergie dans le bon sens.
    Sylvie R. Tremblay

  • Archives de Vigile Répondre

    8 février 2013

    @Jeanne du Lys :
    "Tout ça en réaction à ce qui n’a pas été fait seulement au Canada par Trudeau mais dans tout les pays de l’Occident...que je qualifierais de taxage de la mafia bancaire.
    Il faut faire comme en Islande. Ces ententes sont illégitimes, aucun référendum. Alors on a pas à respecter quoi que ce soit. Non seulement on devrait cesser de leur payer des intérêts mais en plus, on devrait n’annuler ces dettes."
    ...et puisqu'on peut pratiquement d'ores et déjà statuer que la caste politique canadienne ne fera pas comme en Islande (par exemple, http://www.vigile.net/Justin-Trudeau-muet-sur-le-legs), la meilleure chose qui reste à faire selon moi est de créer une nouvelle unité monétaire en dehors des réseaux de la mafia bancaire, comme vous l'appelez à juste titre. Particulièrement si on considère également qu'une monnaie qui lui est propre est un outil indispensable pour l'émancipation du Québec. Tout mon commentaire précédent va dans le sens qu'à partir de ces constats, il me semble plus productif de se concentrer sur l'essentiel plutôt que de tomber dans le piège de l'électoralisme comme seule voie possible pour l'action.
    Concernant la menace militaire canadienne ou américaine, sachez que j'en suis parfaitement conscient également, ayant déjà traité du sujet dans le passé (http://www.vigile.net/Le-Canada-est-il-devenu-la). Considérant cette optique, des soulèvements populaires de masse comme ceux dont vous me dîtes de ne pas m'inquiéter quant à leur venue prochaine (les soulèvements) sont selon moi plutôt propice à précipiter l'occurrence d'un scénario de prise de contrôle militaire comparable à Octobre 70. Il ne faut pas oublier qu'en 70, l'excuse (fabriquée, j'en conviens) d'un "soulèvement appréhendé" fut utilisée pour justifier l'utilisation de l'appareil militaire.
    Dans un scénario impliquant l'armée chinoise, advenant la possibilité logistique d'une telle opération du maintien de la paix (300 000 soldats, ça fait beaucoup de monde à loger et à nourrir d'un coup) comme celle que vous avez suggéré, pour ma part je ne peux m'empêcher de percevoir un tel geste comme étant à peu de choses près une invasion militaire du Québec par la Chine, interprétation que ne manquera pas de faire également les gouvernements canadien et américain actuels, et qui risque selon moi de déboucher sur la guerre annoncée entre la Chine et les États-Unis, avec le Québec comme champs de bataille "officiel". Il est possible que je me trompe, mais voici mes inquiétudes sur ce sujet et je vous les partage.
    Quant au scénario que je propose, il n'offre aucune garantie concernant un potentiel risque d'invasion militaire, si ce n'est que je tente de définir la voie d'émancipation la plus pacifique possible, histoire de rendre le plus difficile possible toute interprétation de la situation comme étant "un soulèvement appréhendé". Cela ne les empêchera peut-être pas de procéder avec une opération militaire, car si c'est ce qu'ils veulent faire ils le feront quoiqu'on en dise, mais au moins il leur sera plus difficile de "vendre" cette opération comme étant légitime au niveau de l'opinion internationale. Je ne crois pas que la planète est prête à croire, par exemple, que le Québec regorge d'armes de destruction massive. Peut-être trouveront-ils un autre prétexte, chose sur laquelle nous n'avons pas de contrôle de toute façon, donc, comme j'ai mentionné précédemment, je crois qu'il est plus important de se concentrer sur ce sur quoi nous avons capacité d'agir, tout en tenant compte de ce qui se passe autour de nous bien entendu.
    Bien à vous,
    AR

  • Archives de Vigile Répondre

    7 février 2013

    Grèce: une distribution gratuite de fruits a laissé des blessés. Terrible! Le foyer de la civilisation occidentale, tombée dans la nasse du capitalisme ..............!
    http://french.irib.ir/galeries/galerie-de-photos/item/241266-grèce-distribution-gratuite-de-fruits-a-laissé-des-blessés
    Tout ça en réaction à ce qui n'a pas été fait seulement au Canada par Trudeau mais dans tout les pays de l'Occident...que je qualifierais de taxage de la mafia bancaire.
    Il faut faire comme en Islande. Ces ententes sont illégitimes, aucun référendum. Alors on a pas à respecter quoi que ce soit. Non seulement on devrait cesser de leur payer des intérêts mais en plus, on devrait n'annuler ces dettes.

  • Archives de Vigile Répondre

    7 février 2013

    La « sécurité » de l’empire !, par Manlio Dinucci
    ’’Heureusement que dans un monde aussi dangereux, il y a quelqu’un qui pense à notre sécurité.’’...
    http://french.irib.ir/info/internat...

  • Archives de Vigile Répondre

    6 février 2013

    Grande-Bretagne : nouveau programme pour espionnage online des citoyens
    Le gouvernement britannique envisage d'installer des détecteurs dans...
    les réseaux de télécommunication de ce pays pour contrôler toutes les activités onlines des citoyens. Ce faisant le gouvernement contrôle les citoyens, leurs sites qu'ils ont visionnés et leur communications avec les autres.
    http://french.irib.ir/info/moyen-orient/item/241144-grande-bretagne-nouveau-programme-pour-espionnage-online-des-citoyens

  • Archives de Vigile Répondre

    6 février 2013

    Dernières informations...
    Si on ne fait rien, voilà ce qui nous attends dans environ 5 ans. Tout simplement parce que l'application de leur oeuvre a débuté là-bas avant chez-nous.
    Il faut se réveiller, c'est un État totalitaire qui est en train de s'implanter.
    Déjà ''small brother'' a commencé a installer des caméras partout pour nous surveiller au Québec. Dès qu'on sort de chez-nous observer, dans les rues, dans l'autobus, dans le métro, les endroits publiques, les écoles, partout on nous observe.
    Observez, vous remarquerez.
    Selon des rumeurs de terrain, sous toute réserve, je n'ai aucune manière de vérifier l'information, je ne sais même pas de qui viennent les rumeurs. Mais, puisqu'on dit que dans chaque rumeur, il y a un petit quelque chose de vrai...
    Quelqu'un aurait rapporté à Obama, qu'il y avait un petit problème du contrôle de l'information avec les francophones du Canada et qu'Obama aurait répondu '' Si proches et si différents...''
    Etats-Unis : les citizens espionnés par les drones
    ''Washington espionne ses propres citoyens par les drones.
    Les préoccupations des Américains à ce propos ont poussé les législateurs de onze Etats à examiner les projets censés limiter les vols des avions sans pilotes dans le ciel de ces Etats.''
    http://french.irib.ir/analyses/commentaires/item/241187-etats-unis-les-citizens-espionnés-par-les-drones

