500 délégués à Québec le 6 avril 2013

Les États généraux sur la souveraineté du Québec phase deux

Appui des 4 partis souverainistes

Tribune libre

http://etats-generaux-quebec.org/lancement-de-la-phase-ii-des-etats-generaux-sur-la-souverainete/
"La phase II des États généraux sur la souveraineté du Québec débutera par une grande assemblée, samedi, le 6 avril, dans la Capitale nationale, réunissant quelque 500 délégués élus lors de 13 rencontres régionales de la phase I ou proposés par les organisations participant au Conseil de la souveraineté du Québec. « Nous misons sur l’action de la société civile, avec l’appui des quatre partis politiques souverainistes,pour remettre dans le débat public des questions fondamentales pour notre émancipation nationale », a souligné le président du Conseil,M. Gilbert Paquette.
Les membres de la Commission nationale des États généraux sur la souveraineté ont constaté dans leur tournée que les blocages du Québec dans le Canada s’accentuent. Les Québécois sont de plus en plus minoritaires dans l’ensemble canadien, contrôlant de moins en moins leurs affaires. Ils proposeront à l’Assemblée de commencer à définir et de mettre en route trois chantiers pour définir la future république du Québec. Ces chantiers se poursuivront jusqu’à la fin de l’année. Ils réaliseront des études, organiseront des débats publics et rendront publiques des propositions nouvelles à l’intention de l’ensemble de citoyens et des députés.
Le premier chantier portera sur la souveraineté populaire et le pourvoir constituant(...)
Le deuxième chantier portera sur l’économie et la souveraineté. (...)
Le troisième chantier aura pour objectif de nourrir un plan de mobilisation et d’action politique (...)."


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1 commentaire

  • Klon Myriade Répondre

    31 mars 2013

    Contribution au troisième chantier qui aura pour objectif de nourrir un plan de mobilisation et d’action politique :

    J'ai voté pour que le PQ-Marois prenne le pouvoir, estimant que ce parti était le meilleur pour réparer le gâchis des années Charest. Il a pris le pouvoir, a aussitôt cédé à la colère des riches, et le voilà qui attaque les plus pauvres, ce qui dégoûte une grande part de l'électorat souverainiste... Pendant ce temps-là, le discours de Jacques Parizeau au premier congrès d'Option Nationale me fait beaucoup réfléchir.
    Parizeau ne voulait pas gouverner la province, il a aussitôt démissionner dès la défaite de son référendum en 1995. Il pensait que la gouvernance de la province ne pouvait qu'enfoncer les souverainistes dans l'impasse de trouver des solutions aux problèmes du Québec dans le cadre du fédéralisme monarcho-colonialiste. Difficile de lui donner tort quand je regarde le bourbier dans lequel s'enfonce le PQ-Marois!
    J'encourage donc Option Nationale à combattre le carriérisme politicien qui enfonce le PQ dans le bourbier de la gouvernance provincialiste. ON doit clarifier son programme pour qu'il devienne aisément compréhensible, et il doit éviter de chercher à gouverner la province, et il doit éviter de perdre un troisième référendum. Comment faire?
    Ma suggestion : présenter assez de candidats pour réussir à former une opposition solide, mais jamais assez pour former un «bon gouvernement» provincialiste, et jamais assez pour former un gouvernement engagé à tenir un référendum quand le peuple n'est pas déterminé à faire le pays. Quand le peuple aura enfin compris de façon claire et solide la nécessité de l'indépendance, viendra le moment de présenter une équipe pour réaliser la transformation de la province en pays.