  • Archives de Vigile Répondre

    5 février 2013

    Sans vouloir m'éterniser sur le sujet pour le moment, tout en prenant le temps de répondre à vos dernières questions...
    Bien sûr que je prends en compte la possibilité d'une invasion militaire canadienne en cas de sécession. Ceci est une possibilité peu importe le scénario d'accession à l'indépendance. Ce seul sujet mériterait un débat à lui seul, mais je n'ai pas envie de me lancer dans cet exercice pour le moment. Cependant, je trouve intéressante (sans nécessairement être d'accord) votre idée impliquant potentiellement 300 000 soldats chinois sur le territoire du Québec.
    Concernant la communication de mes idées, vous avec raison de dire que la partie n'est pas gagnée d'avance, mais sur ce point je fonde beaucoup d'espoirs dans les médias sociaux et la production de vidéos informatifs, histoire de viser un auditoire plus large que pour des articles écrits.
    À chacun son métier, certes. Toutefois, sans vouloir minimiser la valeur des compétences d'un(e) gestionnaire, il y a une énorme différence entre gérer les activités à la petite semaine d'une entreprise, d'un département ou d'un ministère et de diriger les destinées de la nation. À ceci, j'ajouterai que les diverses populations de la planète, y compris celle du Québec, en a assez du "culte du cheuf". Bien entendu, il y aura toujours des leaders, des personnes qui auront plus d'initiative ou de vision que les autres pour suggérer de nouvelles voies à suivre pour la société, dont le choix devrait ultimement revenir au choix démocratiquement déterminé par la population qui sont les premiers concernés, mais ce rôle est complètement différent à mon avis de la gestion administrative de la machine d'état, qui requiert je vous l'accorde une certaine hiérarchie afin de bien fonctionner. Ces postes pourraient être attribués selon une procédure de tirage au sort comme le décrit Étienne Chouard dans ses vidéos, comme le rappelle régulièrement Pierre Cloutier sur ce site.
    Ensuite, je tiens à souligner une dernière chose : bien que vos intentions semblent bonnes, que vous soyez compétente et motivée, votre position actuelle consiste donc à "attendre la venue de conditions gagnantes" alors que vous appelez vous-même à l'action; tandis que de mon côté, toutes originales et utopiques qu'elles sont, j'ai décidé de cesser l'attente et de passer en mode "création" de ces "conditions gagnantes" (une philosophie qui aurait du habiter le mouvement souverainiste depuis longtemps) en faisant transiter progressivement mes idées du monde théorique vers l'existence concrète dans la réalité.
    Quant à savoir si le "système" me laisserait imprimer "ma" nouvelle monnaie, vous soulevez là une intéressante question. Tout d'abord, il faut comprendre qu'une telle entreprise ne saurait être abordée par une seule personne, et nécessite donc la création d'une nouvelle institution pour exercer cette responsabilité. Partant de là, admettons tout de même que tous ceux opérant au sein de cette banque centrale ne se fassent tout de même arrêter par la police... on pourrait également postuler que tous ceux utilisant cette monnaie seraient passibles du même sort, dans lequel cas on peut se demander si il y aurait assez de place en prison pour tout le monde. Mais pour le bien de la discussion, limitons nos arrestations potentielles à un nombre restreints de personnes, voire même peut-être uniquement la mienne, comme vous le suggérez. On peut supposer que les charges qui seraient alors retenues contre moi concerneraient des délits liés à la contrefaçon de monnaie. Dans cette éventualité, il me fera alors plaisir d'aller défendre en cour les principes suivants :
    1) Il est légitime pour un état-nation formé par une constitution en bonne et due forme de procéder à la création et l'émission de sa propre monnaie;
    2) D'autres exemples de monnaie différente du dollar canadien existent sur le territoire canadien, dont entre autre dans une petite ville de Colombie Britannique dont j'ai oublié le nom;
    3) Qu'en tant que citoyen opérant dans un cadre juridique hors de la juridiction canadienne, les législations canadiennes ne s'appliquent pas à moi (tout comme la FED états-unienne n'est pas soumise à la juridiction canadienne);
    4) Et surtout, le fait que ce que je fait n'est foncièrement pas différent de ce que fait, par exemple, Canadian Tire avec son propre papier-monnaie dont la valeur est reconnue à l'intérieur de ses chaînes de magasins, et même ailleurs dans certains cas.
    Finalement, l'on peut même se demander si une telle arrestation de ma personne ne contribuerait pas à faire de moi un martyr et à faire connaitre ce projet à un plus grand public à travers la controverse qui en naitrait, ce qui a tendance à me faire penser qu'une telle arrestation ne surviendra probablement jamais. Peut-être me trompe-je sur ce point, mais c'est un risque que je suis prêt à assumer.
    AR

  • Archives de Vigile Répondre

    5 février 2013

    Parlant d'étudiant et d'arrestation...
    Une arrestation à l'UQAM choque des étudiants
    http://french.irib.ir/info/international/item/241047-une-arrestation-à-l-uqam-choque-des-étudiants

  • Archives de Vigile Répondre

    5 février 2013

    Monsieur Richard, mes intentions réelles sont de réaliser l'indépendance du Québec, sauf que je suis confontrée à la réalité...la démocratie n'existe pas et les oligarchies ne veulent pas de l'indépendance du Québec parce que ça nuirait à leur hégémonie et au vol de nos ressources naturelles.
    Alors, ils ne laisseront pas passer aucun parti vraiment souverainiste, peut importe le prix que ça leur coûtera.
    Donc, la meilleure solution aurait été que le PQ dont l'organisation est déjà en place, parti politique que les médias ne peuvent tout de même se mettre à ignorer...devienne un vrai parti souverainiste, mais c'est un parti fédéraliste.
    Autre possibilité, fonder un nouveau parti souverainiste et je le répète, c'était mon intention en 2008, sauf que mon éventuel parti, privé de toute communication dans les médias et ne pouvant pas compétionner avec le crime organisé qui fournit des milliers de bénévoles et des millions en argent noir, je suis assuré d'être un parti marginal.
    Donc, ce n'est pas que je ne le souhaiterais pas, c'est que je suis réaliste, je suis confronté à la réalité, je ne m'embarquerai donc pas dans une aventure qui est perdu d'avance pour le moment.
    C'est pour ces raisons que je cherche d'autres solutions, comme par exemple l'aide de l'international.
    Et je vous le répète, j'ai toujours l'intention de fonder un parti ou un comité national de transition, mais j'attends le moment propice, le rapport de force qui fera en sorte que j'aurai des chances de réussir.
    Et, c'est à mon tour de vous dire que vous rêver en couleur de croire que vous pourriez imprimer une nouvelle monnaie au Québec, sans que le gouvernmement fédéral, le PQ et le PLQ ne disent rien et vous donne leur bénédiction. Vous ne semblez pas comprendre à qui on a affaire, vous vous retrouveriez en prison en moins de 24 heures...
    Nos gouvernements actuels ont jetté en prison et arrêtter des étudiants simplement parce qu'ils manifestaient !
    J'ai reçu des menaces de mort par des zélés fédéralistes et regarder l'attentat contre madame Marois, alors qu'elle fait seulement que prononcer le mot souverainiste, le pire c'est qu'elle n'est même pas souverainiste.
    Et vous croyez sincèrement que vous pourriez implanter un nouveau système en remplacement de notre système électoral, changer le système informatique du Québec et imprimer une nouvelle monnnaie en sainte paix ?
    Vous avez de bonnes idées, et il serait possible éventuellement de mettre en application ce genre de système, mais à mon humble avis, seulement lorsque nous aurons pris le pouvoir, pas avant, ils ne vous laisseront jamais faire.
    Et, avec ce que je sais aujourd'hui, puisque j'en apprend à tous les jours...même si le PQ décidait d'y aller avec l'élection référendaire aux prochaines élections et obtenait 50 + 1 de oui, l'armée canadian débarquerait probablement au Québec.
    La crise d'octobre, les mesures de guerre ça ne vous dit rien ? Imaginez avec Harper en plus...
    Comment pouvons-nous contrer un régime qui opresse un peuple par le militaire pour le garder en laisse, par le militaire, à mon humble avis.
    De plus, comment allez-vous informer les citoyens du Québec de vos belles idées, nous sommes censurés partout ?
    Et même si cela vous était possible, les gens n'embarqueront pas dans une organisation dont ils ne connaissent pas les individus.
    À tout projet, ça prend un dirigeant, un président, si non c'est l'anarchie. Et, ce dirigeant les citoyens veulent le choisir eux-mêmes, il doit donc être élu.
    Un moment donné, j'ai exigé de mon employeur un salaire équivalent à mon travail, j'étais sous payé par rapport au marché, un fils à papa qui n'avait jamais travaillé de sa vie, mais avait hérité, de me donner un salaire convenable. Je travaillais environ 50 hrs semaine, et je m'occupais de tout de a à z, le proprio n'étant jamais présent. Il refusa en me disant, que tout roulait bien. C'est sure que tout allait bien je règlais les problèmes au fur et à mesure et je m'occupais l'entreprise comme si c'était la mienne. Il m'a répondu si tu n'es pas contente tu n'as qu'à partir. C'est ce que j'ai fais.
    Ça n'a pas pris 30 jours, que je recevais des appels de sa part à chaque jour, je ne répondais pas. Puis, après trois mois de vacances, j'ai finalement répondu, il m'a supplié de revenir, il avait peur de faire faillite, il avait engagé des spécialistes en redressement d'entreprises qui lui coûtait une fortune, et un nouveau directeur général, pour plus cher que moi, c'était un homme...et il le volait en plus, c'était facile le proprio n'était jamais là.
    Lorsque j'étais parti nous avions un net d'environ $397 000, en banque et en à peine 3 mois, il était dans la marge de crédit de $ 800 000. Non seulement il m'a donner le salaire que je lui avais demandé, mais un $ 10 000 de plus annuellement. Ça va vite quand une entreprise (ou un gouvernement) est mal géré, temps supplémentaire inutile, vole, mauvais achat, mauvaise gestion de la liquidité, etc.
    Tout ça pour vous dire que ce soit dans une armée, sur un chantier de construction, dans une entreprise, dans un gouvernement, ou pour tout projet, ça prend une personne responsable qui dirige, qui résout les problèmes, qui use de diplomatie. Certains peuvent exceller dans la musique, les sciences, comme d'autres excelent dans la gestion.
    À chacun son métier, je ne crois donc pas par expérience, qu'un projet tel la rédaction d'une constitution et la direction d'un gouvernement puisse se faire de manière collégial, sans aucun dirigeant.
    Cependant, avec des lois bien définis et un gouvernement nationale fort et compétent, ça serait peut-être possible au niveau municipal, de faire des comités de citoyens pour gérer les affaires municipales, comme le suggère monsieur Cloutier.
    Alors, qui sera en charge de votre projet, qui tranchera si certains ne sont pas d'accord pour tel ou tel article de la constitution ?
    Ça prend des dirigeants, donc des élections.
    Retour à la case départ.

  • Archives de Vigile Répondre

    5 février 2013

    Chère Mme Tremblay,
    Oui, j'ai bien lu l'article de M. Labrie. Si j'ai raté mon introduction humoristique, je m'en excuse, ce sont des choses qui arrivent.
    Deuxièmement, si vous trouvez que je mélange tout, peut-être est-ce parce que votre message original n'est pas très clair quant à vos intentions réelles? Ce que j'en comprends maintenant, c'est que vous prônez une élection référendaire, mais par quels moyens exactement? Vous dites maintenant ne pas vouloir fonder ou vous investir dans un parti politique, allant même jusqu'à me demander où j'ai bien pu prendre l'idée que vous vouliez former un nouveau parti. Tout simplement ici :
    "Article numéro 1 de la plate-forme du Parti Jeanne du Lys"
    Il semble que je n'ai pas été le seul à croire que votre but était un appel à joindre cette formation politique, puisque quelqu'un est déjà prêt à acheter une carte de membre.
    Alors, ce parti, existe-t-il ou est-il a former? En faites-vous parti? Quel est le sens de l'engagement auquel vous appelez si vous-même par la suite avouez ne pas vouloir vous investir de votre propre personne dans votre propre "cause"? Je crois que ces choses mériteraient d'être éclaircies, car il règne je crois une certaine confusion à ce niveau entre votre texte original et votre dernier commentaire.
    Ensuite, et je tiens à vous en assurer madame, j'ai également fait moi-même de nombreuses recherches sur lesquelles je fonde mes conclusions. Je n'ai peut-être pas connu votre succès en affaires, mais je ne suis pas un deux de pique non plus. Contrairement à ce que vous semblez croire, je suis 100% pour l'indépendance du Québec, mais pas n'importe laquelle; je suis pour l'indépendance du Peuple, pas l'indépendance d'une certaine "élite". Et ce faisant, je rejette entièrement les institution électorales actuelles qui sont illégitimes de toute façon. Soyons réaliste deux minutes : après plus de 40 ans à tenter d'atteindre notre indépendance politique par la voie électorale, le mieux que nous ayons réussi à faire collectivement, c'est le PQ, un parti politique noyauté et contrôlé par le fédéral depuis de tout début! Je crois donc sincèrement qu'il est temps d'observer la possibilité de développer de nouvelles avenues, appuyées par le droit et la loi, tant domestiques qu'international, ce à quoi je travaille, mais sans devoir recourir à une intervention (militaire?) extérieure comme celle que vous envisagez.
    L'élection référendaire, ce n'est pas une idée nouvelle : déjà mon père m'en parlait dans les années 80. Quant à Gérald Godin et son cercle, étaient-ils dans le champs, selon moi? Peut-être pas en 1998, où le scénario politique bipartite (hormis Mario Dumont) se prêtait encore à une éventuelle prise du pouvoir avec 50%+1 des voix, mais ce scénario n'est plus crédible avec la venue de nouveaux partis sur la scène politique au cours des dernières années, divisant ainsi le vote de sorte qu'il est de plus en plus difficile d'obtenir ce seuil électoral dans le système actuel. De plus, Godin et son groupe ne pouvaient pas prévoir la venue des nouvelles technologies de l'information et de l'impact de celles-ci au sein de notre société, technologies qui ouvrent de nouvelles avenues en termes de capacité de communication et d'organisation qui sont propices à révolutionner les structures du pouvoir. Ce n'est pas moi qui le dit, c'est M. René Marcel Sauvé. Finalement, nous sommes face à une situation économique urgente qui risque de nous imposer des échéanciers beaucoup plus courts que l'échéance électorale de 4 ans. Pour ces raison, je considère donc en effet que les conclusions du groupe autour de Gérald Godin que vous citez sont aujourd'hui périmées, et qu'il est possible aujourd'hui de concevoir quelque chose de mieux.
    La démarche que je propose n'est pas issue d'une "peur du fédéral et des chicanes", comme vous semblez le croire, mais bien le résultat d'une réflexion stratégique visant à augmenter les chances de succès de la démarche, en court-circuitant l'autorité du gouvernement fédéral, et donc d'agir de manière souveraine sur notre territoire sans devoir demander de permission (lire "négocier") à personne, et encore moins Ottawa.
    J'ai fait référence à un article "beaucoup lu" non pas pour me mettre en avant avec la grosseur de mon lectorat, mais bien pour amener sur le ton de l'anecdote un rappel de mon propre parcours intellectuel concernant le projet que je compte présenter à la population québécoise, rappel qui me fut fourni par coïncidence la semaine dernière par le site même de Vigile. Vous avez eu 35 000 visites sur votre lettre? Grand bien vous fasse. Mon but cependant était de débattre sur des idées, et non de démarrer une bataille d'égo.
    Je terminerai ce commentaire en expliquant que pour moi, la souveraineté est d'abord et avant tout une question de projet de société plus que d'un simple choix électoral menant vers un concept flou qui reste encore à définir. Partant de là, si on a une vision claire de ce projet de société, il devient plus facile d'identifier les outils nécessaires (par exemple la constitution, la monnaie) afin d'éventuellement parvenir à la réalisation concrète de ce projet de société. Ce qui nous place donc devant la question classique de l'oeuf ou la poule : doit-on attendre de "devenir un pays" avant de se doter de ces outils, ou bien devons-nous créer ces outils afin que nous devenions enfin un pays dans les faits? Pour ma part, ma réflexion me pousse vers la deuxième option, et c'est là l'essentiel de l'idée que je désirais communiquer dans mon commentaire.
    Par exemple, vous mentionnez avoir commencé à rédiger vous-même un projet de constitution; pour ma part j'ai mis en ligne une page de type wiki permettant l'écriture collective directement par la population elle-même d'une telle constitution, en tant que composante d'un projet plus vaste. C'est à ce niveau que ce situe ma réflexion et mon action lorsque l'on parle de "responsabilisation des citoyens". Sachant qu'une constitution est d'abord et avant tout un contrat qui requiert le consentement pour être valide de jure et de facto, et que présentement le consentement donné par la majorité des québécois à la Constitution du Canada est vicié par un mélange d'ignorance (des lois) et de peur (des représailles de l'État), le scénario que j'envisage est une adhésion volontaire à cette nouvelle constitution et aux nouvelles institutions qui en découleront, permettant ainsi à ceux qui désirent créer un pays pour le Québec puisse le faire sans se soucier de ceux qui désirent rester dépendants de la confédération ou qui sont immobilisés par la peur. Si, par exemple, dans un tel scénario, disons environ 30% de la population faisait littéralement défection du système fédéral pour fonder un nouvel état-nation (république) utilisant de surcroit sa propre monnaie à l'interne, croyez-vous sincèrement que le maintien de la présence canadienne sur le territoire québécois resterait économiquement soutenable? Je fais le pari que non, ce qui n'aura d'autre choix que de précipiter la chute du Canada annoncée (http://www.vigile.net/Prets-pas-prets-l-independance-s,53526 et http://www.vigile.net/L-implosion-du-Canada,53555) et rediriger le reste de la population soit à joindre la nouvelle république, soit de déménager en Ontario, soit de développer une autre alternative en urgence. À plus forte raison si cette nouvelle république utilise sa propre monnaie libre du système de dettes bancaires privées, monnaie à laquelle serait associés des avantages économiques comme par exemple l'accès à des technologies d'énergie libre (http://www.vigile.net/L-energie-libre-qui-libere) ou le développement d'une industrie plus environnementalement viable tout en étant largement rentable économiquement (http://www.vigile.net/Le-cannabis-de-qualite-controle et http://www.vigile.net/Economie-v2-0-3). Sûrement qu'une femme d'affaires aguerrie comme vous commencez à entrevoir le fait qu'un tel projet représente à peu de choses près une sorte de plan d'affaires, une série de plans d'affaires en fait, et qu'à partir de là tout ce qu'il manque à sa réalisation, c'est un regroupement d'individus prêts à investir temps et argent afin de voir à la réalisation de ce plan d'affaires, que ce soit en se procurant des locaux, se fournir en matières premières ou engager de la main d'oeuvre. Et nous possédons un très bon exemple dans notre histoire de notre potentiel collectif financier comme outil de libération avec l'institution fondée par Alphonse Desjardins, institution qui a depuis dévié de ses objectifs originaux.
    J'espère qu'il est maintenant plus clair pour vous la motivation derrière mes "projets informatiques" et le sens de la démarche dans son ensemble pour expliquer l'idée maîtresse derrière l'ensemble de mon commentaire, selon laquelle il est possible pour le peuple du Québec d'accéder à son indépendance par une voie autre que les voies électorales traditionnelles (incluant l'élection référendaire).
    Soyez assurée cependant que la voie que je tente de développer est justement pour éviter d'en venir à des manifestations de masse dans les rues, manifestations que les oligarques n'auront aucun remord à réprimer avec violence, chose que je tiens à éviter le plus possible.
    Ceci dit, je vous souhaite également bonne chance dans vos démarches et je vous remercie d'avoir fourni l'occasion de développer ce débat d'idées.
    AR

  • Archives de Vigile Répondre

    4 février 2013

    Cher Monsieur Richard,
    Si vous avez voulu être sarcastique, c’est complètement raté, je trouve ça plutôt mélangeant…
    Premièrement vous mélangez tout, avez vous lu l’article de monsieur Labrie?
    Je faisais ici mention de monsieur Cloutier qui disait que le PQ n’embarquerait pas là-dedans, le rêve en couleur ce n’est pas l’idée de monsieur Labrie c’est le fait que le PQ n’embarquerait pas et aussi que même si on se réunissait une fois par an avec des Pays qui veulent faire leur indépendance un jour, c’est bien beau tout ça, mais dans les faits ça ne nous mène pas à l’indépendance.
    Vous dites « … loin de moi l’idée de vouloir ainsi me moquer de vous, mais plutôt de vous amener à réaliser par une façon légèrement teintée d’humour que ce que vous proposez, quoique louable et probablement désirable, est tout autant du domaine du quasi-impossible et du presqu’irréalisable que la proposition de M. Labrie. »
    Pour le teinté d’humour??? Je ne l’ai pas trouvé.
    Concernant, le texte de la souveraineté autonomiste soit que si 50 % plus 1, des citoyens avait ce choix aux prochaines élections, peut importe le parti politique pour le moment, disons si le PQ le proposait, ils pourraient décider de dire oui, c’est tout à fait possible.
    Je dirais que dans les circonstances actuelles et étant donné la relation des Québécois avec le fédéral, oui, sincèrement je crois que ça pourrait être possible qu’on l’obtienne. Cependant, c’est mon point de vue, si vous croyez que l’indépendance est impossible, c’est votre point de vue, je le respect. Mais si vous pensiez me faire changer d’avis, c’est raté.
    Et, si en partant, vous croyez que l’indépendance est impossible, pourquoi êtes-vous sur un site indépendantiste? Soyez assuré qu’avec des gens qui ont autant de positiviste que vous face à l’autonomie de notre pays, c’est sûr, que l’indépendance ne sera jamais.
    Concernant l’idée d’une élection référendaire que vous semblez trouver saugrenu… après avoir lu beaucoup et avoir faits des recherches, j’ai trouvé sur Vigile un texte de 1998, je crois, rédiger après une réflexion des plus grands intellectuels de l’époque, les membres du prestigieux Cercle Gérald Godin, ils mentionnaient au PQ, dans ce rapport, que selon eux, la meilleure manière de réaliser l’indépendance du Québec le plus rapidement possible, s’était par une élection référendaire. Après y avoir longuement réfléchi, j’ai trouvé l’idée géniale et je l’ai adopté à l’époque comme la meilleure façon d’atteindre ce but. J’ai écrit la Souveraineté autonomiste en 2009, mais ça été censuré partout à l’époque, le PQ ne voulait surtout pas en entendre parler.
    Alors, encore une fois, c’est mon point de vue, si selon vous les intellectuels du prestigieux cercle Gérald Godin, étaient complètement dans l’erreur, c’est votre point de vue.
    Vous dites : « » Cependant, là où je crois que vous faîtes erreur est dans l’idée que la réalisation de cette indépendance passe par la création d’un nouveau parti politique. “»
    Est-ce que vous avez vu quelque part un communiqué de ma part annonçant que j’allais fonder un nouveau parti politique demain matin?
    J’ai voulu en fonder un en 2008, car je croyais que nous vivions dans une démocratie, mais depuis j’ai changé d’idée. Je suis une femme d’affaires, je ne dépenserai pas mon temps et mon argent alors que maintenant je sais que les votes sont traficotés, même si j’étais majoritaire, le résultat ne le serait pas. Lorsqu’un parti achète une élection clé en main, il faut que les organisateurs livrent la marchandise. Je n’ai pas de temps ni d’argent à perdre alors que maintenant je sais que tout est arrangé avec le gars des vues.
    Alors, à moins d’un revirement soudain, je ne compte pas fonder de parti politique dans l’immédiat.
    Cependant, j’ai l’intention d’être politicienne et de redresser la situation un moment donné et lorsque je rencontre des obstacles dans la vie, je cherche la manière de les contourner. Étant donné qu’il ne m’est pas possible d’accéder à la politique démocratiquement pour le moment, je cherche actuellement d’autres manières d’y arriver.
    Mes recherches m’ont conduite à l’international, depuis 2011, et j’ai aussi effectué des recherches dans l’histoire, essayant de comprendre ce que les autres pays faisaient dans de pareille situation ou sous des dictatures. Et je dois dire qu’aujourd’hui, j’ai une bonne idée, les choses s’éclaircissent.
    J’ai appris que selon le droit international, lorsque la démocratie n’existe plus dans un pays et qu’il est gangrené par la corruption, il est possible de demander l’aide de l’international pour former un comité national de transition et obligé les politiciens en place a quitté sous pression internationale, comme ça été le cas en Tunisie, en Égypte, en Libye, etc. Donc, si c’est bon pour eux, c’est bon pour nous. Le droit c’est le droit!
    Alors, c’est une possibilité que j’envisage de plus en plus, soit de demander l’aide des organisations internationales des droits de l’homme. Sauf que comme en affaire, on n’arrive pas sur le coin d’une rue et on ouvre un commerce! On étudie la situation, on fait un plan d’affaires. Alors, c’est la même chose, si on forme un comité de transition nationale pour rétablir la démocratie il faut agir démocratiquement et proposer un plan d’action, une vision, un projet de société que les citoyens peuvent accepter ou non. Alors, c’est ce que je fais, j’élabore un plan d’action que je soumettrais à la population.
    J’aime même déjà commencer à rédiger une constitution me basant sur les réflexions des citoyens sur le terrain.
    Ensuite, vous me parlez d’informatique, de banque, etc. Monsieur, avant de faire tout ça, il faut commencer par être indépendant. On ne peut pas implanter un système informatique pour un pays avant que le pays existe???
    Quoi qu’il en soit, j’ai obtenu beaucoup de succès en affaires et ce qui y a contribué le plus, c’est que j’ai appris non seulement à déléguer, mais à déléguer aux bonnes personnes. Je me débrouille assez bien en économie, cependant je ne suis pas une spécialiste en la matière, alors je laisserais quelqu’un comme monsieur Richard Le Hir s’occuper de ce département. Comme je laisserais quelqu’un comme René Marcel Sauvé s’occuper de la défense nationale, a chacun son métier. Je suis plutôt une directrice générale.
    Je demanderais donc conseil a des experts avant de prendre une décision finale, mais d’ores et déjà, avec mes recherches jusqu’à présent, j’opterais pour une monnaie nationale pour les achats intérieurs afin de mieux contrôler notre économie et une autre devise pour les transactions extérieures (à l’international), et comme monnaie internationale je choisirais le yuan (Chine). Mais sous toute réserve, en attendant d’avoir le pont de vue d’experts.
    Ensuite, vous me racontez que vous avez eu beaucoup de visites sur un article que vous avez déjà écrit? Félicitation, que vous voulez-vous que je vous dise, ça ne m’impressionne pas vraiment… j’ai eu plus de 35 000 visites sur ma lettre de démission de l’ADQ dans le Soleil à Québec, et puis? Je ne comprends pas votre but au juste. Je ne vois pas ce que ça a affaire dans le texte que j’ai rédigé?
    Ensuite, vous me parlez de ne pas faire voter les gens, mais, de les faire signer? En tout cas, peut importe, vous avez droit à votre point de vue.
    Vous dites : ‘’ Comme je l’expliquais plus haut, un tel processus est contre-nature dans la structure politique actuelle du Canada, sera source de conflits constitutionnels interminables avec Ottawa et est presqu’assurément voué à l’échec.’’
    Si vous avez peur d’Ottawa et des chicanes, soyez fédéraliste, c’est le meilleur conseil que je peux vous donner, si ça vous prend la bénédiction des Canadians pour faire l’indépendance, vous risquer d’attendre longtemps…
    Je me fous de ce que pense Stéphane Dion ou Justin Trudeau, si le peuple québécois décide de faire l’indépendance, c’est notre choix et ils n’auront qu’à se plier. Nous sommes censés vivre dans une démocratie. On n’a pas besoin de leur permission.
    Et si le fédéral veut jouer les gros bras, pas de problème, ça peut se jouer à deux… si par exemple, 300 000 soldats chinois, suite à une entente avec l’ONU et les organisations internationales, débarquaient devant le 24 Sussex, soyez assuré que le fédéral signera tous les papiers que l’on exigera et que Stéphane Dion et Justin Trudeau seraient cachés dans le fond d’un garde-robe….
    Tout est une question de rapport de force, comme le dirait monsieur Sauvé. Et on attend d’être sûr de gagner avant d’agir, alors, pour le moment j’attends le moment propice, j’attends le rapport de force.
    Si vous n’êtes pas d’accord avec les 8 points rédigés par monsieur Sauvé, écrivez-lui, c’est lui le spécialiste sur la question, je lui fais confiance là-dessus et il pourra mieux vous expliquer ces choix que moi.
    Ensuite vous dites : ‘’ Ce qui nous ramène encore une fois à la création de notre propre banque centrale et la création de notre propre monnaie comme l’un des moyens principaux de retrouver notre souveraineté et indépendance politique, un objectif qui me semble plus facilement réalisable dans le temps que de contempler une éventuelle ‘prise de pouvoir’ au sein des institutions politiques actuelles... ’’
    Monsieur, je suis d’accord avec vous concernant la possibilité de créer notre propre monnaie, mais avant d’imprimer notre monnaie il faut prendre le pouvoir!
    Et pour prendre le pouvoir il y a différentes façons, la Révolution française en ait une, formez un comité national de transition en ait une autre.
    Ne vous inquiétez, lorsque les peuples se lèveront partout, lorsque des millions de gens marcheront dans les rues, les oligarchies vont commencer à être moins arrogantes.
    Alors, j’espère que ça répond à vos questions.
    Sur ce, je respect votre point de vue et bonne chance dans vos projets informatiques.

  • Archives de Vigile Répondre

    4 février 2013

    Un dernier détail que je voulais souligner :
    "En passant, où vont les millions des Caisses Populaires ?"
    Vous soulevez là une interrogation bien légitime et démontrez par là même l'intuition que l'argent est bel et bien le nerf de la guerre, et que si notre argent collectif était utilisé à notre avantage plutôt qu'à notre détriment, notre situation collective serait bien différente. Ce qui nous ramène encore une fois à la création de notre propre banque centrale et la création de notre propre monnaie comme l'un des moyens principaux de retrouver notre souveraineté et indépendance politique, un objectif qui me semble plus facilement réalisable dans le temps que de contempler une éventuelle "prise de pouvoir" au sein des institutions politiques actuelles par un parti politique marginal.

  • Archives de Vigile Répondre

    4 février 2013

    Bonjour Mme Tremblay,
    Je suis convaincu de votre sincérité à la cause et de vos bonnes intentions, mais, comme vous le mentionnez à monsieur Labrie… vous rêvez également en couleur.
    Ne vous méprenez pas sur mon utilisation d'une formule un peu sarcastique pour entreprendre mon commentaire, qui est comme vous l'aurez sûrement remarqué, est pratiquement un copié-collé de votre propre introduction dans votre article. Loin de moi l'idée de vouloir ainsi me moquer de vous, mais plutôt de vous amener à réaliser par une façon légèrement teintée d'humour que ce que vous proposez, quoique louable et probablement désirable, est tout autant du domaine du quasi-impossible et du presqu'irréalisable que la proposition de M. Labrie.
    Comme vous le dites vous-même, "Il n’y a actuellement aucune volonté politique de la part de nos politiciens à réaliser l’Indépendance du Québec. Et, de toute manière, il est trop tard pour les discours, maintenant il faut agir et vite. (...) On doit cesser d’agir en adolescent rêvasseur, on doit agir en adulte responsable, on doit affronter nos peurs et prendre le destin de notre nation en main ! Je dirais même que c’est une obligation, un devoir ! (...) Quoi qu’il en soit, lorsqu’on veut faire quelque chose on arrête de dire qu’on veut le faire et on le fait !
    Arrêtons de dire qu’on veut réaliser l’indépendance… réalisons là !"
    Je vous rejoins entièrement là-dessus, et sur les propos que vous tenez à travers cette citation abrégée de votre article.
    Cependant, là où je crois que vous faîtes erreur est dans l'idée que la réalisation de cette indépendance passe par la création d'un nouveau parti politique. C'est une erreur que j'ai commise moi-même il y a 2 ans lorsque j'ai mis de l'avant l'idée de la mise en place d'une démocratie directe en-ligne comme projet de société menant à la souveraineté du Québec, erreur qui me fut douloureusement rappelée au cours des derniers jours alors que mon article original sur ce projet de Démocratie 2.0 (http://www.vigile.net/Democratie-v2-0) figurait la semaine dernière dans la section des articles les plus lus il y a 2 ans dans la Tribune Libre de Vigile, alors que le surtitre de l'article indiquait "Appel à la formation d’un nouveau parti politique". Ce rappel me fit d'ailleurs réaliser les énormes progrès que le projet à subi une fois que j'ai réussi à me débarrasser du concept d'obligation de passer par le système électoral canadien afin d'implanter légitimement et légalement un tel système politique.
    Dans l'environnement médiatique actuel, soumis aux intérêts oligarchiques qui pré-sélectionnent à l'avance qui est digne de présence médiatique et qui ne l'est pas sur l'échiquier politique, considérant les efforts et la logistique requis pour fonder et former un parti politique qui puisse être un tant soit peu significatif à l'Assemblée Nationale, ceci me semble plutôt incompatible comme stratégie lorsque "il est trop tard pour les discours," et que "maintenant il faut agir et vite." C'est le constat qui a été observé par la Coalition des Sans Partis, menée par Roméo Bouchard, qui visait à l'établissement d'une Assemblée Constituante dont le rôle était d'écrire une constitution pour le Québec. Ils ont été un non-facteur complet lors des dernières élections. Je prendrais également pour exemple les cas de Québec Solidaire (2 députés) et de l'ADQ/CAQ (1 seul député durant de nombreuses années), dont les meilleurs résultats correspondent à être confinés dans un rôle marginal dans l'opposition, et ce malgré de nombreuses années à faire campagne. Même le PQ de René Lévesque, il lui a fallu 2 élections avant de prendre le pouvoir, et dans ce cas-ci on parle d'une accession au pouvoir relativement très rapide, mais qui a tout de même mis 4 années à se réaliser après le premier échec. Et voilà bien un autre désavantage de soumettre notre projet de société aux règles illégitimes du système électoral actuel, c'est que cela nous force à nous soumettre au rythme du calendrier électoral, c'est-à-dire de ne disposer qu'une fois tous les quatre ans (en moyenne) que d'une toute petite fenêtre d'environ 4 semaines durant lesquelles il faut réaliser l'exploit de prendre le pouvoir selon des règles qui favorisent le maintien de l'establishment. Bref, un carcan complètement incompatible avec l'impératif exprimé de devoir agir rapidement.
    Comme vous le dites si bien, "Pierre Falardeau avait bien raison, nos sommes des colonisés, bien soumis à la philosophie de leurs maîtres", et cette colonisation est bien souvent ancrée plus profondément dans nos esprits que nous ne le supposons.
    "Quoi qu’il en soit, lorsqu’on veut faire quelque chose on arrête de dire qu’on veut le faire et on le fait !
    Arrêtons de dire qu’on veut réaliser l’indépendance… réalisons là !"
    Je suis 100% d'accord avec vous sur ce point! Je ré-itèrerais même mon point de vue basée sur cette citation tirée de votre texte en ajoutant que si c'est l'indépendance que nous voulons réaliser, réalisons là, directement, et non un parti politique aux résultats improbables et qui invariablement causera un délaissement progressif de l'objectif initial au profit de considérations purement basées sur la partisanerie politique, considérations électorales obligent.
    Finalement, et ce fait semble échapper complètement à la plupart des souverainistes et indépendantistes, c'est que l'Assemblée Nationale où siège le parlement de la Province du Québec, c'est que ce palier de gouvernement est une filiale du gouvernement fédéral; et donc, la stratégie classique visant à prendre le pouvoir à l'Assemblée Nationale pour ensuite la détacher légalement du gouvernement fédéral en est une vouée à l'échec dès le début, elle correspond métaphoriquement à quelqu'un qui se procure une franchise d'une chaine de restauration rapide pour ensuite en faire un restaurant végétarien, allant ainsi à l'encontre des règles de la maison-mère. Ce qu'il faut faire à la place, c'est d'ouvrir directement son restaurant végétarien, libre de toutes restrictions imposées par une maison-mère dont les visées commerciales sont incompatibles avec celles du restaurateur/franchisé.
    "On doit cesser d’agir en adolescent rêvasseur, on doit agir en adulte responsable, on doit affronter nos peurs et prendre le destin de notre nation en main !
    Je dirais même que c’est une obligation, un devoir !"
    Là aussi je suis d'accord avec vous, et la première étape à faire en tant qu'adulte nouvellement responsable politiquement, c'est de prendre connaissance des principes fondamentaux du droit et de prendre conscience de notre pouvoir politique en tant qu'individu. Là où je veux en venir, c'est que selon la loi et le droit, le parlement ne peut avoir autorité que sur lui-même et le gouvernement (lire "fonction publique"), et non sur le peuple (Ch. Can. Droits et Libertés Art. 32, Code Civil du Québec Art. 54). Cependant, celui-ci exerce une autorité sur le peuple à travers un mélange d'ignorance, de peur (http://www.vigile.net/Le-printemps-erable-sous-un-regime) et grâce à une entourloupe "légale" à travers l'utilisation du Certificat de Naissance comme pièce maitresse d'identification, fabriquant ainsi le consentement requis selon la loi pour que le parlement et le gouvernement outrepassent leurs pouvoirs, quitte à aller jusqu'à bafouer les droits humains les plus élémentaires. Sachant également que selon la loi, pour qu'un consentement soit valide, celui-ci doit être libre et éclairé, ce qui n'est clairement pas le cas. Une fois cette prise de conscience effectuée, il est possible de se dégager personnellement de l'autorité de l'état canadien et québécois actuels. J'explique ce sujet plus en profondeur dans le vidéo "La Loi, le Gouvernement et Vous" disponible sur mon blog (http://particitoyenduquebec.blogspot.com/2013/01/la-loi-le-gouvernement-et-vous.html).
    Il devient donc ainsi possible de concevoir un processus d'accession à l'indépendance à travers la création d'une nouvelle entité légale (une république) formé par une constitution préalablement écrite hors de l'influence des partis politiques, et dont l'adhésion se ferait sur une base volontaire et individuelle (confirmée à travers une signature du document, et non à travers un vote) selon une formule pouvant ressembler à celle utilisée à la fin de votre message, dont j'en cite une partie :
    "1. Vous reconnaissez le Québec comme votre foyer national.
    2. Vous reconnaissez le Québec comme votre État.
    3. Vous ne reconnaissez plus Ottawa comme ayant autorité sur le Québec.
    etc."
    Il ne faut pas regarder plus loin dans votre document cependant afin de constater les avantages d'une approche comme celle-ci plutôt que de perdre des énergies à former un parti politique.
    "4. Vous autorisez le gouvernement du Québec à récupérer tous les pouvoirs d’État d’Ottawa et à agir comme tel."
    Comme je l'expliquais plus haut, un tel processus est contre-nature dans la structure politique actuelle du Canada, sera source de conflits constitutionnels interminables avec Ottawa et est presqu'assurément voué à l'échec. En fondant légalement et légitimement un nouvel état-nation distinct des institutions politiques actuelles, nous pourrons dès lors assumer pleinement les pleins pouvoirs d'État sans devoir se conformer à la Constitution Canadienne puisque nous serons dans un cadre constitutionnel extérieur à la Constitution du Canada, et ainsi sauver temps et énergie.
    "5. Vous invitez sans ambages Ottawa à quitter le Québec."
    La meilleure façon de le faire est justement de désaffecter le système parlementaire britannique actuel en fondant nos propres institutions, dont entre autre une Banque Centrale du Québec et à travers elle notre propre monnaie souveraine, laquelle constitue l'outil idéal pour "inviter Ottawa à quitter le Québec" en vidant nos poches de nos dollars canadiens pour les remplacer par nos piastres québécoises, tel que je le décris dans un commentaire récent à un article de Richard Le Hir (http://www.vigile.net/1962-Initiation-a-la-politique). Encore une façon de passer de la parole aux actes.
    "6. Vous appuyez la démarche à venir du gouvernement de Québec de récupérer toutes les taxes, impôts et fiscalité d’Ottawa."
    Déjà, en relation avec mon commentaire sur la prise de conscience de notre pouvoir politique, il faut savoir qu'à moins d'être membre du Parlement ou du Gouvernement, nous sommes exempts de payer des taxes et des impôts à tous les paliers de gouvernement. La raison pour laquelle nous en payons "tous" malgré tout résulte du fait de notre ignorance collective, de la peur de représailles de la part de l'État et par conformisme social. En effet, pour la plupart des gens à qui j'ai fait part de cette information, bien qu'ils en voient le potentiel politique et économique pour la formation d'une nation libre au Québec, le premier réflexe qui les retiendra de signifier à leur employeur de cesser de retenir de l'impôt sur ses chèques de paye, c'est l'anticipation de leur prochain remboursement d'impôts, qu'ils voient comme une sorte de bonus dont ils seraient fous de se passer, oubliant du fait les sommes supérieures potentiellement économisées en ne faisant pourtant qu'appliquer la loi suprême du Canada, c'est à dire l'Article 32 de la Charte.
    Mais vous conviendrez que malgré le peu de réceptivité dans la population pour le moment à ces considérations plutôt légales et constitutionnelles, les mécanismes pour "récupérer nos impôts" sont déjà présents et opèrent à un niveau individuel, alors que nous nous obstinons à vouloir récupérer à titre collectif de l'argent que nous avons collectivement envoyé à Ottawa et à Québec de manière complètement volontaire (mais non-éclairée). Rien ne nous empêche par la suite, à titre individuel et de manière volontaire et éclairée, de convertir notre argent canadien en argent québécois, et ensuite de ré-investir une partie de cet argent dans le développement de cette République, plutôt que de l'investir au sein de l'ensemble canadien comme nous le faisons actuellement, et contre nos propres intérêts.
    Je terminerai ce commentaire en disant que le fait de me libérer de l'obligation de former un parti politique dans le cadre de l'avancement du projet Démocratie 2.0 m'a non seulement permis de réfléchir et concevoir une stratégie "d'accession à la souveraineté" légale et légitime et hors des cercles d'influence des partis et institutions politiques actuelles, mais m'a également permis de me concentrer sur l'essentiel, c'est à dire le développement du projet en tant que tel et non sur la formation d'un parti politique. Ainsi, je croyais à l'époque où j'ai rédigé http://www.vigile.net/Democratie-v2-0 qu'il fallait dans un premier lieu former un parti politique ou encore faire passer ce projet dans un parti existant (comme le PQ), pour ensuite "prendre le pouvoir" et ensuite et seulement à ce moment, engager des fonds publics dans le développement de systèmes informatiques propres à implanter dans les faits une démocratie directe avec un support en-ligne, travaux que j'estimais alors durer environ 4 ans pour une équipe entière dédiée au développement de ce projet. Donc, en prenant compte du calendrier électoral et en supposant les résultats les plus optimistes possibles (voire irréalistes), on parle d'au moins 6 ans avant de voir un quelconque résultat tangible.
    Qu'en est-il aujourd'hui, 2 ans plus tard, maintenant que je me suis délesté de l'obligation de me soumettre au parlementarisme électoral? Et bien cela m'a permis de me concentrer sur la réalisation de ces dits outils informatique, presque seul et avec des moyens financiers ridicules, au point où aujourd'hui j'en suis au point où la plupart des outils informatiques décrits dans mon article d'il y a 2 ans sont devenus aujourd'hui une réalité technique sur le site laboratoire http://kebek2point0.org/, y compris le fonctionnement interne d'une banque centrale comme je fais mention dans mon commentaire à l'article de M. Le Hir (http://www.vigile.net/1962-Initiation-a-la-politique).
    J'espère donc que les lecteurs de Vigile, vous-même Mme Tremblay et éventuellement le reste de la population du Québec prendront la peine de réfléchir aux éléments que j'expose ici et tenteront d'en tenir compte dans leurs futures démarches au sein du mouvement souverainiste et indépendantiste.
    Adam Richard

  • Archives de Vigile Répondre

    4 février 2013

    Mde Jeanne Fleur de Lys
    Bravo pour votre texte on ne peut plus clair.
    Et quand à M. Sauvé encore un bon choix, homme couragegeux
    et loyal. J'ai ces livres.
    Doit on se procurer une carte, moi je suis comblé par
    ce discours je vais l'enregistré et le faire lire au sceptique.
    vous avez mon addresse de courriel même si je vais avoir 80 ans cet automne.
    un gros merci !